Besson en fait peut-être trop dans les symboles, par contre il a compris le danger d'un départ de Nicolas Mas et prend le sujet à bras-le-corps, c'est bien.
-
Rentre dans la mêlée des discussions enflammées ! :) Inscris toi en 2 minutes, et même en 10 secondes grâce à ton compte Facebook ! Les supporters t'attendent pour partager des avis ! JE M'INSCRIS ›››
Y aurait il une âme charitable qui voudrait recopier, scanner,... Bref mettre l'interview complet de notre nouveau président sur le forum. Merci par avance.
Il a oublié le lac (artificiel) du Soler et le Castelnou (où je vais faire du vélo), pas de très bonne augure! mrgreen
http://www.lindependant.fr/2012/11/27/je-crois-en-cette-equipe,1705935.php
Président, vous avez rencontré les joueurs ce matin (hier) dans les vestiaires. Quelle a été la teneur de votre premier message ?
Je leur ai tenu un discours de continuité, puisque nous travaillons en équipe depuis le mois de mars autour de Paul Goze (l'ancien président, nommé patron de la Ligue) et avec l'ensemble des vice-présidents, en pleine harmonie avec le manager Marc Delpoux. Je me suis donc présenté en leur disant très clairement que rien ne changerait. Le staff a toute ma confiance. On a revalidé nos objectifs, qui sont une qualification en H-Cup et, au minimum, un quart de finale de Amlin Cup. Vis-à-vis des joueurs, j'ai souhaité rencontrer immédiatement le capitaine de l'équipe, Nicolas Mas, pour lui dire que l'USAP et lui ne faisaient pas qu'un, mais presque. On est très attaché au renouvellement de son contrat, on fera le maximum, sans aller au-delà de nos possibilités financières. Je n'ai pas voulu perdre de temps, Nicolas est une priorité. J'ai dit à plusieurs reprises qu'à mes yeux notre capital culturel était représenté par le Canigou, le Castillet et l'USAP. Si j'ajoutais un quatrième monument, je mettrais bien Nicolas. J'espère qu'il est aussi attaché à nous.
Quel cap allez-vous fixer ?
L'objectif est d'assurer l'avenir de l'USAP en matière sportive, je crois que c'est bien parti. On a un staff de grande qualité - qui est conscient des réalités économiques - et une équipe plein d'entrain. Marc Delpoux, que j'ai rencontré vendredi et ce matin (hier), a pratiquement bouclé son recrutement dans l'enveloppe financière qui lui était imparti. A trois éléments près, tout est calé. Donc maintenant, ma priorité absolue est de pérenniser la situation financière du club dans un contexte difficile. Je lance un appel aux sponsors (environ 400 entreprises), qui ont déjà fait beaucoup d'efforts, mais aussi au public, qui doit revenir en masse à Aimé-Giral, car on produit un beau jeu. Les abonnements et la billetterie, c'est fondamental dans la part du budget (20 à 25 %). Cette saison, l'USAP a économisé un million d'euros sur sa masse salariale. Comment le récupérer ? Former un budget (14,7 M€ en 2012-13) est très difficile. Qu'il s'agisse des collectivités locales - que je vais bientôt rencontrer - ou des sponsors, la crise touche tout le monde. Je mettrai toute mon énergie pour améliorer les recettes. L'objectif, c'est de trouver deux millions d'euros, mais pas forcément pour demain. Ça peut se faire en deux ou trois ans. Peut-être aussi que d'ici là les budgets du Top 14 ne vont pas s'enflammer non plus. La crise ne touche pas que Perpignan.
Dans cette présidence à fonctionnement collégial, en quoi comptez-vous imprimer votre style ?
Je vais essayer d'apporter une certaine rigueur dans la gestion et faire en sorte que l'environnement reste harmonieux entre le conseil d'administration, les actionnaires, les sponsors et les penyes. Je ne suis pas un homme de clan, je ne l'ai jamais été. Une saison est faite de hauts et de bas, de coups de gueule parfois... Je suis un homme de l'ombre, mais j'ai quand même dirigé des entreprises importantes. Je sais recadrer les choses quand c'est nécessaire. Sur l'aspect fonctionnement, je suis très attaché à la présence de Sylvain Derœux (le directeur général). Notre compréhension mutuelle est totale.
Derœux sera-t-il votre caution rugbystique ?
Oui, comme Marc Delpoux, comme tous ceux qui ont compétence en la matière, avant que je puisse moi-même l'acquérir. Il faut être bien clair, je n'ai pas toutes les compétences, c'est pourquoi il est important de bien s'entourer.
Fondamentalement, qu'est ce qui vous a décidé à franchir le pas ?
Je suis entré à la réunion des actionnaires (jeudi dernier) avec l'intention de soutenir un des candidats, que ce soit Laurent (Sobraquès) ou Jean-Charles (Nieto). Mais quand on a fait un tour de table, personne n'a souhaité se présenter, y compris moi-même. Sauf qu'au moment où j'ai dit non, l'ensemble des actionnaires a dit oui à ma place. J'ai alors pris le recul nécessaire et posé un certain nombre de conditions. Mon souhait était de conserver une forte continuité et que Paul Goze, que je félicite pour son élection à la Ligue, reste en soutien pour nous ouvrir des portes dans le monde du rugby pro. On ne pouvait pas sortir de cette réunion sans président.
Avez-vous reçu des messages de félicitations de la part de vos homologues du Top 14 ?
Etant un illustre inconnu... (sourire). Il y en a un qui m'a particulièrement touché, c'est celui de Jean Carrère (ancien international et maire d'Argelès). Ressentez-vous une forme de pression ? Pas au niveau sportif. Je suis très confiant. On a des joueurs extraordinaires, qui ont un véritable esprit. Je crois en cette équipe. "Je vais essayer d'apporter une certaine rigueur dans la gestion"
Président, vous avez rencontré les joueurs ce matin (hier) dans les vestiaires. Quelle a été la teneur de votre premier message ?
Je leur ai tenu un discours de continuité, puisque nous travaillons en équipe depuis le mois de mars autour de Paul Goze (l'ancien président, nommé patron de la Ligue) et avec l'ensemble des vice-présidents, en pleine harmonie avec le manager Marc Delpoux. Je me suis donc présenté en leur disant très clairement que rien ne changerait. Le staff a toute ma confiance. On a revalidé nos objectifs, qui sont une qualification en H-Cup et, au minimum, un quart de finale de Amlin Cup. Vis-à-vis des joueurs, j'ai souhaité rencontrer immédiatement le capitaine de l'équipe, Nicolas Mas, pour lui dire que l'USAP et lui ne faisaient pas qu'un, mais presque. On est très attaché au renouvellement de son contrat, on fera le maximum, sans aller au-delà de nos possibilités financières. Je n'ai pas voulu perdre de temps, Nicolas est une priorité. J'ai dit à plusieurs reprises qu'à mes yeux notre capital culturel était représenté par le Canigou, le Castillet et l'USAP. Si j'ajoutais un quatrième monument, je mettrais bien Nicolas. J'espère qu'il est aussi attaché à nous.
Quel cap allez-vous fixer ?
L'objectif est d'assurer l'avenir de l'USAP en matière sportive, je crois que c'est bien parti. On a un staff de grande qualité - qui est conscient des réalités économiques - et une équipe plein d'entrain. Marc Delpoux, que j'ai rencontré vendredi et ce matin (hier), a pratiquement bouclé son recrutement dans l'enveloppe financière qui lui était imparti. A trois éléments près, tout est calé. Donc maintenant, ma priorité absolue est de pérenniser la situation financière du club dans un contexte difficile. Je lance un appel aux sponsors (environ 400 entreprises), qui ont déjà fait beaucoup d'efforts, mais aussi au public, qui doit revenir en masse à Aimé-Giral, car on produit un beau jeu. Les abonnements et la billetterie, c'est fondamental dans la part du budget (20 à 25 %). Cette saison, l'USAP a économisé un million d'euros sur sa masse salariale. Comment le récupérer ? Former un budget (14,7 M€ en 2012-13) est très difficile. Qu'il s'agisse des collectivités locales - que je vais bientôt rencontrer - ou des sponsors, la crise touche tout le monde. Je mettrai toute mon énergie pour améliorer les recettes. L'objectif, c'est de trouver deux millions d'euros, mais pas forcément pour demain. Ça peut se faire en deux ou trois ans. Peut-être aussi que d'ici là les budgets du Top 14 ne vont pas s'enflammer non plus. La crise ne touche pas que Perpignan.
Dans cette présidence à fonctionnement collégial, en quoi comptez-vous imprimer votre style ?
Je vais essayer d'apporter une certaine rigueur dans la gestion et faire en sorte que l'environnement reste harmonieux entre le conseil d'administration, les actionnaires, les sponsors et les penyes. Je ne suis pas un homme de clan, je ne l'ai jamais été. Une saison est faite de hauts et de bas, de coups de gueule parfois... Je suis un homme de l'ombre, mais j'ai quand même dirigé des entreprises importantes. Je sais recadrer les choses quand c'est nécessaire. Sur l'aspect fonctionnement, je suis très attaché à la présence de Sylvain Derœux (le directeur général). Notre compréhension mutuelle est totale.
Derœux sera-t-il votre caution rugbystique ?
Oui, comme Marc Delpoux, comme tous ceux qui ont compétence en la matière, avant que je puisse moi-même l'acquérir. Il faut être bien clair, je n'ai pas toutes les compétences, c'est pourquoi il est important de bien s'entourer.
Fondamentalement, qu'est ce qui vous a décidé à franchir le pas ?
Je suis entré à la réunion des actionnaires (jeudi dernier) avec l'intention de soutenir un des candidats, que ce soit Laurent (Sobraquès) ou Jean-Charles (Nieto). Mais quand on a fait un tour de table, personne n'a souhaité se présenter, y compris moi-même. Sauf qu'au moment où j'ai dit non, l'ensemble des actionnaires a dit oui à ma place. J'ai alors pris le recul nécessaire et posé un certain nombre de conditions. Mon souhait était de conserver une forte continuité et que Paul Goze, que je félicite pour son élection à la Ligue, reste en soutien pour nous ouvrir des portes dans le monde du rugby pro. On ne pouvait pas sortir de cette réunion sans président.
Avez-vous reçu des messages de félicitations de la part de vos homologues du Top 14 ?
Etant un illustre inconnu... (sourire). Il y en a un qui m'a particulièrement touché, c'est celui de Jean Carrère (ancien international et maire d'Argelès). Ressentez-vous une forme de pression ? Pas au niveau sportif. Je suis très confiant. On a des joueurs extraordinaires, qui ont un véritable esprit. Je crois en cette équipe. "Je vais essayer d'apporter une certaine rigueur dans la gestion"
Dernière édition par un modérateur:
???????????????
RTW a du simplement prendre souvent le bus pour aller à Aimé Giral parce qu'il ne pouvais pas conduire avec sa blessure. Et maintenant qu'il n'est plus bléssé il reprend sa voiture.Enfin jespère que c'est sa!LoL
Il dit que le recrutement est pratiquement bouclé à trois éléments près !! ça fait quand même 3 joueurs donc... c'est pas fini !! LoL
-
33 210
Sujets
-
778 350
Messages
-
3 785
Membres
-
Dernier membre
