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Usap vs Bayonne

9catalan

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4 Juin 2013
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ça c'est sûr !! Et c'est normal sur les 5 derniers matchs vous êtes sur la meilleure dynamique et largement
En tout cas vous êtes les seuls à parler de bonus offensif
On en parle pas tous. Moi je suis pas contre si il arrive, mais on peut pas aborder le match avec cet angle. Et d'un autre côté, notre jeu très très offensif nous a permis d'avoir des bonus offensif temporaire face à Lyon, face à Paris, face à Pau, d'en passer finalement à un essai près à Brive...
 

Michel Mitchell

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14 Décembre 2021
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forum et autre réseau sociaux ( qui en passant est très bien tenu
Je me suis fait la même réflexion. Ici c'est redevenu un vrai forum de gentlemen.
Depuis qu'il y a un quasi-modo qui sonne les cloches aux vulgaires en mettant des *** aux mots grossiers, je suis bien, bieeeen.

mise au vert à la Jonquera jusqu'à samedi midi.
Et je les comprends. La semaine dernière durant mes congés au Pays Basque, j'ai fait un tour à Arneguy et Dantxaria. C'est moins sexy.

Retour peut être de Morahan (notre 15 titulaire), Noa (notre 8 remplaçant) et Yarde
Morahanxokogoxoa
Noacheverry
Yardetxe

Je vois du Basque partout maintenant. Je me retiens même pour ne pas bouffer des chocolatines. Je ne sais pas si c'est grave, mais faut m'aider.
Alors , pour cela un bon STOP de l'équipe USAP à 5 points contre l'AB me fera le plus grand bien, c'est une question sanitaire.
 

babau66

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L'entraîneur de l'Aviron Bayonnais, qui fut aussi celui de l'USAP (2014-15), veut miser sur la bonne dynamique de son groupe pour continuer de rêver au Top-6.

"Grégory Patat, quel regard portez-vous sur ce début de saison réussi du promu bayonnais, cinquième après la dix-neuvième journée, en course pour le Top-6 ?

C'est sûr que notre classement est inattendu. Mais je peux vous dire que nous avons beaucoyp travaillé pour ce résultat. On a essayéde maîtriser ce que nous pouvions maîtriser, en mettant la pression sur chaque adversaire rencontré. Ensuite, il n'est pas normal que des équipes à plus fort potentiel que nous soient classés derrière l'Aviron Bayonnais aujourd'hui. Ce sont les aléas du sport et de notre championnat. Il y a eu une adhésion totale des joueurs aux choix managériaux et nous avons su tirer le maximum de nos capacités à chaque match.

C'est rare dans ce Top 14 devenu si concurrentiel qu'un promu dame le pion aux meilleurs...

Il est certain que lorsqu'une équipe monte de Pro D2, elle est une cible particulière, car on sait tous qu'il faut un temps d'adaptation. En Top 14, le volume de jeu est plus important, tout va plus vite. Nous étions clairement dans la peau de l'outsider mais nous avons tous accepté de relever le défi. Et puis, je pouvais compter sur un socle d'anciens joueurs intéressant. Des soldats de la Pro D2 qui avaient envie de performer au plus haut niveau.

A lire aussi : Rugby à XV - Top 14 : à l'USAP, derrière, le danger est partout

Le recrutement d'anciens internationaux comme Camille Lopez ou Vincent Machenaud a été une réussite. Ce n'était pas gagné d'avance ?


L'Aviron avait besoin de joueurs expérimentés pour gagner du temps. Un promu n'a pas le temps. Mon rôle de manager est la construction des effectifs. Je demande beaucoup d'exigence à chaque joueur. J'ai cherché à associer des joueurs expérimentés dont l'objectif personnel était le même que celui du club. L'alchimie a été réussie et donne les résultats que l'on connaît aujourd'hui. En début de saison, je n'avais fixé aucun objectif aux joueurs. Sinon, d'être performants sur les matchs amicaux de pré-saison... Ce qui m'importait avant tout, c'était l'attitude, le comportement de chacun.

L'appétit venant en gagnant, on imagine que votre objectif, désormais, est de rester dans le Top-6...

Les places sont chères à ce niveau ! Nous sommes tous des compétiteurs. Et on aime se confronter à ce qui se fait de mieux dans le rugby français. On ne sait pas de quoi la fin de saison sera faite, tout va très vite dans ce Top 14. Notre objectif est de continuer à "challenger" toutes les équipes, sur chaque match.

La victoire sur Castres à Jean-Dauger (41-10) lors de la dernière journée, a marqué les esprits, face à un adversaire qui venait au Pays Basque avec un nouvel entraîneur pour tenter de se rassurer. Elle a confirmé votre qualité ?

Nous avions peur du scénario, effectivement. Parfois, un changement d'entraîneur ou de manageur provoque une réaction d'orgueil dans une équipe. Et pendant quelques minutes, en début de match, ce fut difficile pour nous. Nous ne tenions pas le ballon. Le groupe a su se montrer solide... et patient. Nous avons été très intéressants dans les zones de marque, en scorant sur nos temps forts. Nous avons su nous appuyer sur nos supériorités numériques (deux cartons jaunes contre Castres, 12-0 pour Bayonne). Ce match nous a montré que nous avions grandi. Nous avons acquis de la mâturité.Et puis, c'est clair, nous jouons avec beaucoup de confiance.


C'est confortable de venir défier l'USAP dans son antre d'Aimé-Giral sans la peur du résultat ?


Oui bien sûr. L'USAP a besoin de points et nous, nous aurons d'autres munitions à l'extérieur. Mais nous savons où nous mettons les pieds. Ce sera compliqué pour Bayonne. Les Catalans vont nous mettre beaucoup de pression. Et nous connaissons les caractéristiques de l'équipe de Patrick (Arlettaz) et David (Marty). Leur appétence pour le jeu offensif. Le salut de l'USAP passera par le jeu. Nous devrons répondre présent sur les fondamentaux. Et rester collé au score le plus longtemps possible. Cette équipe de Perpignan a de la qualité. Elle l'avait montrée lors du match aller à Jean-Dauger, où elle était toujours devant au score (17-12) jusqu'à la 71e...

Vous éprouvez quel sentiment de revenir à Perpignan, où vous avez entraîné ?

C'était ma première expérience d'entraîneur, loin d'Auch et de mon Gers natal On apprend de chaque expérience. J'étais à Perpignan à la mauvaise période (1). La descente en Pro D2 n'était pas prévue... L'identité catalane est très forte... Mais ce que j'ai vécu à l'USAP m'a servi pour la suite de ma carrière. C'est comme çà qu'il faut le voir. Je n'étais pas prêt. Mais on ne peut pas me reprocher de ne pas être resté droit en la circosntance. "

(1) Grégory Patat était l'entraîneur des avants de l'USAP lors de la première saison en Pro D2. Ecarté en décembre 2015, il a rebondi à La Rochelle (2016-18).
Gilles Navarro
 

9catalan

Titan du forum
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A titre individuel, je ne suis absolument pas serein pour ce match mais plutôt très stressé
L'entraîneur de l'Aviron Bayonnais, qui fut aussi celui de l'USAP (2014-15), veut miser sur la bonne dynamique de son groupe pour continuer de rêver au Top-6.

"Grégory Patat, quel regard portez-vous sur ce début de saison réussi du promu bayonnais, cinquième après la dix-neuvième journée, en course pour le Top-6 ?

C'est sûr que notre classement est inattendu. Mais je peux vous dire que nous avons beaucoyp travaillé pour ce résultat. On a essayéde maîtriser ce que nous pouvions maîtriser, en mettant la pression sur chaque adversaire rencontré. Ensuite, il n'est pas normal que des équipes à plus fort potentiel que nous soient classés derrière l'Aviron Bayonnais aujourd'hui. Ce sont les aléas du sport et de notre championnat. Il y a eu une adhésion totale des joueurs aux choix managériaux et nous avons su tirer le maximum de nos capacités à chaque match.

C'est rare dans ce Top 14 devenu si concurrentiel qu'un promu dame le pion aux meilleurs...

Il est certain que lorsqu'une équipe monte de Pro D2, elle est une cible particulière, car on sait tous qu'il faut un temps d'adaptation. En Top 14, le volume de jeu est plus important, tout va plus vite. Nous étions clairement dans la peau de l'outsider mais nous avons tous accepté de relever le défi. Et puis, je pouvais compter sur un socle d'anciens joueurs intéressant. Des soldats de la Pro D2 qui avaient envie de performer au plus haut niveau.

A lire aussi : Rugby à XV - Top 14 : à l'USAP, derrière, le danger est partout

Le recrutement d'anciens internationaux comme Camille Lopez ou Vincent Machenaud a été une réussite. Ce n'était pas gagné d'avance ?


L'Aviron avait besoin de joueurs expérimentés pour gagner du temps. Un promu n'a pas le temps. Mon rôle de manager est la construction des effectifs. Je demande beaucoup d'exigence à chaque joueur. J'ai cherché à associer des joueurs expérimentés dont l'objectif personnel était le même que celui du club. L'alchimie a été réussie et donne les résultats que l'on connaît aujourd'hui. En début de saison, je n'avais fixé aucun objectif aux joueurs. Sinon, d'être performants sur les matchs amicaux de pré-saison... Ce qui m'importait avant tout, c'était l'attitude, le comportement de chacun.

L'appétit venant en gagnant, on imagine que votre objectif, désormais, est de rester dans le Top-6...

Les places sont chères à ce niveau ! Nous sommes tous des compétiteurs. Et on aime se confronter à ce qui se fait de mieux dans le rugby français. On ne sait pas de quoi la fin de saison sera faite, tout va très vite dans ce Top 14. Notre objectif est de continuer à "challenger" toutes les équipes, sur chaque match.

La victoire sur Castres à Jean-Dauger (41-10) lors de la dernière journée, a marqué les esprits, face à un adversaire qui venait au Pays Basque avec un nouvel entraîneur pour tenter de se rassurer. Elle a confirmé votre qualité ?

Nous avions peur du scénario, effectivement. Parfois, un changement d'entraîneur ou de manageur provoque une réaction d'orgueil dans une équipe. Et pendant quelques minutes, en début de match, ce fut difficile pour nous. Nous ne tenions pas le ballon. Le groupe a su se montrer solide... et patient. Nous avons été très intéressants dans les zones de marque, en scorant sur nos temps forts. Nous avons su nous appuyer sur nos supériorités numériques (deux cartons jaunes contre Castres, 12-0 pour Bayonne). Ce match nous a montré que nous avions grandi. Nous avons acquis de la mâturité.Et puis, c'est clair, nous jouons avec beaucoup de confiance.


C'est confortable de venir défier l'USAP dans son antre d'Aimé-Giral sans la peur du résultat ?


Oui bien sûr. L'USAP a besoin de points et nous, nous aurons d'autres munitions à l'extérieur. Mais nous savons où nous mettons les pieds. Ce sera compliqué pour Bayonne. Les Catalans vont nous mettre beaucoup de pression. Et nous connaissons les caractéristiques de l'équipe de Patrick (Arlettaz) et David (Marty). Leur appétence pour le jeu offensif. Le salut de l'USAP passera par le jeu. Nous devrons répondre présent sur les fondamentaux. Et rester collé au score le plus longtemps possible. Cette équipe de Perpignan a de la qualité. Elle l'avait montrée lors du match aller à Jean-Dauger, où elle était toujours devant au score (17-12) jusqu'à la 71e...

Vous éprouvez quel sentiment de revenir à Perpignan, où vous avez entraîné ?

C'était ma première expérience d'entraîneur, loin d'Auch et de mon Gers natal On apprend de chaque expérience. J'étais à Perpignan à la mauvaise période (1). La descente en Pro D2 n'était pas prévue... L'identité catalane est très forte... Mais ce que j'ai vécu à l'USAP m'a servi pour la suite de ma carrière. C'est comme çà qu'il faut le voir. Je n'étais pas prêt. Mais on ne peut pas me reprocher de ne pas être resté droit en la circosntance. "

(1) Grégory Patat était l'entraîneur des avants de l'USAP lors de la première saison en Pro D2. Ecarté en décembre 2015, il a rebondi à La Rochelle (2016-18).
Gilles Navarro
Ils ont pas l'air de jouer leur vie. Même un peu de préparer un turn over dans les paroles. Mais attention, ça peut être un leurre et une équipe très libéré
 

adrien66

USAPiste sérieux
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A titre individuel, je ne suis absolument pas serein pour ce match mais plutôt très stressé

Ils ont pas l'air de jouer leur vie. Même un peu de préparer un turn over dans les paroles. Mais attention, ça peut être un leurre et une équipe très libéré

On le sera dans deux jours avec la présence ou non de Lopez..
 
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