Troisième défaite de rang et deuxième consécutive à Sapiac pour les Montalbanais qui restent tout de même deuxièmes du classement. / Photos DDM, Chantal Longo.
Jean-François Reygasse (président) :
«Tous les ingrédients étaient-là pour une belle rencontre, le public, le temps, les partenaires, je suis un peu amer parce que la fête est gâchée pas par l'investissement des joueurs sur ce match de bon niveau, je me tairais sur le responsable de cet état de cause. On n'a pas joué de chance. On aurait pu marquer quelques points de plus. Ce n'est pas grave en soi parce que l'on peut gagner n'importe où. Le championnat n'est pas fini».
Amédée Domenech (capitaine) :
«On aurait du plus concrétiser. Ils reviennent avec leur force. Je suis déçu ce soir, mais il n'y a pas mort d'homme. On a montré que l'on savait gagner à l'extérieur. J'espère qu'on les retrouvera bientôt. Ce qui n'a pas marché aujourd'hui marchera peut-être dans quelques semaines. L'an dernier on avait fini la phase qualificative par six victoires. Sapiac n'est pas mort. On va aller à Mont-de-Marsan sans être une victime. Je n'ai rien à faire de Perpignan qui est beau et riche. Moi, c'est Sapiac et uniquement Sapiac. Tant mieux pour eux s'ils montent».
Thierry Eychenne (président) :
«C'était une grosse fête. Je n'ai pas trop l'habitude de parler du contexte du match, mais il y a eu quelques décisions un peu bizarres. Perpignan et Montauban ont fait un gros match, mais en deux ou trois actions où l'on a été arbitré en petite équipe. Il ne faut pas faire basculer le match sur des erreurs d'arbitrage. Prenons les six derniers matchs comme des finales».
Chris Whitaker (entraîneur) :
«Un match de très haut niveau. On peut se louer de l'investissement des joueurs. Ils sont très fatigués ce soir. On a connu des moments difficiles qui nous ont fait mal. Un tel match, il faut toujours prendre les bonnes options. On a été presque parfaits mais pas parfaits. Mont-de-Marsan sera un autre match très difficile. Tous les matchs vont compter. Le fait que l'on a moins de récupération que l'adversaire c'est la vie».