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A Partir du 15 Janvier

ADIUCAVA

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ADIUCAVA

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Cela veut dire que le marqueur d’essais du Stade Français (Waisea) ne pourra plus jouer, dommage que cela ne soit pas sorti avant notre match
 
Dernière édition:

gaspacho31

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Cela veut dire que le marqueur d’essais du Stade Français ne pourra plus jouer, dommage que cela ne soit pas sorti avant notre match

Même Castex émarge au SF? il pouvait pas annoncer cette mesure avec effet immédiat ! hahahaha
 

jfm66

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La belle affaire,... le vaccin est inefficace contre Omicron.

La belle affaire,... le vaccin est inefficace contre Omicron.
D'accord avec Eric.

D'abord, Omicron est dominant et sera rapidement ultra-dominant. Car une grande contagiosité couplée à une faible virulence et à l'inefficacité des vaccins sont des atouts de poids dans la compétition entre les souches. Donc, bien avant les 3 mois d'"efficacité" de la troisième dose, il n'y aura pratiquement plus de Delta. Et seuls resteront en course des souches, éventuellement dérivées d'Omicron, mais nécessairement plus contagieuses encore et moins sensibles aux vaccins.

Comme on va m'accuser de méchant complotiste, je vous soumets la séquence suivante. Le 21 décembre, on trouvait dans la presse (https://www.lejsl.com/sante/2021/12/21/covid-19-le-variant-omicron-desormais-largement-majoritaire-aux-etats-unis) :
Titre : Une dose de rappel augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron
"Cinq mois après vaccination, les anticorps présents dans le sang ne sont plus capables de neutraliser Omicron", note l'Institut Pasteur dans une étude qu'il a menée avec l'Université de Louvain (Belgique) et prépubliée sur le site spécialisé bioRxiv. "Cette perte d'efficacité est également observée chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2 dans les 12 mois précédents".
"Une troisième dose de rappel avec le vaccin Pfizer, ou l'injection d'une dose de vaccin chez les personnes ayant fait antérieurement une infection, augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron", précise l'Institut Pasteur.

Alors, je vous mets le lien vers l'article scientifique du fameux institut, posté le 15 décembre :
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.14.472630v1.full.pdf

Le résumé suffit à comprendre que les résultats des chercheurs contredisent totalement leur institution (ou plutôt que celle-ci ment monumentalement, comme dirait M Prévert) : “Sera from Pfizer or AstraZeneca vaccine recipients, sampled 5 months after complete vaccination, barely inhibited Omicron. Sera from COVID-19 convalescent patients collected 6 or 12 months post symptoms displayed low or no neutralizing activity against Omicron. Administration of a booster Pfizer dose as well as vaccination of previously infected individuals generated an anti-Omicron neutralizing response, with titers 5 to 31 fold lower against Omicron than against Delta. Thus, Omicron escapes most therapeutic monoclonal antibodies and to a large extent vaccine-elicited antibodies.”

Pour les non-anglophones, la traduction automatique : Les sérums de vaccinés Pfizer ou AstraZeneca, échantillonnés 5 mois après la vaccination complète, ont à peine inhibé Omicron. Les sérums de patients convalescents COVID-19 collectés 6 ou 12 mois après les symptômes présentaient une activité neutralisante faible ou nulle contre Omicron. L'administration d'une dose de rappel de Pfizer ainsi que la vaccination des individus précédemment infectés ont généré une réponse neutralisante anti-Omicron, avec des titres 5 à 31 fois plus faibles contre Omicron que contre Delta. Ainsi, Omicron échappe à la plupart des anticorps monoclonaux thérapeutiques et dans une large mesure aux anticorps induits par le vaccin.

Donc, face à Omicron, le booster (la troisième dose) perd de 80 à 97% (c’est cela, 5 à 31 fois moins) du peu d’efficacité qu’il avait face à Delta (60% selon les dires de notre gouvernement cet été, 40% selon les Israéliens au même moment). 3 à 20% de 40-60%, c'est peanuts.

Confirmé dans un autre article, de Cameroni et al., posté le 21 décembre sur BioRxiv :
"Preliminary reports indicated that the neutralizing activity of plasma from Pfizer-BioNTech BNT162b2 vaccinated individuals is severely reduced against SARS-CoV-2 Omicron, documenting a substantial, albeit not complete, escape from mRNA vaccine-elicited neutralizing antibodies. Another report also showed that vaccine effectiveness against symptomatic disease with the Omicron variant is significantly lower than with the Delta variant19.

Si vous en voulez encore, j'en ai dans ma besace, comme cette étude du génome d'Omicron qui montre qu'il est très éloigné des autres souches "historiques", dont Delta, et "suggère" fortement (c'est le terme consacré dans la rédaction scientifique quand on n'est pas totalement sûr) qu'il a évolué après avoir acquis une spécificité sur les rongeurs, dans une sorte de "ping-pong" (sic) entre espèces, en revenant chez l'homme. Tiens, ça confirme les vues déjà anciennes d'un certain Dr Raoult qui s'était penché sur le rôle des visons d'élevage dans l'évolution de variants subitement très novateurs.

Ah! J'oubliais : pour les formes graves, j'attends de voir où et comment c'est publié. Mais (1) je ne vois pas comment on peut supprimer les formes graves avec une immunité négligeable, et (2) tout le monde semble d'accord qu'avec Omicron il y en a déjà beaucoup moins (du moins dans les pays où peu de gens sont vaccinés).
En moins d'un mois on est passé de 50 000 cas quotidiens dont 97% variant delta (exemple le 10 décembre) à 200 000 cas dont 50 % delta (données du 30 décembre). Données de l'application anticovid.

Donc en 20 jours le variant delta est passé de 48 000 cas à 100 000 cas quotidiens. Je ne suis pas sûr qu'on soit tout proche de l'extinction du delta, qui n'est pas un "gentil" variant.
Euhhhhhh les amis, il y a un file pour discuter de cela. Ici le sujet est juste une info comme quoi a partir du 15/01 les joueurs doivent être vaccinés.
A la limite ouvrons le débat sur la question des sanctions si un joueur n'est pas vacciné et le protocole pour les équipes pro, mais pitié arrêtons les débats stériles sur la vaccination dans n'importe quel post du forum.
 

cat'alain

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D'accord avec Eric.

D'abord, Omicron est dominant et sera rapidement ultra-dominant. Car une grande contagiosité couplée à une faible virulence et à l'inefficacité des vaccins sont des atouts de poids dans la compétition entre les souches. Donc, bien avant les 3 mois d'"efficacité" de la troisième dose, il n'y aura pratiquement plus de Delta. Et seuls resteront en course des souches, éventuellement dérivées d'Omicron, mais nécessairement plus contagieuses encore et moins sensibles aux vaccins.

Comme on va m'accuser de méchant complotiste, je vous soumets la séquence suivante. Le 21 décembre, on trouvait dans la presse (https://www.lejsl.com/sante/2021/12/21/covid-19-le-variant-omicron-desormais-largement-majoritaire-aux-etats-unis) :
Titre : Une dose de rappel augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron
"Cinq mois après vaccination, les anticorps présents dans le sang ne sont plus capables de neutraliser Omicron", note l'Institut Pasteur dans une étude qu'il a menée avec l'Université de Louvain (Belgique) et prépubliée sur le site spécialisé bioRxiv. "Cette perte d'efficacité est également observée chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2 dans les 12 mois précédents".
"Une troisième dose de rappel avec le vaccin Pfizer, ou l'injection d'une dose de vaccin chez les personnes ayant fait antérieurement une infection, augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron", précise l'Institut Pasteur.

Alors, je vous mets le lien vers l'article scientifique du fameux institut, posté le 15 décembre :
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.14.472630v1.full.pdf

Le résumé suffit à comprendre que les résultats des chercheurs contredisent totalement leur institution (ou plutôt que celle-ci ment monumentalement, comme dirait M Prévert) : “Sera from Pfizer or AstraZeneca vaccine recipients, sampled 5 months after complete vaccination, barely inhibited Omicron. Sera from COVID-19 convalescent patients collected 6 or 12 months post symptoms displayed low or no neutralizing activity against Omicron. Administration of a booster Pfizer dose as well as vaccination of previously infected individuals generated an anti-Omicron neutralizing response, with titers 5 to 31 fold lower against Omicron than against Delta. Thus, Omicron escapes most therapeutic monoclonal antibodies and to a large extent vaccine-elicited antibodies.”

Pour les non-anglophones, la traduction automatique : Les sérums de vaccinés Pfizer ou AstraZeneca, échantillonnés 5 mois après la vaccination complète, ont à peine inhibé Omicron. Les sérums de patients convalescents COVID-19 collectés 6 ou 12 mois après les symptômes présentaient une activité neutralisante faible ou nulle contre Omicron. L'administration d'une dose de rappel de Pfizer ainsi que la vaccination des individus précédemment infectés ont généré une réponse neutralisante anti-Omicron, avec des titres 5 à 31 fois plus faibles contre Omicron que contre Delta. Ainsi, Omicron échappe à la plupart des anticorps monoclonaux thérapeutiques et dans une large mesure aux anticorps induits par le vaccin.

Donc, face à Omicron, le booster (la troisième dose) perd de 80 à 97% (c’est cela, 5 à 31 fois moins) du peu d’efficacité qu’il avait face à Delta (60% selon les dires de notre gouvernement cet été, 40% selon les Israéliens au même moment). 3 à 20% de 40-60%, c'est peanuts.

Confirmé dans un autre article, de Cameroni et al., posté le 21 décembre sur BioRxiv :
"Preliminary reports indicated that the neutralizing activity of plasma from Pfizer-BioNTech BNT162b2 vaccinated individuals is severely reduced against SARS-CoV-2 Omicron, documenting a substantial, albeit not complete, escape from mRNA vaccine-elicited neutralizing antibodies. Another report also showed that vaccine effectiveness against symptomatic disease with the Omicron variant is significantly lower than with the Delta variant19.

Si vous en voulez encore, j'en ai dans ma besace, comme cette étude du génome d'Omicron qui montre qu'il est très éloigné des autres souches "historiques", dont Delta, et "suggère" fortement (c'est le terme consacré dans la rédaction scientifique quand on n'est pas totalement sûr) qu'il a évolué après avoir acquis une spécificité sur les rongeurs, dans une sorte de "ping-pong" (sic) entre espèces, en revenant chez l'homme. Tiens, ça confirme les vues déjà anciennes d'un certain Dr Raoult qui s'était penché sur le rôle des visons d'élevage dans l'évolution de variants subitement très novateurs.

Ah! J'oubliais : pour les formes graves, j'attends de voir où et comment c'est publié. Mais (1) je ne vois pas comment on peut supprimer les formes graves avec une immunité négligeable, et (2) tout le monde semble d'accord qu'avec Omicron il y en a déjà beaucoup moins (du moins dans les pays où peu de gens sont vaccinés).
Tu me fais penser à certains patients qui après avoir fait 3 recherches sur Google se permettent de chalenger le diagnostic de leur specialiste qui lui s'est tapé 10 à 12 ans d'études haha
 

passionUsap

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D'accord avec Eric.

D'abord, Omicron est dominant et sera rapidement ultra-dominant. Car une grande contagiosité couplée à une faible virulence et à l'inefficacité des vaccins sont des atouts de poids dans la compétition entre les souches. Donc, bien avant les 3 mois d'"efficacité" de la troisième dose, il n'y aura pratiquement plus de Delta. Et seuls resteront en course des souches, éventuellement dérivées d'Omicron, mais nécessairement plus contagieuses encore et moins sensibles aux vaccins.

Comme on va m'accuser de méchant complotiste, je vous soumets la séquence suivante. Le 21 décembre, on trouvait dans la presse (https://www.lejsl.com/sante/2021/12/21/covid-19-le-variant-omicron-desormais-largement-majoritaire-aux-etats-unis) :
Titre : Une dose de rappel augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron
"Cinq mois après vaccination, les anticorps présents dans le sang ne sont plus capables de neutraliser Omicron", note l'Institut Pasteur dans une étude qu'il a menée avec l'Université de Louvain (Belgique) et prépubliée sur le site spécialisé bioRxiv. "Cette perte d'efficacité est également observée chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2 dans les 12 mois précédents".
"Une troisième dose de rappel avec le vaccin Pfizer, ou l'injection d'une dose de vaccin chez les personnes ayant fait antérieurement une infection, augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron", précise l'Institut Pasteur.

Alors, je vous mets le lien vers l'article scientifique du fameux institut, posté le 15 décembre :
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.14.472630v1.full.pdf

Le résumé suffit à comprendre que les résultats des chercheurs contredisent totalement leur institution (ou plutôt que celle-ci ment monumentalement, comme dirait M Prévert) : “Sera from Pfizer or AstraZeneca vaccine recipients, sampled 5 months after complete vaccination, barely inhibited Omicron. Sera from COVID-19 convalescent patients collected 6 or 12 months post symptoms displayed low or no neutralizing activity against Omicron. Administration of a booster Pfizer dose as well as vaccination of previously infected individuals generated an anti-Omicron neutralizing response, with titers 5 to 31 fold lower against Omicron than against Delta. Thus, Omicron escapes most therapeutic monoclonal antibodies and to a large extent vaccine-elicited antibodies.”

Pour les non-anglophones, la traduction automatique : Les sérums de vaccinés Pfizer ou AstraZeneca, échantillonnés 5 mois après la vaccination complète, ont à peine inhibé Omicron. Les sérums de patients convalescents COVID-19 collectés 6 ou 12 mois après les symptômes présentaient une activité neutralisante faible ou nulle contre Omicron. L'administration d'une dose de rappel de Pfizer ainsi que la vaccination des individus précédemment infectés ont généré une réponse neutralisante anti-Omicron, avec des titres 5 à 31 fois plus faibles contre Omicron que contre Delta. Ainsi, Omicron échappe à la plupart des anticorps monoclonaux thérapeutiques et dans une large mesure aux anticorps induits par le vaccin.

Donc, face à Omicron, le booster (la troisième dose) perd de 80 à 97% (c’est cela, 5 à 31 fois moins) du peu d’efficacité qu’il avait face à Delta (60% selon les dires de notre gouvernement cet été, 40% selon les Israéliens au même moment). 3 à 20% de 40-60%, c'est peanuts.

Confirmé dans un autre article, de Cameroni et al., posté le 21 décembre sur BioRxiv :
"Preliminary reports indicated that the neutralizing activity of plasma from Pfizer-BioNTech BNT162b2 vaccinated individuals is severely reduced against SARS-CoV-2 Omicron, documenting a substantial, albeit not complete, escape from mRNA vaccine-elicited neutralizing antibodies. Another report also showed that vaccine effectiveness against symptomatic disease with the Omicron variant is significantly lower than with the Delta variant19.

Si vous en voulez encore, j'en ai dans ma besace, comme cette étude du génome d'Omicron qui montre qu'il est très éloigné des autres souches "historiques", dont Delta, et "suggère" fortement (c'est le terme consacré dans la rédaction scientifique quand on n'est pas totalement sûr) qu'il a évolué après avoir acquis une spécificité sur les rongeurs, dans une sorte de "ping-pong" (sic) entre espèces, en revenant chez l'homme. Tiens, ça confirme les vues déjà anciennes d'un certain Dr Raoult qui s'était penché sur le rôle des visons d'élevage dans l'évolution de variants subitement très novateurs.

Ah! J'oubliais : pour les formes graves, j'attends de voir où et comment c'est publié. Mais (1) je ne vois pas comment on peut supprimer les formes graves avec une immunité négligeable, et (2) tout le monde semble d'accord qu'avec Omicron il y en a déjà beaucoup moins (du moins dans les pays où peu de gens sont vaccinés).

en tout cas, Israel impose une 4 ° dose aux plus de 60 ans ?? donc ton discours antivacs certes documenté me parait qd meme dangereux mais bon libre à toi d' avoir tes convictions
 

llimac

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Tu me fais penser à certains patients qui après avoir fait 3 recherches sur Google se permettent de chalenger le diagnostic de leur specialiste qui lui s'est tapé 10 à 12 ans d'études haha

Si tu as fait 10-12 années d'étude et que tu as des patients, tu devrais pouvoir lire les sources que j'ai données, justement pour que tu puisses me contredire de manière raisonnée. J'ai aussi choisi le résumé car c'est là que les auteurs condensent l'essentiel du papier, leur message fort. Pour le reste, je ne te répondrai pas sur le nombre d'années d'études et de recherches, car cela ne m'intéresse pas de savoir qui a la plus longue ou pisse le plus loin. L'argument d'autorité n'est pas un argument scientifique, pas plus que la moquerie.
 

EricRio

USAPiste sérieux
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D'accord avec Eric.

D'abord, Omicron est dominant et sera rapidement ultra-dominant. Car une grande contagiosité couplée à une faible virulence et à l'inefficacité des vaccins sont des atouts de poids dans la compétition entre les souches. Donc, bien avant les 3 mois d'"efficacité" de la troisième dose, il n'y aura pratiquement plus de Delta. Et seuls resteront en course des souches, éventuellement dérivées d'Omicron, mais nécessairement plus contagieuses encore et moins sensibles aux vaccins.

Comme on va m'accuser de méchant complotiste, je vous soumets la séquence suivante. Le 21 décembre, on trouvait dans la presse (https://www.lejsl.com/sante/2021/12/21/covid-19-le-variant-omicron-desormais-largement-majoritaire-aux-etats-unis) :
Titre : Une dose de rappel augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron
"Cinq mois après vaccination, les anticorps présents dans le sang ne sont plus capables de neutraliser Omicron", note l'Institut Pasteur dans une étude qu'il a menée avec l'Université de Louvain (Belgique) et prépubliée sur le site spécialisé bioRxiv. "Cette perte d'efficacité est également observée chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2 dans les 12 mois précédents".
"Une troisième dose de rappel avec le vaccin Pfizer, ou l'injection d'une dose de vaccin chez les personnes ayant fait antérieurement une infection, augmente fortement les taux d'anticorps, à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron", précise l'Institut Pasteur.

Alors, je vous mets le lien vers l'article scientifique du fameux institut, posté le 15 décembre :
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.14.472630v1.full.pdf

Le résumé suffit à comprendre que les résultats des chercheurs contredisent totalement leur institution (ou plutôt que celle-ci ment monumentalement, comme dirait M Prévert) : “Sera from Pfizer or AstraZeneca vaccine recipients, sampled 5 months after complete vaccination, barely inhibited Omicron. Sera from COVID-19 convalescent patients collected 6 or 12 months post symptoms displayed low or no neutralizing activity against Omicron. Administration of a booster Pfizer dose as well as vaccination of previously infected individuals generated an anti-Omicron neutralizing response, with titers 5 to 31 fold lower against Omicron than against Delta. Thus, Omicron escapes most therapeutic monoclonal antibodies and to a large extent vaccine-elicited antibodies.”

Pour les non-anglophones, la traduction automatique : Les sérums de vaccinés Pfizer ou AstraZeneca, échantillonnés 5 mois après la vaccination complète, ont à peine inhibé Omicron. Les sérums de patients convalescents COVID-19 collectés 6 ou 12 mois après les symptômes présentaient une activité neutralisante faible ou nulle contre Omicron. L'administration d'une dose de rappel de Pfizer ainsi que la vaccination des individus précédemment infectés ont généré une réponse neutralisante anti-Omicron, avec des titres 5 à 31 fois plus faibles contre Omicron que contre Delta. Ainsi, Omicron échappe à la plupart des anticorps monoclonaux thérapeutiques et dans une large mesure aux anticorps induits par le vaccin.

Donc, face à Omicron, le booster (la troisième dose) perd de 80 à 97% (c’est cela, 5 à 31 fois moins) du peu d’efficacité qu’il avait face à Delta (60% selon les dires de notre gouvernement cet été, 40% selon les Israéliens au même moment). 3 à 20% de 40-60%, c'est peanuts.

Confirmé dans un autre article, de Cameroni et al., posté le 21 décembre sur BioRxiv :
"Preliminary reports indicated that the neutralizing activity of plasma from Pfizer-BioNTech BNT162b2 vaccinated individuals is severely reduced against SARS-CoV-2 Omicron, documenting a substantial, albeit not complete, escape from mRNA vaccine-elicited neutralizing antibodies. Another report also showed that vaccine effectiveness against symptomatic disease with the Omicron variant is significantly lower than with the Delta variant19.

Si vous en voulez encore, j'en ai dans ma besace, comme cette étude du génome d'Omicron qui montre qu'il est très éloigné des autres souches "historiques", dont Delta, et "suggère" fortement (c'est le terme consacré dans la rédaction scientifique quand on n'est pas totalement sûr) qu'il a évolué après avoir acquis une spécificité sur les rongeurs, dans une sorte de "ping-pong" (sic) entre espèces, en revenant chez l'homme. Tiens, ça confirme les vues déjà anciennes d'un certain Dr Raoult qui s'était penché sur le rôle des visons d'élevage dans l'évolution de variants subitement très novateurs.

Ah! J'oubliais : pour les formes graves, j'attends de voir où et comment c'est publié. Mais (1) je ne vois pas comment on peut supprimer les formes graves avec une immunité négligeable, et (2) tout le monde semble d'accord qu'avec Omicron il y en a déjà beaucoup moins (du moins dans les pays où peu de gens sont vaccinés).

Il n'y a pas de complotisme juste des faits. Lorsque j'entends des Professeurs comme Montagner , Peronne , Raoult, Claverie, déconseiller formellement ce ''vaccin '' - un produit encore en phase de test et pourtant déjà sur le marché mondial - , alors j'ai tendance à me ranger à leurs avis - surtout qu'ils n'ont aucun conflits d’intérêt ... Depuis ce matin, même Bill Gates - actionnaire principal de Pfiser et financeur de l'OMS ... - convient que le ''vaccin'' ne fonctionne pas . Je ne parlerai même pas de l'avalanche d'effets secondaires qui petit à petit sont dévoilés au grand jour .
Enfin, un peu d'histoire de la santé, quand a-t'on vu dans le passé un vaccin nécessitant x rappels tous les x mois ?
 
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