Je ne comprends pas : Doctolib saturé......

[Blutch]

Tu as raison, bro, laissons crever les vieux, les faibles et les miséreux.

Protégeons les en focalisant l’obligation vaccinale sur eux.

 

[Blutch]

Et les conditions sanitaires, d'hygiène, d'alimentation, les avancées médicales, etc... sont sans doute tout à fait comparables.

Oui et ?

 

[Cata'tonique]

On peut le voir comme ça en effet, mais 5 millions de morts ça représente 0,06% de la population mondiale. Et parmi ces millions de morts, combien étaient en fin de vie ?
C'est un des maux de la société actuelle, elle ne veut plus voir la mort en face...

C'est bien ça, si on parle en pourcentage ça fait "peu" si on compte les gens ça fait nettement plus. Et entre 5 et 15 millions, ça fait beaucoup, il ne faut pas le cacher. Et l'argument "fin de vie" n'est pas recevable en toute logique puisqu'on parle de surmortalité = des gens qui, les années d'avant Covid, n'auraient pas disparu de la surface de la terre.
Il ne s'agit pas de "refuser la mort", en tout cas pas dans mon cas, il s'agit de regretter des morts qui auraient pu "ne pas être" et des vies qui auraient pu fleurir plus longtemps.
Parce qu'on s'écharpe sur "vaccin ou pas" (au passage pour les gens qui le refusent, après tout c'est encore le même mécanisme dont tu parles qui agit : celui de la peur ou du refus du risque) on en vient à oublier l'origine de tout ça, et là c'est encore plus déprimant.

 

[Rotja]

Oui et ?

Non, rien.
Et je reste poli.

 

[Blutch]

C'est bien ça, si on parle en pourcentage ça fait "peu" si on compte les gens ça fait nettement plus. Et entre 5 et 15 millions, ça fait beaucoup, il ne faut pas le cacher.

Oui je vois ce que tu veux dire, bien sûr que ça fait beaucoup, mais je pense qu'il faut malgré tout comparer au regard de la population mondiale. Par exemple dans un village de 50 habitants 35 morts c'est pas la même que dans une ville composée de 2500 habitants, je sais que tu vas me répondre que c'est 35 morts de trop mais on n'a pas la même vision sur le sujet.

Et l'argument "fin de vie" n'est pas recevable en toute logique puisqu'on parle de surmortalité = des gens qui, les années d'avant Covid, n'auraient pas disparu de la surface de la terre.

Peut-être pas cette année 2021 en effet, mais dans les prochaines années malgré tout. C'est la fatalité.

Il ne s'agit pas de "refuser la mort", en tout cas pas dans mon cas, il s'agit de regretter des morts qui auraient pu "ne pas être" et des vies qui auraient pu fleurir plus longtemps.

Pour moi on flirte avec la limite, puisque dans cette idée de "vie qui aurait pu fleurir" il y'a derrière cette volonté d'écarte au maximum cette mort inéluctable.

Parce qu'on s'écharpe sur "vaccin ou pas" (au passage pour les gens qui le refusent, après tout c'est encore le même mécanisme dont tu parles qui agit : celui de la peur ou du refus du risque) on en vient à oublier l'origine de tout ça, et là c'est encore plus déprimant.

On est pas d'accord sur le sujet mais au moins avec toi on peut débattre dans le calme et le respect, au plaisir.

 

[Blutch]

Non, rien.
Et je reste poli.

Oui va te coucher, ça t'empêchera de balancer des phrases qui n'ont aucun rapport avec le problème initial.

 

[Rotja]

@Blutch

Et l'argument "fin de vie" n'est pas recevable en toute logique puisqu'on parle de surmortalité = des gens qui, les années d'avant Covid, n'auraient pas disparu de la surface de la terre.

Peut-être pas cette année 2021 en effet, mais dans les prochaines années malgré tout. C'est la fatalité.

Ben oui, c'est fatal, de toutes façons, on va tous crever.
Je te l'accorde.
Effectivement, "on flirte avec la limite", comme tu dis.

Il ne s'agit pas de "refuser la mort", en tout cas pas dans mon cas, il s'agit de regretter des morts qui auraient pu "ne pas être" et des vies qui auraient pu fleurir plus longtemps.

Pour moi on flirte avec la limite, puisque dans cette idée de "vie qui aurait pu fleurir" il y'a derrière cette volonté d'écarte au maximum cette mort inéluctable.

Peut-être que les 100 millions (à la louche) de victimes de la peste du XIV ème auraient été ravies de de profiter de cette "volonté d'écarte au maximum cette mort inéluctable" que tu décries (du verbe décrier), en bénéficiant par exemple d'une meilleure alimentation, d'une meilleure hygiène, d'une meilleure éducation.
D'une meilleure médecine, avec ses traitements et ses... vaccins.
Peut-être même qu'elles n'auraient été "que" 5 à 15 millions, va savoir.
Peut-être même beaucoup moins, puisque tu sembles très attaché aux pourcentages.
Peut-être que 5 à 15 millions, de nos jours, c'est quand même un peu beaucoup, même si c'est moins que le nombre de victimes de la grippe "espagnole", ou que celui de la seconde guerre mondiale.

Et c'est parfaitement exact, à compter du moment où l'on s'éveille à la vie, la mort est inéluctable, comme tu dis.
Je te l'accorde aussi.
Là, c'est plus du flirt, ou bien alors très poussé.
Mais on ne doit pas tout à fait parler de la même limite.
Quelqu'un a dit "La vie est une maladie mortelle incurable sexuellement transmissible."

C'est un des maux de la société actuelle, elle ne veut plus voir la mort en face.

J'en connais une (je la connais très bien) qui regarde la mort droit dans les yeux bien plus souvent que toi tu ne raisonnes sainement.
Et il y en a beaucoup d'autres comme elle.

Edit
Le problème initial ?
A propos du vaccin :

... faut remettre les choses en place le covid c’est pas la peste.

 

[Blutch]

Ouais c’est bien ce que je pensais, tout le tralala sur les progrès dans la médecine etc ça n’a rien à voir avec ce que je dis. On enfonce des portes ouvertes pour se sentir intelligent.

Par contre, tout ce qui se passe sur les libertés depuis bientôt 2 ans pour une maladie qui fait 0,06% de morts, ça c’est grave.

Au fait, t’as des heures de connexion qui me rappelle étrangement quelqu’un qui aurait disparu du forum