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C'est un vrai beau débat je trouve !Cependant, je pense que c'est une bonne technique de recrutement au vu de notre budget. Hormis le four Landajo, on se rend compte de l'impact qu'ils ont quand nous les avons sur le terrain, et le fait est qu'ils sont dispos pour la fin de saison, ce qui est le plus important pour nous.
DLF, Delguy et même Oviedo apportent un profil qu'on a du mal à remplacer par d'autres joueurs, et Boffeli est un super 15 qui prendrait le relais à Jaminet, avec une complicité par ses coéquipiers Pumas.
Melvyn a fait 9 matchs avec nous sur 17. Il a loupé (+épargné par le staff) 8 matchs et va en rater 3 autres avec le 6 nations. Je trouve pas le calcul déconnant.
Est-ce qu'il vaut mieux un bon joueur toute la saison ou un excellent joueur la moitié de la saison ? Le tout dans le contexte d'un club qui joue le maintien avec là aussi le pour et le contre : des joueurs en temps normal inaccessibles au regard de leur talent mais où leur absence est encore plus importante vu les effectifs moins talentueux et plus réduits ? Des atouts majeurs dans le sprint final mais aussi certainement des points perdus en début de saison qui peuvent coûter cher au final ? Etc.
Là pour le coup, ça n'engage que moi. Je pense que ça peut être une très bonne chose pour un club comme nous... mais dans une certaine mesure ! Un joueur ça va, deux pour moi c'est la limite. Cette saison, on en avait trois mais Oviedo ce n'était pas forcément prévisible (même si en le recrutant tu sais que va arriver très peu de temps après). En revanche, je trouve que si on venait à attaquer la saison (et au final ça correspond plus ou moins à la moitié de saison si on ajoute les repos, blessures...) avec trois titulaires sur cinq absents, pour un club qui joue le maintien, c'est plus qu'handicapant...
Sans parler de ce statut de non JIFF.
Concernant le parallèle avec Jaminet, je ne saisis pas trop le rapport par contre.
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