Nicolas, je ne suis pas sûr de comprendre ta requête.
Le C.Relatif est déjà construit sur les points pris par chaque équipe (puis croisement entre toutes, comme tu le sais).
Pour rappel, le caractère polynomial lisse les courbes : il gomme un accident trop différent des autres occurrences mais étire la courbe si ces accidents se multiplient
Autrement dit, il faut faire attention à la lecture des courbes puisque celles-ci sont des extrapolations (avec une formule néanmoins bien définie) afin de les rendre plus lisibles. Si une 12e place apparaît par la courbe, elle demeure nécessairement dans la prolongation d'une remontée en terme de points pris sur les matchs précédents.
Yep, en bécane, la montagne ça vous gagne.
Mais si tu mets la gomme, sous l'orage ou sous la grêle, gaffe aux courbes lisses.
Bonne idée de les étirer, si tu t'es déjà viandé plus d'une fois, à fortiori dans la brume ou le brouillard, qui ne facilitent pas la lecture.
Après, là où je ne suis pas d'accord, c'est sur les remontées qui se prolongent.
Les P.O., c'est pas les montagnes russes.
Les remontées, ça implique que t'es déjà descendu et que tu montes à nouveau, et que tu vas encore descendre pour monter en suivant. Dans les P.O., descente ou montée, ça se maintient.
Vers l'infini, et au-delà.
Et c'est justement là que les maths touchent à leurs limites.
Parce que là, ça monte, vers l'infini, et au-delà.