Voici une partie de ce que j'avais écrit à la fin de la saison dernière (je défendais les joueurs) : "P.G n'a pas su transformer l'essai au niveau financier. François Rivière s'est alors engouffré comme un sauveur dans la brèche financière l'année dernière. Petit rappel : en 2009 François Rivière avait déjà sauté sur Perpignan comme un rapace, pensant pouvoir se faire élire maire chez les ploucs en se faisant passer pour un Perpignanais de toujours, alors qu'il y venait de temps en temps depuis quelques mois à la plage : une vraie tentative de colonisation en prenant les gens pour des cons. Certains, déjà, lui faisaient les yeux doux. C'est comme ça qu'on fait quand on a un ami réputé riche, non ?
En 2013, rongeant toujours le souvenir de sa défaite cuisante aux élections, Rivière qui est un habitué des coups de poker retente alors le coup : il débarque à l'USAP en sauveur et en promettant monts et merveilles a un club en panique (financière). Tout le monde est d'accord pour lui donner les clés du bateau qui fuit de partout. Pourquoi cette obsession de Rivière pour Perpignan ? L'homme se voit une carrière de ministre, et il veut s'implanter quelque part. Candidat dissident de la droite (contre Alduy) en 2009, il savait que l'espace allait être occupé à la mairie par Pujol pendant un mandat de plus (commencé il y a deux semaines). François Rivière a ainsi décidé de devenir "vice-maire" en attendant en attendant son tour. "Vice-maire" c'est à dire… président de l'USAP : une place bien visible à Perpignan. Mais si, malgré sa tête de Oui-Oui, il n'a peur de rien, François Rivière n'a pas plus de compétences en rugby qu'en politique. Mais bon, comme il a de l'argent (combien ??) et comme il n'était pas souhaitable que Perpignan descende en pro-d2, il n'y avait pas le choix.
A posteriori, on peut quand même se demander s'il n'aurait pas été préférable de descendre en pro-D2 sans Rivière et son pognon, plutôt qu'avec.
Les joueurs jouent. Mal ou bien, mais ils jouent. Le staff, lui, il a fait quoi quand il y a eu cette longue série de défaites ? Ils ont changé quoi ? Comment ont-ils dirigé les joueurs ?"
L'Usap était 6e de Top14 quand il l'a ACHETÉ. Il était loin de savoir qu'elle lui coûterait aussi cher, et il pensait à l'époque que son investissement ferait de lui un nouveau Boudjellal, en position de force pour la mairie de Perpiñà.
Tant de ligne pour ne parler que de politique ......pfeuuuuu!!
Et si moi, je te disais que l'Usap ne valait rien sur le marché politique, tu en penserai quoi ?
C'est fini l(époque où l'Usap incarnait le Roussillon, maintenant et depuis un moment, il y a beaucoup de monde au portillon et l'Usap ne doit même pas être dans le trio de têtes.