Le discours de Rivière est plus que jamais très inquiétant. Même si la sortie d'Arlettaz après le match a directement calmé l'euphorie ambiante entourant notre maintien, elle a au moins eu le don de mettre le doigt là où ça faisait mal et de tenter de "remuer la merd*".
Au final, on a le maire qui est monté au créneau pour expliquer sèchement qu'il ne pouvait participer plus, chose qui est somme toute logique. Et désormais on sent le président timoré, presque gêné de cette passe d'armes et qui a honte de s'être fait renvoyé dans ses 22 quand Aliot parle de la responsabilité du management de l'USAP à trouver des financements privés et non seulement publics.
Encore une fois Rivière manie les chiffres à sa guise, expliquant qu'on serait passés de 10 à 18 millions d'euros de budget en un an lors de la dernière montée, mais heureusement les journalistes lui rentrent de plus en plus dans le lard pour le confronter aux faits : toujours pas de partenaires d'envergure, tout au plus des chapiteaux dont il voudrait étendre la capacité pour augmenter les recettes du club (!), et pendant ce temps-là nos principaux concurrents que sont Brive et Bayonne annoncent vouloir se renforcer budgétairement.
Le sujet des infrastructures est absolument primordial à très court terme, ne serait-ce que quand on voit que deux de nos jeunes internationaux français U20 (Mfoudi et Randle) se barrent vers d'autres cieux alors qu'ils n'ont même pas eu une seule minute de jeu en pro en Top 14 ou Pro D2 ! Je pense qu'Arlettaz visait aussi clairement Rivière quand il a balancé une bouteille à la mer en disant "il faut que l'on nous aide", malheureusement la réponse du principal concerné est loin d'être rassurante donc prions pour qu'une fracture ne se consomme pas dans les prochains mois si jamais on en reste au même point en termes d'installations (ce qui est le plus probable).
Ce magnifique staff catalano-catalan et cette ****** d'équipe ne pourront pas tirer sur la corde éternellement, les exploits majuscules réalisés cette saison et le maintien arraché dimanche doivent être un déclic pour passer la seconde niveau investissements structurels, autrement tous les efforts du terrain seront vains et on pourra encore longtemps se palucher sur l'exemple de La Rochelle.
Au final, on a le maire qui est monté au créneau pour expliquer sèchement qu'il ne pouvait participer plus, chose qui est somme toute logique. Et désormais on sent le président timoré, presque gêné de cette passe d'armes et qui a honte de s'être fait renvoyé dans ses 22 quand Aliot parle de la responsabilité du management de l'USAP à trouver des financements privés et non seulement publics.
Encore une fois Rivière manie les chiffres à sa guise, expliquant qu'on serait passés de 10 à 18 millions d'euros de budget en un an lors de la dernière montée, mais heureusement les journalistes lui rentrent de plus en plus dans le lard pour le confronter aux faits : toujours pas de partenaires d'envergure, tout au plus des chapiteaux dont il voudrait étendre la capacité pour augmenter les recettes du club (!), et pendant ce temps-là nos principaux concurrents que sont Brive et Bayonne annoncent vouloir se renforcer budgétairement.
Le sujet des infrastructures est absolument primordial à très court terme, ne serait-ce que quand on voit que deux de nos jeunes internationaux français U20 (Mfoudi et Randle) se barrent vers d'autres cieux alors qu'ils n'ont même pas eu une seule minute de jeu en pro en Top 14 ou Pro D2 ! Je pense qu'Arlettaz visait aussi clairement Rivière quand il a balancé une bouteille à la mer en disant "il faut que l'on nous aide", malheureusement la réponse du principal concerné est loin d'être rassurante donc prions pour qu'une fracture ne se consomme pas dans les prochains mois si jamais on en reste au même point en termes d'installations (ce qui est le plus probable).
Ce magnifique staff catalano-catalan et cette ****** d'équipe ne pourront pas tirer sur la corde éternellement, les exploits majuscules réalisés cette saison et le maintien arraché dimanche doivent être un déclic pour passer la seconde niveau investissements structurels, autrement tous les efforts du terrain seront vains et on pourra encore longtemps se palucher sur l'exemple de La Rochelle.
