Monsieur le Président ,
Voyez donc ma requête ,
Il y a avis de tempête ,
Ne perdez pas de temps .
L'Usap est à la traine ,
On prie dans les chaumières .
Il faut que cela cesse ,
Nous n'avons plus de temps .
Monsieur le Président ,
Ce match à Montpellier ,
Rude sera la bataille ,
mais il faut le gagner .
C'est pas pour vous lâcher ,
Mais dites à vos ouailles ,
" Fini sotte marmaille ,
Vous devez tout donner ."
Samedi j'y serais ,
Moi supporteur de l'ombre ,
Encourager ces hommes ,
Au lieu de les blâmer .
Dites à nos guerriers ,
De ne pas creuser leurs tombes ,
Il faut qu'ils soient des hommes ,
Se sacrifiant sur le pré.
Ils étaient la fierté ,
De tout un peuple gaie ,
Qui à présent se demande ,
S'ils ne vont pas descendre .
Ils veillent les anciens ,
Eux qui attendaient sages ,
Ce Bouclier de passage ,
Les yeux de buée plein.
Chacun est à sa place ,
Vous " présidant " aux finances ,
Les joueurs sur le stade ,
Nous assis à nos places .
Le peuple est en colère ,
Vous , savez vous quoi faire ,
Pour à nouveau lui plaire ,
Et pour le satisfaire .
Il ne nous reste à faire ,
Maintenant que des prières ,
Pour rester bien vivant ,
C'est triste à présent .
Il vous faut réagir ,
Ça peut encore se faire ,
Partez donc à la guerre ,
Faut tout donner en somme .
Allons soyez des hommes ,
Vous êtes nos idoles ,
Cessez vos farandoles ,
Refaite nous plaisir .
Monsieur le Président ,
Puisque c'est votre affaire ,
Dites donc à vos enfants ,
Que tout cela doit changer ,
Que tout cela doit changer......
11 février 2014 .
Voyez donc ma requête ,
Il y a avis de tempête ,
Ne perdez pas de temps .
L'Usap est à la traine ,
On prie dans les chaumières .
Il faut que cela cesse ,
Nous n'avons plus de temps .
Monsieur le Président ,
Ce match à Montpellier ,
Rude sera la bataille ,
mais il faut le gagner .
C'est pas pour vous lâcher ,
Mais dites à vos ouailles ,
" Fini sotte marmaille ,
Vous devez tout donner ."
Samedi j'y serais ,
Moi supporteur de l'ombre ,
Encourager ces hommes ,
Au lieu de les blâmer .
Dites à nos guerriers ,
De ne pas creuser leurs tombes ,
Il faut qu'ils soient des hommes ,
Se sacrifiant sur le pré.
Ils étaient la fierté ,
De tout un peuple gaie ,
Qui à présent se demande ,
S'ils ne vont pas descendre .
Ils veillent les anciens ,
Eux qui attendaient sages ,
Ce Bouclier de passage ,
Les yeux de buée plein.
Chacun est à sa place ,
Vous " présidant " aux finances ,
Les joueurs sur le stade ,
Nous assis à nos places .
Le peuple est en colère ,
Vous , savez vous quoi faire ,
Pour à nouveau lui plaire ,
Et pour le satisfaire .
Il ne nous reste à faire ,
Maintenant que des prières ,
Pour rester bien vivant ,
C'est triste à présent .
Il vous faut réagir ,
Ça peut encore se faire ,
Partez donc à la guerre ,
Faut tout donner en somme .
Allons soyez des hommes ,
Vous êtes nos idoles ,
Cessez vos farandoles ,
Refaite nous plaisir .
Monsieur le Président ,
Puisque c'est votre affaire ,
Dites donc à vos enfants ,
Que tout cela doit changer ,
Que tout cela doit changer......
11 février 2014 .
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