Affaire Jégou-Auradou

[jeanpeux+]

J'aurais aimé qu'un forumeur me ponde une bonne théorie conspi sur cette affaire mais que nini, 5 pages et même pas l'ombre d'une explication foireuse.

À côté de ça ca débat feminisme et Sandrine Rousseau. Vivement le début du top 14 bordel. Quest-ce quon se fait chier.

C est auradou et jegou on s en fout, par contre tu aurais mis Beria et Dubois là oui c était un complot international pour nous nuire parce qu on sait qu on dérange les puissants

 

[jeanpeux+]

Encore un autre...qui va repondre a encore un autre gros con, qui ne voit pas plus loin que sa petite ideologie et ne comprend rien a ce qu'il lit.
Dans la vie il y a des stats, et il y a le bon sens. Comme dans d'autres affaires (oui oui il y en a) le scenario de la plaignante ne tenait pas debout depuis le debut, et s'est effondre a chaque element nouveau. Chaque affaire est particuliere, c'est bien pour ca qu'il ne faut pas croire les plaintes sur parole, n'en deplaise aux cons. La raison est simple: vu que "la parole se libere" comme disent les journaleux, il n'y a pas de honte a accuser, donc l'accusation ne peut plus servir de quasi-preuve. Partant de la, laisser tomber ne serait-ce qu'une minute la presomption d'innocence donne aux accusatrices potentielles un pouvoir exorbitant de faire embastiller, ne serait-ce qu'a titre provisoire, n'importe quel mec auquel elles veulent nuire. Ce qui est problematique, c'est de traiter un type comme un criminel (incarceration, vue par le monde entier, degats irreparables, couts financiers et de repuitation) par principe parce qu'il est accuse, sans meme evaluer le scenario soumis. Il est souvent difficile de prouver un viol, mais quand l'histoire est d'emblee incoherente, il faut savoir rester prudent.
Les vrais gros beaufs sont ceux qui ne tiennent pas deux minutes de raisonnement et anonnent des slogans, sans penser parf eux-memes...

Ah merci les amis, avec notre 9 qui doit être en vacances dans une île exotique dépourvue de wii fi ce forum devenait un peu trop triste et policé.
A ce rythme on va avoir droit au rdv sur le parking du Gifi de cintegabelle.

PS: je fais un test, moi qd j écris ****** c est censuré et là gros con ça passe

 

[jeanpeux+]

Ah merci les amis, avec notre 9 qui doit être en vacances dans une île exotique dépourvue de wii fi ce forum devenait un peu trop triste et policé.
A ce rythme on va avoir droit au rdv sur le parking du Gifi de cintegabelle.

PS: je fais un test, moi qd j écris ****** c est censuré et là gros con ça passe

Bon beh test concluant d.ébile c est trop vulgaire mais gros con c est bon

 

[tots]

" (...) N'en deplaise aux feministes pour qui il faut toujours croire la femme sur parole. "

Moi, trivialement, je lis : la plaignante est partie en couilles, et ce fait divers confirme bien qu'à moins d'être une féministe exaltée, il faut toujours douter de la parole de la femme dans une affaire de violence sexuelle ou conjugale.
La parole de l'homme, de la chèvre, du colonel Seguin, du chou...
Si c'est bien ce qu'il faut comprendre, et bien je trouve ça nauséabond. Je peux ?

.Je ne suis ni rezzosocios, ni féministe échevelé, ni militant de quoi que ce soit, alors les ânonnements... suis pas initié.
Inutile de tresser tout un chapelet d'évidences sur la présomption d'innocence, le fonctionnement de la justice, la parole libérée,...
Quand il pense par lui-même, le gros con y a déjà pensé.
Quand il pense pour lui-même, le gros beauf ferait bien de mesurer la portée de ses écrits.

Donc il faut admettre pour vrai , sans chercher à vérifier ?Et tu trouves ça nauséabond , plus rien à dire devant une telle idéologie à laquelle on se défend de ne pas appartenir en plus . La vérité c'est toi , la République toi aussi ! Mais qui part en kouille ?

 

[Rotja]

Donc il faut admettre pour vrai , sans chercher à vérifier ?Et tu trouves ça nauséabond , plus rien à dire devant une telle idéologie à laquelle on se défend de ne pas appartenir en plus . La vérité c'est toi , la République toi aussi ! Mais qui part en kouille ?

Les mots et leurs sens, une idéologie ?

LA phrase généralise, et tombe comme un cheveu sur la soupe en conclusion de l'analyse de faits révélés dans le cadre d'une affaire particulière, parmi des milliers d'autres, moins médiatisées (déjà dit).
Si vraiment on veut étendre le truc à un bidule plus général, alors on écrit... "la victime", par exemple, terme plus générique encore que "LA femme" (laquelle ?), ou que les chèvres, les choux, les colonels Moutarde.
Et là, on n'a même plus besoin d'appeler à la rescousse les "féministes" dont on se contrefout.
Et ça pourrait donner un truc du genre "Il ne faut jamais croire la victime sur parole".
Et là, on est bien avancé, tout joyeux d'avoir enfilé une nouvelle perle au chapelet des évidences énoncées plus avant : oui, la justice se doit d'analyser avec circonspection et objectivité des faits tangibles, et de mettre en question froidement et sans passion les arguments de chacune des parties prenantes.
Révolutionnaire, non ?
Bien sûr, la formule ("Il ne faut jamais croire la victime sur parole.", si tu me suis toujours) présente l'inconvénient de décharger notre phrase fétiche de tout relent idéologique (sic) si cher à votre cœur, à toi et ton coreligionnaire.
Pas sûr d'ailleurs que ce soit uniquement idéologique (re-sic à sic à sic, aïe-aïe-aïe), mais bon, le bénéfice du doute et ma bonne humeur du jeudi...

La prochaine fois, promis, j'essaye de faire un dessin.
Mais je ne suis pas très doué.

Oh, et cette tentative adorablement maladroite de me Mélenchoniser, petit coquin, petit canaillou, c'est so chou !
Ce serait si commode, des tiroirs, des cases, des cases et des tiroirs (commode, tiroirs, cases... dis, t'as compris le truc ?)
Serait-ce donc moi, l'idéologisé ?
Je demande à ton miroir, gentil miroir ? (= "c'est c'ui qui dit qui y est ! ").
@+

 

[jo basile]

Sans rentrer dans la polémique sur le féminisme , je crains que cette affaire spit négative pour la cause des femmes en argentine.

Pourquoi la femme a lancé de telles accusations ? A ce stade c'est difficile de le dire puisque la justice doit confirmer que les accusations sont fausses avant d'ouvrir un procès de dénonciation calomnieuse.

La justice argentine a plutôt bien mené l'affaire :

- Il y a une dénonciation plausible et il faut éviter que les coupables éventuels repartent en Europe. Donc on les met en prison.
- Après les premières analyses, la police et le procureur doivent avoir les premiers doutes, donc c'est une résidence surveillée et non pas la prison.
Et on attend les étapes suivantes, mais là, devant le juge d'instruction il faudra que tout le monde joue carte sur table et on verra qui a quoi dans son jeu.

La justice argentine a plutôt bien mené l'affaire , dis-tu?
Je ne pense pas que ce soit l'avis des 2 joueurs , de leur famille de la FFR .
Je ne sais pas si la présomption d'innocence et le droit des étrangers sont les mêmes en Argentine qu'en France mais je ne pense pas qu'ils ont profité aux deux jeunes français.
Plus la procédure avance , on découvre que la plaignante n'a pas été entendu par la justice avant que celle décide de l'arrestation des deux français. Seule sont avocat à porter plainte pour elle . Le médecin qui l'aurait examiné n'est pas un médecin légiste .
La peur de voir les français s'enfuir à balayer la raison , la prudence et ne parlons pas du droit des 2 jeunes joueurs.
On a du mal à discerner les objectifs de l'avocate de la plaignante . Un avocat doit défendre son avocat d'accord . A n'importe quel prix ?
A-t-elle agit dans l'intérêt de sa cliente ?

 

[tots]

Les mots et leurs sens, une idéologie ?

LA phrase généralise, et tombe comme un cheveu sur la soupe en conclusion de l'analyse de faits révélés dans le cadre d'une affaire particulière, parmi des milliers d'autres, moins médiatisées (déjà dit).
Si vraiment on veut étendre le truc à un bidule plus général, alors on écrit... "la victime", par exemple, terme plus générique encore que "LA femme" (laquelle ?), ou que les chèvres, les choux, les colonels Moutarde.
Et là, on n'a même plus besoin d'appeler à la rescousse les "féministes" dont on se contrefout.
Et ça pourrait donner un truc du genre "Il ne faut jamais croire la victime sur parole".
Et là, on est bien avancé, tout joyeux d'avoir enfilé une nouvelle perle au chapelet des évidences énoncées plus avant : oui, la justice se doit d'analyser avec circonspection et objectivité des faits tangibles, et de mettre en question froidement et sans passion les arguments de chacune des parties prenantes.
Révolutionnaire, non ?
Bien sûr, la formule ("Il ne faut jamais croire la victime sur parole.", si tu me suis toujours) présente l'inconvénient de décharger notre phrase fétiche de tout relent idéologique (sic) si cher à votre cœur, à toi et ton coreligionnaire.
Pas sûr d'ailleurs que ce soit uniquement idéologique (re-sic à sic à sic, aïe-aïe-aïe), mais bon, le bénéfice du doute et ma bonne humeur du jeudi...

La prochaine fois, promis, j'essaye de faire un dessin.
Mais je ne suis pas très doué.

Oh, et cette tentative adorablement maladroite de me Mélenchoniser, petit coquin, petit canaillou, c'est so chou !
Ce serait si commode, des tiroirs, des cases, des cases et des tiroirs (commode, tiroirs, cases... dis, t'as compris le truc ?)
Serait-ce donc moi, l'idéologisé ?
Je demande à ton miroir, gentil miroir ? (= "c'est c'ui qui dit qui y est ! ").
@+

Tu construits d'une main et tu détruits de l'autre et ça donne des leçons de dialectique ....ton discours est disert mais pas assez bolide pour donner quelque ivresse au volant de ton char Ben Hur ....tu veux faire un dessin tien .....Charlie t'attends avec tes copines !

 

[Rotja]

Tu construits d'une main et tu détruits de l'autre et ça donne des leçons de dialectique ....ton discours est disert mais pas assez bolide pour donner quelque ivresse au volant de ton char Ben Hur ....tu veux faire un dessin tien .....Charlie t'attends avec tes copines !Voir la pièce jointe 18437

Ma qué ?!!