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Le sujet ouvert par Pana est traité dans bien d'autres posts.
En gros (je caricature) : d'un côté la carrière sportive et / ou l'argent et de l'autre l'amour du cluP et / ou le challenge.
Je pense que le facteur principal qui fait que Guiry va probablement partir, c'est son analyse de l'absence de consistance et du projet et de ceux qui le portent.
Oui, tu dois, quand tu as son parcours et son attachement à l'USAP, rester surtout pour aider à remonter. Mais si tu juges froidement, au vu de ton année passée, des choix qui ont été faits, du maintien aux commandes de certains, que le "projet" de remontée est voué à l'échec à 100%, alors partir c'est éviter le suicide.
J'ai lu que certains comparaient les situations de joueurs à celles de salariés plus classiques. C'est assez vrai, avec la dimension médiatique en plus (pour eux, bien sûr :6775 et le fait que les chasseurs de tête s'intéressent à eux tous les 2 ou 3 ans, donc de très fortes sollicitations. En restant dans cette approche, on peut se demander combien de cadres de haut niveau resteraient dans une entreprise qui perd du jour au lendemain 30 à 40% de son CA mais surtout combien sont ceux qui resteraient en considérant que le chef d'entreprise est un incompétent ou un mauvais capitaine de navire ou un gars à qui on ne peut pas faire confiance (au choix) alors que des concurrents, en croissance, bien dirigés, leur proposent une alternative crédible.
Tu peux aimer l'USAP de toutes tes forces, si tu penses que la direction actuelle et la façon dont le projet de remontée est construit amènent dans le mur, il n'est pas anormal de partir.
En gros (je caricature) : d'un côté la carrière sportive et / ou l'argent et de l'autre l'amour du cluP et / ou le challenge.
Je pense que le facteur principal qui fait que Guiry va probablement partir, c'est son analyse de l'absence de consistance et du projet et de ceux qui le portent.
Oui, tu dois, quand tu as son parcours et son attachement à l'USAP, rester surtout pour aider à remonter. Mais si tu juges froidement, au vu de ton année passée, des choix qui ont été faits, du maintien aux commandes de certains, que le "projet" de remontée est voué à l'échec à 100%, alors partir c'est éviter le suicide.
J'ai lu que certains comparaient les situations de joueurs à celles de salariés plus classiques. C'est assez vrai, avec la dimension médiatique en plus (pour eux, bien sûr :6775 et le fait que les chasseurs de tête s'intéressent à eux tous les 2 ou 3 ans, donc de très fortes sollicitations. En restant dans cette approche, on peut se demander combien de cadres de haut niveau resteraient dans une entreprise qui perd du jour au lendemain 30 à 40% de son CA mais surtout combien sont ceux qui resteraient en considérant que le chef d'entreprise est un incompétent ou un mauvais capitaine de navire ou un gars à qui on ne peut pas faire confiance (au choix) alors que des concurrents, en croissance, bien dirigés, leur proposent une alternative crédible.
Tu peux aimer l'USAP de toutes tes forces, si tu penses que la direction actuelle et la façon dont le projet de remontée est construit amènent dans le mur, il n'est pas anormal de partir.