Désormais chaque fois que j'entends" se mettre en marche" j'en trembleseras ton capable de se mettre en marche et enfin gagner un match se serais souhaitable
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Section Paloise - Usap .
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Il faut peut-être pas trop en faire avec l'image d'Epinal non plus, le C.O. avant tout il fleure bon les Laboratoires Fabre et leur 2.4 millards d'euros de C.A.
Et Pierre Fabre a pris des dispositions de son vivant pour que l'entreprise continue à arroser le club après son décès.
Pour moi deux choses à attendre de ce match:
-sera-t-on capable d'avoir une conquête performante deux matchs d'affilés? Si oui ce serait un très bon signe.
-sera-t-on capable de jouer intelligemment comme contre Montpellier, en utilisant le pied, en enfermant l'adversaire dans la boîte, et en étant féroce en défense?
Si on remet ces ingrédients, on devrait ramener quelque chose. Et on sera de retour dans le championnat.
-sera-t-on capable d'avoir une conquête performante deux matchs d'affilés? Si oui ce serait un très bon signe.
-sera-t-on capable de jouer intelligemment comme contre Montpellier, en utilisant le pied, en enfermant l'adversaire dans la boîte, et en étant féroce en défense?
Si on remet ces ingrédients, on devrait ramener quelque chose. Et on sera de retour dans le championnat.
Ils ont déjà la compo Rugbyrama pour annoncer qu'Acebes sera titulaire au centre samedi ?
Quelques changements sont à attendre sur la feuille de match de la Section à l’occasion de la réception de Perpignan samedi (18 heures), dernière rencontre de ce premier bloc de Top 14. C’est en tout cas ce que l’on pouvait déduire de la séance de ce jeudi matin.
À la charnière, il faudra vraisemblablement attendre avant de revoir Colin Slade ou Tom Taylor, qui ne se sont pas entraînés ce jeudi. Antoine Hastoy semble donc parti pour enchaîner à l’ouverture, avec possiblement… Benson Stanley pour le suppléer !
Jesse Mogg, qui a joué les cinq derniers match en intégralité, devrait souffler, ce qui profitera sans doute à Marvin Lestremau (22 ans), plus vu en équipe première depuis… le 21 janvier 2017 et un match de Challenge à Bath. Le retour à une configuration 5 avants + 3 arrières sur le banc pourrait profiter à Atila Septar.
En première ligne, Thomas Domingo devrait prendre la place de Jamie Mackintosh. En troisième, retour attendu de Sean Dougall pour remplacer Pierrick Gunther, blessé.
Le groupe probable : Adriaanse, Corato, Moïse, Domingo, Rey, Bouchet, Metz, Pesenti, Ramsay, Dougall, Butler, Puech, Erbani ; Daubagna, Blanc, Hastoy, Stanley, Nicot, Fumat, Septar, Votu, Lestremau, Malié.
Côté Perpignan
Le trois-quarts polyvalent Pierre Lucas et l’ouvreur ou arrière Paul Marty font leur première apparition de la saison dans le groupe. Le troisième ligne aile Alan Brazo, titulaire lors de cinq de six premiers matches de la saison, restera dans les Pyrénées-Orientales. Retour du talonneur Manu Leiataua, l’une des recrues de l’été, blessé aux cervicales lors du premier match de la saison.
Quatre anciens Palois feront le déplacement : Sylvain Charlet, Masalosalo Tutaia, Afusipa Taumoepeau et Mathieu Acebes.
Le groupe : Boutemmani, Charlet, Forletta, Muller, Carbou, Lam, Leiataua, Botha, Labouteley, Tutaia, Bachelier, Eru, Faleafa, Chateau, Mamea Lemalu ; Deghmache, Ecochard, Jackson, Selponi, Taumoepeau, Sau, Acebes, Bousquet, Lucas, Farnoux, Marty
À la charnière, il faudra vraisemblablement attendre avant de revoir Colin Slade ou Tom Taylor, qui ne se sont pas entraînés ce jeudi. Antoine Hastoy semble donc parti pour enchaîner à l’ouverture, avec possiblement… Benson Stanley pour le suppléer !
Jesse Mogg, qui a joué les cinq derniers match en intégralité, devrait souffler, ce qui profitera sans doute à Marvin Lestremau (22 ans), plus vu en équipe première depuis… le 21 janvier 2017 et un match de Challenge à Bath. Le retour à une configuration 5 avants + 3 arrières sur le banc pourrait profiter à Atila Septar.
En première ligne, Thomas Domingo devrait prendre la place de Jamie Mackintosh. En troisième, retour attendu de Sean Dougall pour remplacer Pierrick Gunther, blessé.
Le groupe probable : Adriaanse, Corato, Moïse, Domingo, Rey, Bouchet, Metz, Pesenti, Ramsay, Dougall, Butler, Puech, Erbani ; Daubagna, Blanc, Hastoy, Stanley, Nicot, Fumat, Septar, Votu, Lestremau, Malié.
Côté Perpignan
Le trois-quarts polyvalent Pierre Lucas et l’ouvreur ou arrière Paul Marty font leur première apparition de la saison dans le groupe. Le troisième ligne aile Alan Brazo, titulaire lors de cinq de six premiers matches de la saison, restera dans les Pyrénées-Orientales. Retour du talonneur Manu Leiataua, l’une des recrues de l’été, blessé aux cervicales lors du premier match de la saison.
Quatre anciens Palois feront le déplacement : Sylvain Charlet, Masalosalo Tutaia, Afusipa Taumoepeau et Mathieu Acebes.
Le groupe : Boutemmani, Charlet, Forletta, Muller, Carbou, Lam, Leiataua, Botha, Labouteley, Tutaia, Bachelier, Eru, Faleafa, Chateau, Mamea Lemalu ; Deghmache, Ecochard, Jackson, Selponi, Taumoepeau, Sau, Acebes, Bousquet, Lucas, Farnoux, Marty
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/section-paloise-usap-un-match-si-special-pour-mathieu-acebes-1538661123
Section Paloise - USAP : un match si spécial pour Mathieu Acébès
Mathieu Acébès vient de prolonger son contrat à l'USAP etest de retour au stade du Hameau (Pau- USAP samedi à 18 h). L'ex chouchou du public palois est désormais celui d'Aimé-Giral. Toujours authentique dans ses commentaires, Mathieu Acébès ne manque pas de souligner les belles années passées en Béarn.
Mathieu Acébès, de la Section à L'USAP © Maxppp - Arnault Serrière et Michel Clementz
On en oublierait presque qu'il est basque ! Mathieu Acébès est aujourd'hui adoré par le public catalan après avoir été adoré par le public béarnais. Mais Mathieu Acébès est bien né à Bayonne en 1987. Formé au Boucau-Tarnos, il a bien sûr porté le maillot des deux grands clubs basques : le Biarritz Olympique (2003-2007) et l'Aviron Bayonnais (2007-2009).
Après un passage à Auch (2009 -2012), c'est donc à Pau qu'il a connu de belles et riches années (2012-2016) avec une montée en Top 14 à la clef. A Perpignan depuis 2016, il n'a pas fallu longtemps au public catalan pour l'adopter, les caractéristiques du joueur étant particulièrement les valeurs appréciées par les fans de l'USAP.
Pour la première fois depuis son départ, le basco-catalano-béarnais va donc fouler de nouveau la pelouse du stade du Hameau. Un stade qui a bien changé depuis son départ. Avant ce retour, Mathieu Acébès ne manque pas de rappeler l'affection qu'il porte à la Section : "C'est un stade particulier pour moi parce que j'ai vécu de très belles années à Pau avec un titre de champion de France et beaucoup de matchs.
J'avais un bon feeling avec les supporters qui ont toujours été sympas avec moi. C'est un club que j'aime beaucoup, quand j'étais jeune je rêvais d'y jouer et d'y faire carrière. C'est particulier et j'ai de la nostalgie, bien sûr, mais aussi de la fierté d'avoir participé à l'évolution de ce club et de revenir là-bas heureux !"
Ce samedi, Mathieu Acébès, passée l'ovation probable du public palois, n'aura pas le temps de verser la larme et de s'attarder sur sa nostalgie. L'USAP, dernière au classement et sans victoire, va devoir livrer un gros match pour rivaliser avec la Section : "Oui, j'entends dire qu'à cause des statistiques on ne va pas se maintenir, qu'on nous laisse tranquilles avec ça !
On va avancer et on va finir par gagner des matchs, ne vous inquiétez pas. Bien sûr, ce sera compliqué à Pau qui est une équipe en place, c'est une grosse écurie du Top 14 avec un gros budget et des stars. On va aller là-bas pour montrer un visage plus que convaincant."
Mathieu Acébès : les statistiques
Communiqué de presse de l'USAP - USAP
Section Paloise - USAP : un match si spécial pour Mathieu Acébès
Mathieu Acébès vient de prolonger son contrat à l'USAP etest de retour au stade du Hameau (Pau- USAP samedi à 18 h). L'ex chouchou du public palois est désormais celui d'Aimé-Giral. Toujours authentique dans ses commentaires, Mathieu Acébès ne manque pas de souligner les belles années passées en Béarn.
Mathieu Acébès, de la Section à L'USAP © Maxppp - Arnault Serrière et Michel Clementz
On en oublierait presque qu'il est basque ! Mathieu Acébès est aujourd'hui adoré par le public catalan après avoir été adoré par le public béarnais. Mais Mathieu Acébès est bien né à Bayonne en 1987. Formé au Boucau-Tarnos, il a bien sûr porté le maillot des deux grands clubs basques : le Biarritz Olympique (2003-2007) et l'Aviron Bayonnais (2007-2009).
Après un passage à Auch (2009 -2012), c'est donc à Pau qu'il a connu de belles et riches années (2012-2016) avec une montée en Top 14 à la clef. A Perpignan depuis 2016, il n'a pas fallu longtemps au public catalan pour l'adopter, les caractéristiques du joueur étant particulièrement les valeurs appréciées par les fans de l'USAP.
Pour la première fois depuis son départ, le basco-catalano-béarnais va donc fouler de nouveau la pelouse du stade du Hameau. Un stade qui a bien changé depuis son départ. Avant ce retour, Mathieu Acébès ne manque pas de rappeler l'affection qu'il porte à la Section : "C'est un stade particulier pour moi parce que j'ai vécu de très belles années à Pau avec un titre de champion de France et beaucoup de matchs.
J'avais un bon feeling avec les supporters qui ont toujours été sympas avec moi. C'est un club que j'aime beaucoup, quand j'étais jeune je rêvais d'y jouer et d'y faire carrière. C'est particulier et j'ai de la nostalgie, bien sûr, mais aussi de la fierté d'avoir participé à l'évolution de ce club et de revenir là-bas heureux !"
Ce samedi, Mathieu Acébès, passée l'ovation probable du public palois, n'aura pas le temps de verser la larme et de s'attarder sur sa nostalgie. L'USAP, dernière au classement et sans victoire, va devoir livrer un gros match pour rivaliser avec la Section : "Oui, j'entends dire qu'à cause des statistiques on ne va pas se maintenir, qu'on nous laisse tranquilles avec ça !
On va avancer et on va finir par gagner des matchs, ne vous inquiétez pas. Bien sûr, ce sera compliqué à Pau qui est une équipe en place, c'est une grosse écurie du Top 14 avec un gros budget et des stars. On va aller là-bas pour montrer un visage plus que convaincant."
Mathieu Acébès : les statistiques
- À Pau : 4 saisons, 84 matchs, 14 essais.
- À Perpignan : 3e saison, 51 matchs, 22 essais.
Communiqué de presse de l'USAP - USAP
Dernière édition:
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-florian-nicot-pau-on-a-tres-bien-compris-la-deception-du-public_sto6958678/story.shtml
Florian Nicot (Pau) : "On a très bien compris la déception du public"
Sifflée par ses supporters lors de sa dernière sortie au Hameau, la Section Paloise doit se réconcilier avec son public, samedi, face à Perpignan. Toutefois, les Catalans en quête d'un premier succès ne viendront pas en Béarn en victimes expiatoires.
Rugbyrama : La venue de Perpignan est-ce l'occasion de vous réconcilier avec votre public après les sifflés du dernier match face au Stade Français ?
Florian Nicot : Bien sûr ! Ce n'est jamais agréable de perdre devant son public et l'on a très bien compris sa déception. Nous sommes passés, ce jour-là, à côté de la première période et nous ne comptons pas réitérer de genre de chose. Un succès samedi nous réconcilierait et nous permettrait de grappiller des points au classement.
Quels sentiments vous ont laissés ces sifflés ?
F.N. : Nous étions en colère d'être mal rentrés dans le match surtout après une deuxième mi-temps plutôt maîtrisée. Au final, le moindre trou d'air en Top 14 peut coûter cher. Malgré ce faux pas au Hameau, nous avons ensuite gagné à Agen. Poursuivons dans cette spirale de victoires !
Match amical - Florian Nicot (Pau) contre Bayonne le 8 Août 2018Icon Sport
Perpignan est-ce l'adversaire le plus abordable de ce début de saison ?
F.N. : Non, car en Top 14 tous les matchs sont difficiles. Celui-là comme les autres sera un gros match avec beaucoup d'intensité. C'est sûr que Clermont et le Stade Français constituaient deux poids lourds à domicile, toutefois Perpignan s'annonce également comme une équipe délicate à jouer.
Néanmoins la victoire est indispensable...
F.N. : Oui, nous n'avons pas le choix car il est indispensable de renouer avec la victoire au Hameau. De leur côté, les Perpignanais ont également besoin de points. Aussi, je pense qu'ils vont venir en Béarn avec les crocs. On sait que les Catalans ont des valeurs et qu'ils ne lâchent rien. Il va falloir s'y coller car le défi sera âpre et le combat intense. Ils ont certes perdu tous leurs matchs, mais parfois de peu ou sur des coups du sort. Soyons méfiants, vigilants et concentrés.
Pensez-vous avoir affaire à une équipe au style de jeu similaire à celui d'Agen ?
F.N. : C'est vrai, comme Agen, Perpignan envoie du jeu. Maintenant reste à savoir avec quelle stratégie et quelles intentions les visiteurs vont venir samedi ? En revanche, cette équipe est complète, puissante et capable de bien faire circuler le ballon. Comme je l'ai dit précédemment, avec deux défaites d'affilée à domicile, nous n'avons plus le choix. En début de saison on espérait, comme beaucoup, ne pas connaître de défaite à domicile. Nous avons perdu deux fois, ça suffit !
Une victoire avec bonus ne serait-elle pas idéale ?
F.N. : Surtout ne pensons pas à ça ! En rugby, il faut mettre les choses dans le bon ordre. D'abord penser à bien entamer la partie, prendre le score et après on verra en fonction du scénario de la rencontre. Remportons déjà le match sans espérer autre chose. Dans la mesure de nos possibilités, l'objectif premier sera de faire la course en tête afin de ne pas subir de pression inutile.
La mêlée reste un secteur fort de la Section Paloise contre le Stade FrançaisIcon Sport
Qu'avez-vous travaillé durant la semaine ?
F.N. : Nous avons mis l'accent sur les sorties de camp, domaine dans lequel nous avons péché à Agen. Ensuite, comme après chaque rencontre, il y avait une foule de détails à améliorer. Côté satisfaction, la touche et la mêlée ont bien fonctionné la semaine dernière. C'est important car le rugby commence devant et lorsque la conquête est performante les choses sont plus simples pour nous derrière. J'espère que nous serons aussi efficaces, samedi, face à Perpignan.
Florian Nicot (Pau) : "On a très bien compris la déception du public"
Sifflée par ses supporters lors de sa dernière sortie au Hameau, la Section Paloise doit se réconcilier avec son public, samedi, face à Perpignan. Toutefois, les Catalans en quête d'un premier succès ne viendront pas en Béarn en victimes expiatoires.
Rugbyrama : La venue de Perpignan est-ce l'occasion de vous réconcilier avec votre public après les sifflés du dernier match face au Stade Français ?
Florian Nicot : Bien sûr ! Ce n'est jamais agréable de perdre devant son public et l'on a très bien compris sa déception. Nous sommes passés, ce jour-là, à côté de la première période et nous ne comptons pas réitérer de genre de chose. Un succès samedi nous réconcilierait et nous permettrait de grappiller des points au classement.
Quels sentiments vous ont laissés ces sifflés ?
F.N. : Nous étions en colère d'être mal rentrés dans le match surtout après une deuxième mi-temps plutôt maîtrisée. Au final, le moindre trou d'air en Top 14 peut coûter cher. Malgré ce faux pas au Hameau, nous avons ensuite gagné à Agen. Poursuivons dans cette spirale de victoires !
Match amical - Florian Nicot (Pau) contre Bayonne le 8 Août 2018Icon Sport
Perpignan est-ce l'adversaire le plus abordable de ce début de saison ?
F.N. : Non, car en Top 14 tous les matchs sont difficiles. Celui-là comme les autres sera un gros match avec beaucoup d'intensité. C'est sûr que Clermont et le Stade Français constituaient deux poids lourds à domicile, toutefois Perpignan s'annonce également comme une équipe délicate à jouer.
Néanmoins la victoire est indispensable...
F.N. : Oui, nous n'avons pas le choix car il est indispensable de renouer avec la victoire au Hameau. De leur côté, les Perpignanais ont également besoin de points. Aussi, je pense qu'ils vont venir en Béarn avec les crocs. On sait que les Catalans ont des valeurs et qu'ils ne lâchent rien. Il va falloir s'y coller car le défi sera âpre et le combat intense. Ils ont certes perdu tous leurs matchs, mais parfois de peu ou sur des coups du sort. Soyons méfiants, vigilants et concentrés.
Pensez-vous avoir affaire à une équipe au style de jeu similaire à celui d'Agen ?
F.N. : C'est vrai, comme Agen, Perpignan envoie du jeu. Maintenant reste à savoir avec quelle stratégie et quelles intentions les visiteurs vont venir samedi ? En revanche, cette équipe est complète, puissante et capable de bien faire circuler le ballon. Comme je l'ai dit précédemment, avec deux défaites d'affilée à domicile, nous n'avons plus le choix. En début de saison on espérait, comme beaucoup, ne pas connaître de défaite à domicile. Nous avons perdu deux fois, ça suffit !
Une victoire avec bonus ne serait-elle pas idéale ?
F.N. : Surtout ne pensons pas à ça ! En rugby, il faut mettre les choses dans le bon ordre. D'abord penser à bien entamer la partie, prendre le score et après on verra en fonction du scénario de la rencontre. Remportons déjà le match sans espérer autre chose. Dans la mesure de nos possibilités, l'objectif premier sera de faire la course en tête afin de ne pas subir de pression inutile.
La mêlée reste un secteur fort de la Section Paloise contre le Stade FrançaisIcon Sport
Qu'avez-vous travaillé durant la semaine ?
F.N. : Nous avons mis l'accent sur les sorties de camp, domaine dans lequel nous avons péché à Agen. Ensuite, comme après chaque rencontre, il y avait une foule de détails à améliorer. Côté satisfaction, la touche et la mêlée ont bien fonctionné la semaine dernière. C'est important car le rugby commence devant et lorsque la conquête est performante les choses sont plus simples pour nous derrière. J'espère que nous serons aussi efficaces, samedi, face à Perpignan.
A nous de relever le defi
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