NICO LA MASSE
Passe du temps sur le forum
Ca fait pas du bien qu'il n'y ait pas Marty et Perez en ce moment pour faire l'équipe ? :X
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Ca fait pas du bien qu'il n'y ait pas Marty et Perez en ce moment pour faire l'équipe ? :X
Perez j`ai jamais trop apprécié son jeu , avec notamment toujours ses mémes fautes de débutant
Mais c`est aussi un peu la faute des différents entraineurs de ne jamais avoir réussi a le corriger et canaliser sa fougue
Laporte a réussi à apprendre à jouer au rugby à Mathieu Bastaraud ! Bravo aux deux. Pedro, s'était faisable...
Perez j`ai jamais trop apprécié son jeu
Faut pas deconner,Bastareaud ne joue aps comme un centre,a part peter dans le tas et gratter des ballons il sait rien faire,faudrait l'essayer en 3eme latte il serait surement plus interessant
Quelques infos sur l'adversaire du w-e ;-)
http://www.sportchoc.tv/sport/artic...typique-doyen-joue-la-carte-jeune-et-ç-marche
PRO D2 : PERPIGNAN - AURILLAC (SAMEDI À AIMÉ GIRAL).- Le Stade Aurillacois, le doyen de Pro D2 a attaqué sa 10e saison. Peut-être la plus dure et la moins bling-bling. Les minots sont prêts à relever le défi. Sur 38 contrats pros annoncés, les Cantaliens dénombrent vingt-quatre joueurs Jiff, dont dix-huit faits maison. Qui dit mieux ? Son début de saison n'a jamais été aussi performant. L'USAP a du mouron à se faire face à un adversaire qui reste sur deux succès à Béziers et devant Colomiers.
Rien ne sera facile en 2015. Aurillac est de nouveau à la croisée des chemins. En effet, après avoir réalisé une saison exceptionnelle il y a bientôt deux ans, les Cantaliens ont vécu une saison 2013-2014 beaucoup moins bling-bling : 11eme seulement. Pourtant, il s’en est souvent fallu d’un rien pour que la pièce ne tombe du bon côté. Mais il était écrit que, lors d’une séance de tirs aux buts comme à la roulette russe, la balle peut finir dans la tempe ou bien s’éterniser dans le barillet. Comme face à Pau (16-18) et à Mont-de-Marsan (26-19) ou à Albi (30-29).
C’est ainsi que deux défaites, entérinées au-delà du temps réglementaire, sont venues définitivement plomber les cervelles locales. Cette saison, le staff s'est remué les méninges et s'est secoué de nouveau les puces. Aurillac a su garder quasiment son effectif type, a, semble-t-il, encore une fois essayé de recruter intelligent, le tout en gardant une bonne couche de fonds propres dans son porte-monnaie.
Bref, il ne reste plus qu’à prendre un bon départ. Aussi, c’est avec beaucoup d’appétence que la troupe a regagné Aurillac-Nord et son camp d’entrainement de Peyrolles. L'endroit rêvé des forçats de la fonte, du bitume et du relevage de pneus qui s’en sont donné à cœur joie dès le 30 juin. Les Rouge et Bleu ont remis leur métier sur l’ouvrage, les pieds sur les pédales et remplacé le rosé de l’été par des boissons bien plus énergisantes. Car c’est à ce prix que l’hiver prochain pourrait paraître moins douloureux et le mois de mai beaucoup plus savoureux.
Aurillac a goûté aux phases finales et y croit toujours. C’est peut-être pour cela qu’une poignée d’espoirs grenoblois et montferrandais, qu’une doublette géorgienne ainsi que deux internationaux, un Samoan et un Irlandais, sont venus chercher du temps de jeu en Haute-Auvergne.
Aurillac opte pour une cure de jouvence
au sein de son vieux stade Jean Alric
Le fait marquant reste que le Stade Aurillacois continue de jouer la carte jeune. Il n'en pas vraiment le choix. Sur les trente-neuf contrats pros annoncés, les Cantaliens dénombreront vingt-quatre joueurs Jiff, dont dix-huit faits maison. De quoi tordre le cou aux nombreuses idées reçues.
Aurillac forme encore des minots et le récent départ de Jimmy Yobo vers la rade et Toulon en est aujourd’hui le parfait exemple. Avec la disparition des Auscitains du circuit pro, c’est désormais aux Aurillacois de faire durer le miracle permanent.
"Être toujours en Pro D2, est un véritable exploit, argumente Thierry Peuchlestrade, le coach pur beurre du club centenaire. "On fait avec nos moyens, et comme nous n’en avons pas beaucoup et bien on essaie de recruter ciblé tout en faisant confiance aux jeunes d’ici ou d’ailleurs."
"Le profil de notre moyenne d’âge est hyper intéressant, poursuit Jérémy Davidson, le coach-adjoint. "Tous nos gars ont une grosse marge de progression. Plus on les prend jeunes, plus ils ont des chances de s’améliorer."
Et pour cela, les coachs auvergnats ont pu s’appuyer sur un ou plusieurs joueurs d’expérience dans chaque ligne. On pense aux Catanzano, Datunashvili, Lescure, Boisset, Petitjean et Kemp, le capitaine de route.
Et puis le vieux Jean Alric a bénéficié de sa nouvelle tribune dès le mois d’août. Orphelins d’un poumon depuis une saison et demi, les Stadistes peuvent trouver inspiration, respiration et encouragements plein pneus sur les deux largeurs du terrain. L’écrin est beau, les joueurs aussi et les grosses affiches sont en passe d’être imprimées. Il faudra toutefois attendre la fin de saison, le fameux money- time, un 25 avril 2015 pour voir à l'œuvre l'USAP. Aurillac, le club centenaire sait attendre et patienter.
SON PARCOURS
Biarritz - Aurillac ............16-15
Pau - Aurillac ...................41-3
Aurillac - Montauban .......25-9
Bourgoin - Aurillac ..........23-23
Aurillac - Carcassonne ....15-10
Dax - Aurillac....................16-3
Aurillac - Massy ...............48-17
Narbonne - Aurillac ..........33-17
Aurillac - Agen ..................19-12
Aurillac - Albi ....................19-20
Béziers - Aurillac ..............14-19
Aurillac - Colomiers ...........20-13
* Perpignan- Aurillac : les dernières confrontations
Elite 1 - 1999-2000.........Perpignan 25 - 19 Aurillac............29-01-2000
Elite 1 - 1999-2000........Aurillac 12 - 13 Perpignan.............03-06-2000
SA FICHE TECHNIQUE
Fondation : 1904
Statut professionnel SASP
Budget de la SASP : 4,5M€
Couleurs : Rouge et Bleu
Stade : Jean-Alric (capacité 10 000 spectateurs )
Siège : 2 boulevard Louis Dauzier
15000 Aurillac
Président : Christian Millette
Président de l'association : André Magne
Entraîneurs : Jérémy Davidson et Thierry Peuchlestrade
Capitaine : Jakobus Kemp (trois-quarts centre)
Contrats pros : 39, espoirs : 20
Équipementier : Puma
Site web : www.stade-aurillacois.fr
Palmarès : 1 titre de Championnat de France de Fédérale 1 en 2007
Premier match cette saison : samedi 23 août à Biarritz (15-16).
Aurillac - USAP, le 25 avril 2015.
SES FORCES ET SES FAIBLESSES
Un coach international irlandais
à la tête du Stade Aurillacois
Jérémy Davidson, né à Belfast, 32 sélections avec l’équipe d’Irlande, 3 avec les Lions britanniques lors de la tournée en Afrique du Sud en 1997, intronisé à Aurillac en 2011, a clairement indiqué, dès son arrivée, sa volonté de construire et de bâtir pour l’avenir. Cette année encore, également en raison du budget restreint, le club aurillacois a misé sur la jeunesse dans son recrutement.
Parmi toutes les nouvelles têtes, seuls deux joueurs ont plus de 25 ans : le pilier Grégory Fabro et le talonneur Manu Leiataua, des postes qui nécessitent par définition une certaine expérience. Pour le reste, l’ancien technicien castrais compte sur la fougue que peuvent apporter les nombreux jeunes joueurs engagés, ainsi que leur volonté de faire leurs preuves dans un championnat rude comme le Pro D2.
Toutefois, un peu à l’instar des provinces irlandaises, qui confient d’abord les postes clés à des joueurs ayant de la bouteille, la colonne vertébrale de l’équipe a du vécu et une bonne dose de savoir-faire (Lescure, Boisset, Petitjean). Le cocktail alliant jeunes aux dents longues et joueurs d’expérience a été savoureux, par intermittence car si le 'stade Aurillacois a signé une grosse performance, il y a 15 jours en s'imposant à Béziers, il a aussi perdu chez lui face à Albi.
Si l’effectif cantalien s’est particulièrement étoffé et densifié devant, les lignes arrière n’ont que peu bougé durant l’intersaison. Par conséquent, malgré le départ de Jimmy Yobo, seul cadre à avoir quitté le navire, le style de jeu aurillacois ne devrait guère évoluer la saison prochaine.
Une équipe qui joue, qui ose, qui a encaissé
plus d'essais qu'elle n'en a marqué
Fidèle à sa ligne directrice, Thierry Peuchlestrade ne changera pas son fusil d’épaule et son credo resteront le même : une équipe joueuse, qui ose et tente des choses, et ce, en toutes circonstances. Comme ce fut le cas, samedi dernier face à Colomiers (20-13). Ne possédant pas forcément un centre pénétrant capable de casser les défenses adverses, les Cantaliens n’hésitent pas à envoyer de nombreux ballons sur les extérieurs. Car au poste d’ailier, ils possèdent plusieurs joueurs capables de faire la différence en un contre un: Albert Valentin et Pierre Jeudy par leur vitesse et leurs appuis, Ropate Ratu, Savenaca Tokula et Conor Gaston par leur puissance, sans oublier le véloce Jack McPhee, capable d’apporter le surnombre et finir les coups à tout moment.
La saison dernière, ces six hommes ont marqué un tiers des essais aurillacois au sein d’une attaque qui a été d'une grande efficacité. Aurillac n'a pas envie que ça change. Et pourtant, le Stade Aurillacois n'a marqué que 226 points et 16 essais. Aurillac est 6e au classement mais reste bon dernier de la Pro D2, en attaque. C'est un des paradoxes de cette équipe solide en défense, qui sait voyager. Capable d'embrouiller le jeu adverse, en s'appuyant sur une conquête qui a fait des dégâts partout. Sauf à Pau où le Stade a pris une sacrée raclée (3-41). L'USAP a fait beaucoup mieux et forcément dans les têtes, ça va compter...