Les miracles n’existent que dans les contes de Noël. Ce vendredi soir, à Perpignan, Narbonne risque bel et bien de l’apprendre à ses dépens. Les supporteurs « orange et noir », eux, ne se font guère d’illusions quant à l’issue du derby.
Lassés, énervés, fatigués par toutes ces histoires et ce club qui ne vit que sur des crises à répétition, ils lâchent prise. Une poignée d’irréductibles a assisté hier matin à l’entraînement mais la flamme orange en a pris un sacré coup. La plupart d’entre eux ne seront pas du déplacement à Aimé-Giral, vendredi. Et s’ils n’envisagent pas une victoire ils comptent, au moins, sur une réaction. Une révolte ! S’accrocher défensivement, être présent au combat, essayer de faire douter l’USAP, mouiller le maillot, se battre... Bref, jouer au rugby.
Le RCNM devrait bel et bien, et en toute logique, passer Noël dans les profondeurs de la Pro D2. La faute à une défaite à domicile contre Aurillac, la troisième à la maison cette saison (17-31), qui le fait passer à - 7 au classement britannique. Celle-là, plus que les deux précédentes, fait mal à la tête. « On est dans le dur », confiait un joueur hier matin.
La manière de perdre pose toujours autant de questions. Comment cette équipe, capable du meilleur à Béziers par exemple, peut-elle se saborder quelques semaines plus tard ? À la sortie de la séance vidéo, un autre élément rompt le silence : « Je ne comprends pas. On s’était bien entraîné la semaine dernière, tout s’était bien passé, vraiment, et en match, on n’y arrive pas. Ça saute aux yeux à la vidéo. C’est dans les têtes...».Ils ne savent pas jouer ensemble
De l’avis de tous, les avants, sans soulever des montagnes, ont rempli leur part du boulot. Reste que derrière, la ligne de trois-quarts se cherche alors que la mi-championnat vient de passer. Les joueurs ne savent toujours pas se trouver, jouer ensemble. L’attaque est fébrile, la défense laxiste et ça donne des essais de cinquante mètres d’une facilité déconcertante. Voilà pour le tableau qui n’est guère reluisant. Et la fin d’année ne devrait toujours pas permettre de sabrer le champagne.
Lassés, énervés, fatigués par toutes ces histoires et ce club qui ne vit que sur des crises à répétition, ils lâchent prise. Une poignée d’irréductibles a assisté hier matin à l’entraînement mais la flamme orange en a pris un sacré coup. La plupart d’entre eux ne seront pas du déplacement à Aimé-Giral, vendredi. Et s’ils n’envisagent pas une victoire ils comptent, au moins, sur une réaction. Une révolte ! S’accrocher défensivement, être présent au combat, essayer de faire douter l’USAP, mouiller le maillot, se battre... Bref, jouer au rugby.
Le RCNM devrait bel et bien, et en toute logique, passer Noël dans les profondeurs de la Pro D2. La faute à une défaite à domicile contre Aurillac, la troisième à la maison cette saison (17-31), qui le fait passer à - 7 au classement britannique. Celle-là, plus que les deux précédentes, fait mal à la tête. « On est dans le dur », confiait un joueur hier matin.
La manière de perdre pose toujours autant de questions. Comment cette équipe, capable du meilleur à Béziers par exemple, peut-elle se saborder quelques semaines plus tard ? À la sortie de la séance vidéo, un autre élément rompt le silence : « Je ne comprends pas. On s’était bien entraîné la semaine dernière, tout s’était bien passé, vraiment, et en match, on n’y arrive pas. Ça saute aux yeux à la vidéo. C’est dans les têtes...».Ils ne savent pas jouer ensemble
De l’avis de tous, les avants, sans soulever des montagnes, ont rempli leur part du boulot. Reste que derrière, la ligne de trois-quarts se cherche alors que la mi-championnat vient de passer. Les joueurs ne savent toujours pas se trouver, jouer ensemble. L’attaque est fébrile, la défense laxiste et ça donne des essais de cinquante mètres d’une facilité déconcertante. Voilà pour le tableau qui n’est guère reluisant. Et la fin d’année ne devrait toujours pas permettre de sabrer le champagne.