Il faut dissocier les partenaires des actionnaires. Les partenaires ne participent en rien à la vie administrative du club. Le partenaire paye pour faire « sa pub ». Ça s’arrête là! L’actionnaire lui c’est bien différent. Il participe à la vie administrative du club, et pour cela il a du à un moment donner mettre de l’argent pour cela. Mais son argent n’est pas « prévu » pour que son nom soit sur le maillot ou les panneaux du stade. Parfois l’actionnaire peut-être partenaire également, mais dans l’immense majorité des cas les partenaires n’ont pas la double casquette sinon il y aurait plus de 300 actionnaires a l’USAP (puisque environ 300 partenaires).
FR aimerait effectivement avoir un partenaire qui donne beaucoup d’argent. Un sponsor. Comme n’importe quel club. Une entreprise qui paye pour faire sa pub sur le maillot du club ou dans le stade. Il serait bien bête de refuser de l’argent sachant qu’il n’y a aucune contre partie dans la « vie administrative » du club. Dans la prise de décision. Le Groupe Maurin par exemple, premier partenaire du club, n’a pas son PDG comme actionnaire du club. Eiffage, qui participe comme partenaire n’a pas un de ses dirigeants comme actionnaire.
Dans ma boîte, nous sommes partenaire du club mais personne siège dans une comisssion ou autre dans le club. Il faut bien distinguer les deux choses.
Que FR ne souhaite pas perdre de son influence au sein du club c’est pas nouveau. Pour cela il paye. Mais croire qu’un « simple » partenaire aurait des exigences sur les décisions du club est utopique. Chacun doit rester à sa place. Si un partenaire souhaite en plus donner son avis et participer à la chaîne de commandement du club il faut pour cela que FR lâche de son influence en acceptant de vendre une partie de ses parts. Et pour le moment, à ma connaissance, FR n’arrive déjà pas à faire venir un grand partenaire alors faire venir en plus de cela un actionnaire ça tient juste du miracle.
Le problème majeur de FR est sa com’. Il est capable d’annoncer à chacune de ses interventions tout et son contraire. Ça en devient risible et cela le ridiculise. Certaines de ses postures mettent même parfois les gens mal à l’aise. J’ai eu à son égard plusieurs fois ce sentiment de gêne où nous étions en train de nous regarder en nous disant « pourquoi? ». Il y a plusieurs écoles. L’école Dagrenat, autoritaire et discret, l’école Goze, consensus, rassembleur et très discret, puis l’école Riviere, avenant, la parole facile, trop facile, aucune discrétion, aucun discernement aucune retenue. C’est comme ça!