jfm66
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Honnêtement je ne comprends pas le problème. Que ça soit Clermont avec Michelin ou Paris avec Wild voir l’USAP avec Rivière, tant qu’il y a une personne ou un groupe qui peut couvrir les déficits, tout va bien.
Là nous sommes « choqués » par l’ampleur, les proportions, du déficit de Clermont et objectivement jaloux de l’investissement que va faire Michelin, mais au fond, nous n’aimerions pas de notre côté avec la même chose?
Je parle pas de déficit, mais d’un mécène ou d’une entreprise qui donne 10 millions par an pendant trois ans pour couvrir déficit, faire grossir le budget et développer les infrastructures?
Quand je constate que ça fait plus de 10 ans que tous, et le Président lui même, souligne qu’il faut avoir des infrastructures qui soit en adéquation avec notre niveau sportif, et qu’à l’heure où nous parlons il n’y à tous rien, je serais très heureux d’avoir notre Michelin a l’USAP, rien que pour construire cela sans attendre que l’argent public arrose notre club.
Que le rugby vive au-dessus de ces moyens, c’est pas une nouveauté, l’USAP par exemple perd chaque année en moyenne entre 1 et 2 millions, et tant qu’il y a un FR, c’est pas grand chose. Le jour où notre club ne devra plus perdre de l’argent, et vivre au réel, ne vous inquiétez, il en perdra plus, et ça sera au détriment du sportif (moins de recrutement et baisse des salaires). La solution fut envisagée à une époque, avant l’arrivée de FR.
Personnellement ça me dérangerait pas que l’USAP soit en déficit de 10 millions chaque année dans l’éventualité où un mécène comble le déficit. Par contre sans mécène, mauvais papier.
Nous pouvons nous offusquer du système, et j’ai même lu ici « que fait la DNACG », mais la DNACG fait très bien son travail. Elle contrôle les comptes et vérifie que le club a les moyens de pouvoir couvrir un déficit de X millions grâce à son actionnariat. C’est pour cela qu’elle demande des garanties. Concrètement, notre club a un budget autour de 15 à 17 millions, et quand FR débarque pour dire avec moi le budget sera de 18 ou 19 millions, la
DNACG sait pertinemment que c’est presque impossible. Mais elle valide cela car elle a prit le temps d’avoir des garanties financières que FR lui même puisse injecter l’équivalent si futur déficit.
Le système fonctionne très bien!
De plus, combien de club, relégué administrativement entre le Top14 en direction de la ProD2 ou de la ProD2 vers les divisions inférieures du rugby Français? Par rapport au nombre de clubs en déficit ça doit être très peu.
Là nous sommes « choqués » par l’ampleur, les proportions, du déficit de Clermont et objectivement jaloux de l’investissement que va faire Michelin, mais au fond, nous n’aimerions pas de notre côté avec la même chose?
Je parle pas de déficit, mais d’un mécène ou d’une entreprise qui donne 10 millions par an pendant trois ans pour couvrir déficit, faire grossir le budget et développer les infrastructures?
Quand je constate que ça fait plus de 10 ans que tous, et le Président lui même, souligne qu’il faut avoir des infrastructures qui soit en adéquation avec notre niveau sportif, et qu’à l’heure où nous parlons il n’y à tous rien, je serais très heureux d’avoir notre Michelin a l’USAP, rien que pour construire cela sans attendre que l’argent public arrose notre club.
Que le rugby vive au-dessus de ces moyens, c’est pas une nouveauté, l’USAP par exemple perd chaque année en moyenne entre 1 et 2 millions, et tant qu’il y a un FR, c’est pas grand chose. Le jour où notre club ne devra plus perdre de l’argent, et vivre au réel, ne vous inquiétez, il en perdra plus, et ça sera au détriment du sportif (moins de recrutement et baisse des salaires). La solution fut envisagée à une époque, avant l’arrivée de FR.
Personnellement ça me dérangerait pas que l’USAP soit en déficit de 10 millions chaque année dans l’éventualité où un mécène comble le déficit. Par contre sans mécène, mauvais papier.
Nous pouvons nous offusquer du système, et j’ai même lu ici « que fait la DNACG », mais la DNACG fait très bien son travail. Elle contrôle les comptes et vérifie que le club a les moyens de pouvoir couvrir un déficit de X millions grâce à son actionnariat. C’est pour cela qu’elle demande des garanties. Concrètement, notre club a un budget autour de 15 à 17 millions, et quand FR débarque pour dire avec moi le budget sera de 18 ou 19 millions, la
DNACG sait pertinemment que c’est presque impossible. Mais elle valide cela car elle a prit le temps d’avoir des garanties financières que FR lui même puisse injecter l’équivalent si futur déficit.
Le système fonctionne très bien!
De plus, combien de club, relégué administrativement entre le Top14 en direction de la ProD2 ou de la ProD2 vers les divisions inférieures du rugby Français? Par rapport au nombre de clubs en déficit ça doit être très peu.