pouett
Passe du temps sur le forum
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Vendredi, le tribunal correctionnel de Limoges a condamné un père à une amende de 500 euros avec sursis pour avoir donné une fessée à son fils de 9 ans.
Maître Anne-Laure Catherinot a indiqué mardi que le père ne fera pas appel afin de ne pas "encourager les tendances procédurières de la mère de ses deux enfants ", sur fond d'une séparation "très conflictuelle" depuis plus de sept ans.
Un père de famille de Haute-Vienne a été condamné à 500 euros d'amende avec sursis pour une fessée à son garçon de 9 ans, un jugement ponctuant une procédure initiée par la mère, et dont le père ne fera pas appel, a-t-on appris mardi de source judiciaire. A l'audience au tribunal correctionnel vendredi dernier, ce père de 44 ans du Palais-sur-Vienne, dans la banlieue de Limoges , avait reconnu sans problème les faits survenus en juin 2012, expliquant que son fils Daniel le boudait alors depuis plusieurs jours, refusant de lui adresser un mot, pas même un "bonjour". Le père a ajouté ne pas comprendre "la mode actuelle qui veut que l'on ne corrige pas ses enfants", et estimé que son fils "lui devait le respect" raison pour laquelle il lui a administré la fessée, les fesses à l'air. "Un geste violent doublé d'une humiliation" a relevé Estelle Lamotte-Genet, présidente du tribunal où le père comparaissait pour "pour violence sans incapacité sur un mineur de 15 ans par un ascendant ou une personne ayant autorité".
En outre, l'avocate a considéré le jugement "clément", étant donné selon elle le vide juridique sur les sanctions ou corrections autorisées aux parents , qui renvoie des gestes apparentés à la violence à l'article 222-13 du code pénal, relatif aux violences aux personnes vulnérables. A ce titre, son client encourait, rappelle-t-elle trois ans de prison et 45.000 euros d'amende.
Il n'existe pas de loi en France interdisant la punition corporelle, comme dans 22 autres pays européen. La loi tolère même "un droit de correction" des enfants par les membres de la famille, tandis que le code pénal interdit la violence sur mineur.
****** de bizounours de *****...ils vivent dans quel monde ?
Maître Anne-Laure Catherinot a indiqué mardi que le père ne fera pas appel afin de ne pas "encourager les tendances procédurières de la mère de ses deux enfants ", sur fond d'une séparation "très conflictuelle" depuis plus de sept ans.
Un père de famille de Haute-Vienne a été condamné à 500 euros d'amende avec sursis pour une fessée à son garçon de 9 ans, un jugement ponctuant une procédure initiée par la mère, et dont le père ne fera pas appel, a-t-on appris mardi de source judiciaire. A l'audience au tribunal correctionnel vendredi dernier, ce père de 44 ans du Palais-sur-Vienne, dans la banlieue de Limoges , avait reconnu sans problème les faits survenus en juin 2012, expliquant que son fils Daniel le boudait alors depuis plusieurs jours, refusant de lui adresser un mot, pas même un "bonjour". Le père a ajouté ne pas comprendre "la mode actuelle qui veut que l'on ne corrige pas ses enfants", et estimé que son fils "lui devait le respect" raison pour laquelle il lui a administré la fessée, les fesses à l'air. "Un geste violent doublé d'une humiliation" a relevé Estelle Lamotte-Genet, présidente du tribunal où le père comparaissait pour "pour violence sans incapacité sur un mineur de 15 ans par un ascendant ou une personne ayant autorité".
En outre, l'avocate a considéré le jugement "clément", étant donné selon elle le vide juridique sur les sanctions ou corrections autorisées aux parents , qui renvoie des gestes apparentés à la violence à l'article 222-13 du code pénal, relatif aux violences aux personnes vulnérables. A ce titre, son client encourait, rappelle-t-elle trois ans de prison et 45.000 euros d'amende.
Il n'existe pas de loi en France interdisant la punition corporelle, comme dans 22 autres pays européen. La loi tolère même "un droit de correction" des enfants par les membres de la famille, tandis que le code pénal interdit la violence sur mineur.
****** de bizounours de *****...ils vivent dans quel monde ?