Étrange rebondissement dans l’affaire opposant Simon Mannix à son ancien club, le Racing-Métro 92. Alors qu’il avait, au début du mois de novembre, expliqué que "le Racing Métro avait des Fidjiens (dans son effectif, ndlr) qui ont refusé d'aller à la Coupe du monde parce que le club leur donnait un chèque s'ils restaient ici (à Paris, ndlr)", le nouvel entraîneur des arrières du Munster revient aujourd’hui sur ces propos et prétend qu’ils ont été déformés alors qu’ils ont pourtant été prononcés... à la radio ! "En effet, je voulais seulement prétendre que si le Racing-Métro l'avait voulu, il aurait pu facilement indemniser les Fidjiens et remettre un chèque à ceux qui ne souhaitaient pas participer à la Coupe du monde, ceux-ci préférant parfois consolider leur carrière en club au regard de difficultés d'organisation du rugby dans les îles du Pacifique et à la superposition des compétitions internationales et nationales et de leur calendrier respectif" commente aujourd’hui l’intéressé.