C'est exactement cela. Peut être que Dourthe et Heymans ont quelques comptes à régler. Mais que cela fait du bien de briser le politiquement correct. Oui c'est gonflant d'entendre FG rabacher qu'il est dans le vrai, que ses Data sont justes, qu'il n'y a rien à modifier et que tout se joue au petit bonheur la chance. Et bien non. En face ils ont été meilleurs stratégiquement, c'est tout. Et ne parlons pas de l'arbitre puisque FG n'en dit rien voire même le défend.
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CRC - F.Galtié
- Auteur du sujet adrien66
- Date de début
Chalureau, avec ses ennuis judiciaires médiatisés, il ne pouvait plus jouer, Willemse aurait été plus utile surtout contre les Boks.
Avec un staff pléthorique, avoir des joueurs au bout d’une heure qui n’avait plus d’essence dans le moteur.Inacceptable.
Victoire d’un point, ou de vingt, c’est pareil, on a perdu.C’était l’objectif de 4 ans, on jouait à domicile, avec un dispositif et des clubs qui n’avaient jamais fait autant de concessions pour l’équipe de France.C’est un ECHEC.
Galthie serait sorti grandi, s’il avait reconnu ses erreurs, c’est tout.Pour le connaître un peu, cela ne m’étonne pas.
Certains joueurs n’ont pas été bons, mais Galthie n’est pas exempt de reproches, loin de là.
Pour être complet, je ne dis pas que c’est un mauvais entraîneur, loin de là, mais il a aussi des points faibles.
Galthié avait un objectif et les clubs lui ont donné les moyens pour l'atteindre. Force est de constater que cet objectif n'a pas été atteint. C'est un échec énormissime.
Le gonze aurait pu avouer quelques erreurs. Mais non, rien nada .On est pas champion du Monde, mais rien a foiré, parole de datas.
Le beauf d'Ibanez ne dit rien d'autre à la TV. Il critique la communication du copain de la sœur de Lio. Il dit pas fallait jouer comme ci ou comme ça ou qu'un autre aurait fait mieux.
Son analyse est propre et il a bien eu raison de la partager.
Le gonze aurait pu avouer quelques erreurs. Mais non, rien nada .On est pas champion du Monde, mais rien a foiré, parole de datas.
Le beauf d'Ibanez ne dit rien d'autre à la TV. Il critique la communication du copain de la sœur de Lio. Il dit pas fallait jouer comme ci ou comme ça ou qu'un autre aurait fait mieux.
Son analyse est propre et il a bien eu raison de la partager.
pas trop d accord avec les critiques
on perd parceque que certaines decisions ou non decisions d arbitrage
on perd parcequ on se troue sur 3 chandelles
on finit moins bien que les boks avec les remplacants, pour moi c 'est la consequence du reste
mais au bout du compte on doit jamais perdre
on perd parceque que certaines decisions ou non decisions d arbitrage
on perd parcequ on se troue sur 3 chandelles
on finit moins bien que les boks avec les remplacants, pour moi c 'est la consequence du reste
mais au bout du compte on doit jamais perdre
Il a fallu des années aux bleus pour effacer la réputation de bad boys qui leur collait aux basques depuis un siècle.
Ils sont devenus bien sages, et je suis curieux de savoir combien de fois sur ce match, et même sur l'ensemble de la compétition, ils auraient été passibles de sanctions pour jeu dangereux, anti-jeu, ou réponse inappropriée à la provocation.
Antoine Dupont ne s'est même pas roulé par terre suite au coup de coude sur son visage blessé (il a appris, depuis), peut-être un effet collatéral de la belle stratégie médiatique (puisqu'il est question d'intelligence stratégique) de l'encadrement SudAf.
De gentils boys scouts, bien élevés, avec beaucoup de retenue contre-nature (la leur), qui pensaient naïvement que l'excellence suffisait pour gagner ce jour-là.
Et en face, impunité totale sur quelques faits de jeu qui auraient pu être des tournants du match.
Pas même d'appels à la vidéo, ou de la vidéo, qui pourtant auraient peut-être dédouané les Boks... ou pas.
Alors qu'on nous a bien pété les burnes tout au long de la phase de poules avec cette "science" high-tech bunkérisée.
C'est un peu comme si on changeait les règles du jeu en cours de partie.
Il n'en fallait pas beaucoup plus pour déstabiliser les bleus, déjà bien émus par l'enjeu (et par la qualité de l'adversaire du jour, quand même), qui nous ont déjà montré depuis quatre ans qu'ils étaient capables de retourner une situation mal embarquée dans le dernier quart d'heure.
Et à propos d'adaptation aux petites marottes du corps arbitral (sudiste, en l'occurrence), est-il normal que les Boks aient eu droit à quelques tours de chauffe avec le même maître de cérémonie, qu'ils pratiquent déjà régulièrement tout au long de leurs compétitions domestiques ?
Pas de méprise, il n'est pas question de complot, et les erreurs des bleus, techniques (surtout), tactiques (si on y tient), y sont bien pour quelque chose.
Mais s'il faut absolument être plus que parfaits pour aller au bout de cette compétition, les Boks ont montré qu'ils ne l'étaient pas (tout comme les Anglais parachutés en 1/2).
Quant aux rétro-commentaires aigris des atrabilaires de plateaux télé sur le mode "Ouais, nous, avec autant de moyens, les Australiens ont les auraient niqués en 99"... no comment justement.
Put1, ça fait du bien !
Ils sont devenus bien sages, et je suis curieux de savoir combien de fois sur ce match, et même sur l'ensemble de la compétition, ils auraient été passibles de sanctions pour jeu dangereux, anti-jeu, ou réponse inappropriée à la provocation.
Antoine Dupont ne s'est même pas roulé par terre suite au coup de coude sur son visage blessé (il a appris, depuis), peut-être un effet collatéral de la belle stratégie médiatique (puisqu'il est question d'intelligence stratégique) de l'encadrement SudAf.
De gentils boys scouts, bien élevés, avec beaucoup de retenue contre-nature (la leur), qui pensaient naïvement que l'excellence suffisait pour gagner ce jour-là.
Et en face, impunité totale sur quelques faits de jeu qui auraient pu être des tournants du match.
Pas même d'appels à la vidéo, ou de la vidéo, qui pourtant auraient peut-être dédouané les Boks... ou pas.
Alors qu'on nous a bien pété les burnes tout au long de la phase de poules avec cette "science" high-tech bunkérisée.
C'est un peu comme si on changeait les règles du jeu en cours de partie.
Il n'en fallait pas beaucoup plus pour déstabiliser les bleus, déjà bien émus par l'enjeu (et par la qualité de l'adversaire du jour, quand même), qui nous ont déjà montré depuis quatre ans qu'ils étaient capables de retourner une situation mal embarquée dans le dernier quart d'heure.
Et à propos d'adaptation aux petites marottes du corps arbitral (sudiste, en l'occurrence), est-il normal que les Boks aient eu droit à quelques tours de chauffe avec le même maître de cérémonie, qu'ils pratiquent déjà régulièrement tout au long de leurs compétitions domestiques ?
Pas de méprise, il n'est pas question de complot, et les erreurs des bleus, techniques (surtout), tactiques (si on y tient), y sont bien pour quelque chose.
Mais s'il faut absolument être plus que parfaits pour aller au bout de cette compétition, les Boks ont montré qu'ils ne l'étaient pas (tout comme les Anglais parachutés en 1/2).
Quant aux rétro-commentaires aigris des atrabilaires de plateaux télé sur le mode "Ouais, nous, avec autant de moyens, les Australiens ont les auraient niqués en 99"... no comment justement.
Put1, ça fait du bien !
Cette coupe du monde s'est aussi gagnée dans une réunion ou "on" a décidé de :
- limiter l'appel à la vidéo
- créer un "bunker"
- délocaliser l'arbitre vidéo
- renoncer à diffuser les ralentis des décisions litigieuses
"on" a joué à l'apprenti sorcier en changeant les règles pour cette compétition.
Par contre Galthié gagnera beaucoup à se remettre en cause et tenter d'améliorer ce qui peut l'être et notamment l'adaptation de l'équipe de France à la stratégie adverse et à l'arbitrage.
- limiter l'appel à la vidéo
- créer un "bunker"
- délocaliser l'arbitre vidéo
- renoncer à diffuser les ralentis des décisions litigieuses
"on" a joué à l'apprenti sorcier en changeant les règles pour cette compétition.
Par contre Galthié gagnera beaucoup à se remettre en cause et tenter d'améliorer ce qui peut l'être et notamment l'adaptation de l'équipe de France à la stratégie adverse et à l'arbitrage.
Pour la stratégie adverse je suis certain que le plan était bien rodé mais il faut admettre que quand l'équipe d'en face bénéficie d'une impunité totale face aux règles du rugby il est bien difficile de pratiquer le même sport qu'eux...
Par rapport à l'arbitrage, Galthié a envoyé une vidéo avec toutes les actions litigieuse au corp arbitral pour tenter de comprendre le pourquoi du comment. À ce jour, je n'ai pas souvenir qu'il y ait eu une réponse... Alors comment faire ?
Et je ne parle même pas ici du dopage où les Sud-africains ne vivent clairement pas sur la même planète.
Quand Armstrong se dopait tout le monde le savait, mais on a fermé les yeux pendant plus d'une dizaine d'années. Tout ça pour lui retirer tout ses titres ? Il est beau le sport.
L'élimination en 1/4 est elle un échec ?
Bien sûr que cela en est un, puisque cette équipe était faite pour gagner la CDM.
Galthié ne le nie pas. Jamais. Ce qu'il dit puisque les mots ont un sens c'est qu'après avoir pris le temps de tout revoir, il ne changerai pas la compo, pas le plan de jeu. ça ne signifie pas qu'il ne se remet pas en question, juste qu'il analyse froidement qu'en jouant de la sorte il gagnera ce match plus souvent qu'il ne le perdra.
Et il a raison. Ce n'est pas le plan de jeu qui est la cause de la défaite. C'est des erreurs techniques individuelles et collectives. (hors débat sur l'arbitrage sur lequel je ne reviens pas)
Est-ce que cela signifie qu'il a pris une leçon de coaching de la part d'Erasmus ?
les suds afs ont ils trouvé des zones ou les français étaient absents pour y jouer leurs chandelles ? Absolument pas, ils y sont bien présents et même en surnombre mais ils ratent leurs gestes techniques de réception de la balle, ou de passe sur le 3ème essai, ou des placages sur le 4ème en seconde mi-temps.
Sans ces erreurs individuelles et techniques, il y 20 points d'écart à la mi-temps. Galthié est lucide et il le dit dès la mi-temps du match, "quand on joue comme ça il doit y avoir 20 points d'écart".
Revoyez à l'envie le match de samedi contre le ST, sans les 2 erreurs du début de seconde mi-temps, je suis convaincu que les toulousains sont dans une très grosse *****. Mais le sport et plus particulièrement le rugby est fait de rebonds et de faits de jeu.
Il faut l'accepter sans avoir besoin de brûler quelqu'un pour autant.
Il y a une manie bien française de chercher un seul coupable et si possible de manière simple, voire simpliste.
Sans ces erreurs, la même équipe et la même stratégie gagnent sans problème ce match et les mêmes qui crient "à mort" aujourd'hui applaudissent, mais ils ne le reconnaitront pas.
Les suds-afs eux ils passent 3 fois miraculeusement par un trou de souris. Et chaque fois des faits de jeu sont "plutôt" jugés en leur faveur.
Ils n'ont aucune occasion d'essai en finale !
Ils ne marquent aucun point en seconde mi-temps en finale.
C'est tellement beau et remarquable et c'était la stratégie volontaire et bien pensée d'Erasmus, bien sûr.
D'ailleurs ceux qui parlent aujourd'hui publiquement pour exister qu'ont ils fait eux par le passé ?
On oublie vite que l'EDF n'a historiquement jamais été en mesure de gagner une CDM. Elle a déjà battu des nations du sud en faisant à chaque fois un exploit "monumental", "énorme" avait titré l'équipe en 1999, jamais suivi de confirmation le match d'après.
Dourthe, on pourra lui rappeler que l'EDF est inexistante en finale en 1999. Que la victoire face aux blacks leur a suffi, qu'elle a peut être été bien célébrée...Ou que "l'intelligence situationnelle" qui était le plan de jeu de Villepreux, c'est comme les allumettes mouillées, il n'y en a qu'une qui allume le feu le jour ou tout nous réussi. Le reste du temps... brosse toi !
En 2011, on perd contre le Tonga et on gagne largement les gallois (10 à 9) à 15 contre 14, ensuite et on tombe (encore d'un point) contre des NZ qui comme stratégie s'en remettent à Mac Caw dans les rucks avec sa cape d'invisibilité, à dégommer Parra et à se chier dessus pendant tout le match.
C'était la première fois en 2023 que nous abordons cette compétition avec autant de compétences, autant de certitudes, un groupe homogène, des joueurs remplaçables. C'est d'ailleurs pour cela que c'est aussi dur à avaler, parce qu'on sait tous justement qu'on avait le niveau cette fois.
L'échec c'est le plus dur.
Quand mon fils jouait petit, je lui disais toujours, "apprends à perdre", c'est le plus dur. Gagner ce sera toujours plus facile.
Se remettre en question c'est l'avaler, c'est repartir de l'avant, et travailler pour progresser et faire progresser les autres autour de soi.
Et là dessus je doute fort que Galthié soit le dernier de la classe, et notamment vis à vis de ses prédecesseurs.
C'était un simple avis personnel, je ne connais pas Galthié et je n'apprécie pas plus que ça le personnage.
Bien sûr que cela en est un, puisque cette équipe était faite pour gagner la CDM.
Galthié ne le nie pas. Jamais. Ce qu'il dit puisque les mots ont un sens c'est qu'après avoir pris le temps de tout revoir, il ne changerai pas la compo, pas le plan de jeu. ça ne signifie pas qu'il ne se remet pas en question, juste qu'il analyse froidement qu'en jouant de la sorte il gagnera ce match plus souvent qu'il ne le perdra.
Et il a raison. Ce n'est pas le plan de jeu qui est la cause de la défaite. C'est des erreurs techniques individuelles et collectives. (hors débat sur l'arbitrage sur lequel je ne reviens pas)
Est-ce que cela signifie qu'il a pris une leçon de coaching de la part d'Erasmus ?
les suds afs ont ils trouvé des zones ou les français étaient absents pour y jouer leurs chandelles ? Absolument pas, ils y sont bien présents et même en surnombre mais ils ratent leurs gestes techniques de réception de la balle, ou de passe sur le 3ème essai, ou des placages sur le 4ème en seconde mi-temps.
Sans ces erreurs individuelles et techniques, il y 20 points d'écart à la mi-temps. Galthié est lucide et il le dit dès la mi-temps du match, "quand on joue comme ça il doit y avoir 20 points d'écart".
Revoyez à l'envie le match de samedi contre le ST, sans les 2 erreurs du début de seconde mi-temps, je suis convaincu que les toulousains sont dans une très grosse *****. Mais le sport et plus particulièrement le rugby est fait de rebonds et de faits de jeu.
Il faut l'accepter sans avoir besoin de brûler quelqu'un pour autant.
Il y a une manie bien française de chercher un seul coupable et si possible de manière simple, voire simpliste.
Sans ces erreurs, la même équipe et la même stratégie gagnent sans problème ce match et les mêmes qui crient "à mort" aujourd'hui applaudissent, mais ils ne le reconnaitront pas.
Les suds-afs eux ils passent 3 fois miraculeusement par un trou de souris. Et chaque fois des faits de jeu sont "plutôt" jugés en leur faveur.
Ils n'ont aucune occasion d'essai en finale !
Ils ne marquent aucun point en seconde mi-temps en finale.
C'est tellement beau et remarquable et c'était la stratégie volontaire et bien pensée d'Erasmus, bien sûr.
D'ailleurs ceux qui parlent aujourd'hui publiquement pour exister qu'ont ils fait eux par le passé ?
On oublie vite que l'EDF n'a historiquement jamais été en mesure de gagner une CDM. Elle a déjà battu des nations du sud en faisant à chaque fois un exploit "monumental", "énorme" avait titré l'équipe en 1999, jamais suivi de confirmation le match d'après.
Dourthe, on pourra lui rappeler que l'EDF est inexistante en finale en 1999. Que la victoire face aux blacks leur a suffi, qu'elle a peut être été bien célébrée...Ou que "l'intelligence situationnelle" qui était le plan de jeu de Villepreux, c'est comme les allumettes mouillées, il n'y en a qu'une qui allume le feu le jour ou tout nous réussi. Le reste du temps... brosse toi !
En 2011, on perd contre le Tonga et on gagne largement les gallois (10 à 9) à 15 contre 14, ensuite et on tombe (encore d'un point) contre des NZ qui comme stratégie s'en remettent à Mac Caw dans les rucks avec sa cape d'invisibilité, à dégommer Parra et à se chier dessus pendant tout le match.
C'était la première fois en 2023 que nous abordons cette compétition avec autant de compétences, autant de certitudes, un groupe homogène, des joueurs remplaçables. C'est d'ailleurs pour cela que c'est aussi dur à avaler, parce qu'on sait tous justement qu'on avait le niveau cette fois.
L'échec c'est le plus dur.
Quand mon fils jouait petit, je lui disais toujours, "apprends à perdre", c'est le plus dur. Gagner ce sera toujours plus facile.
Se remettre en question c'est l'avaler, c'est repartir de l'avant, et travailler pour progresser et faire progresser les autres autour de soi.
Et là dessus je doute fort que Galthié soit le dernier de la classe, et notamment vis à vis de ses prédecesseurs.
C'était un simple avis personnel, je ne connais pas Galthié et je n'apprécie pas plus que ça le personnage.
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