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Pro D2 : les forces en présence

Un article sur Massy sur Rugbyrama :

"Et maintenant Massy veut rester en ProD2
En vacances jusqu’au 7 juillet, nul doute que les joueurs de Massy ont déjà la tête à la Pro D2. Un championnat difficile, qu’ils ont connu il y a deux ans. Le temps de prendre la température d’une division exigeante, avant de redescendre aussitôt. Malgré le traumatisme de la descente, le départ de certains cadres et le changement d’entraîneur, les Essonniens ont malgré tout réussi leur pari.

"Cette finale, je l’ai quand même en travers de la gorge… Mais bon, le principal était atteint." Romain Dibel, le flanker du RCME, rumine encore la défaite face à Montauban. L’ancien pensionnaire du Pôle France et ses coéquipiers avaient fait du titre leur objectif. Mais rassurons-nous, ils sauront se contenter d’une montée en Pro D2. Le temps des regrets est désormais révolu. Le groupe dirigé par Olivier Nier s’apprête à attaquer bille en tête la préparation estivale, pour s’assurer d’aborder au mieux le premier bloc de rencontres du début de saison. "L’entame de championnat va être capitale. Les cinq premiers matchs seront déterminants, abonde Bakary Meite, le capitaine des ciels et noirs. Cela conditionne ta position au classement, ta façon d’aborder la course au maintien… mais aussi la vision de tes adversaires, celle des arbitres. Il faut qu’ils oublient que tu es promu."

Pour tenter de se maintenir, les "banlieusards" pourront s’appuyer sur leur expérience douloureuse d’il y a deux ans. Mais aussi sur celle d’Olivier Nier. Passé par Rumilly, Oyonnax ou encore Aix-en-Provence, le technicien essonnien peut se targuer d’un joli CV. Nier a beaucoup apporté au groupe au cours de cette – longue et très aléatoire – saison en Fédérale 1, et son vécu au niveau professionnel sera d’autant plus déterminant à l’échelon supérieur. Dibel et Meite s’accordent sur ce point : "Il y a deux ans, on a souffert d’un manque de professionnalisme", analyse le premier. Et son compère de la troisième ligne d’embrayer: "Olivier nous a inculqué la rigueur, et c’est peut-être ce qui nous manquait. On bosse bien. Le coach s’est appuyé sur des acquis, au niveau du jeu, et a apporté des modifications dans l’extra-rugby". L’international ivoirien, conquérant dans l’âme, sait sur quoi il faudra bosser. "Il va falloir se concentrer sur la préparation des matchs, et sur la manière de les aborder. Nous devons aussi progresser dans la gestion tactique des matchs. Il y a deux ans, on a parfois perdu alors qu’on menait au score". Avant de conclure : "Physiquement en revanche, je n’ai aucune crainte".

L’ADN du club au service de ses ambitions

Les dirigeants l’ont bien compris, rien n’est à laisser au hasard dans la perspective d’un maintien toujours plus difficile à acquérir. Surtout quand les adversaires la saison prochaine s’appelleront Pau, Narbonne,Agen… Mais aussi Biarritz et Perpignan. Les joueurs ne boudent pas leur plaisir à l’idée d’affronter de telles écuries. "Ça va être des bêtes d’affiches (sic). Je n’attends que ça, c’est bandant de jouer ce genre de matchs", savoure Romain Dibel. "Ce sont deux équipes qui ont remporté le Top14 il n’y a pas si longtemps, qu’on a regardé à la télé, se rappelle Meite. En jouant face à de telles formations, on récupère notre part de très haut niveau". En vue de relever le défi, entraîneurs et dirigeants ont choisi de tabler sur un recrutement ciblé, avec quelques joueurs d’expérience, comme Olivier Chaplain, en provenance de Grenoble, qui connaît bien la Pro D2. Mais, comme pour bien rappeler que Massy aime la jeunesse, Olivier Nier a souhaité faire venir de jeunes joueurs prometteurs qui connaissent le haut niveau, à l’image de Clément Daguin et Andrew Chauveau, prêtés respectivement par le Stade français et l’UBB, ou encore Pablo Huete, qui vient de disputer les phases finales avec la Section paloise. Florent Maleville, joueur emblématique du club, endosse le rôle de manager, à la manière d’un Mathias Rolland au Castres olympique. Olivier Nier espère encore un ou deux autres prêts, aux postes de pilier droit et d’ouvreur. Il pourrait bien se tourner vers le voisin francilien, où certains joueurs manquent cruellement de temps de jeu. Le budget a été revu à la hausse pour atteindre 5 millions d’euros, et les joueurs devraient disposer d’une salle de musculation flambant neuve dès la reprise.

Une chose est sûre, Massy pourra compter sur l’état d’esprit qui a toujours fait sa force. Dans cette ville du 91 – prononcer "neuf-un" – le rugby a quelque chose de particulier. "Des mecs comme Gambo Adamou ou Pierre Saby se sont vus proposer des contrats en Pro D2, alors que Massy descendait en Fédérale 1. Quand ils nous ont félicités pour la remontée, on sentait qu’ils avaient la haine de pas pouvoir relever ce nouveau challenge avec nous", illustre Romain Dibel. Son capitaine, qui a connu le rugby de province, à Montluçon et à Béziers, explique : "On est une ville de banlieue, où il y a un vrai brassage ethnique. Ici, on cultive une ambiance de quartier. Ça chambre à tout va, on ne se prend pas au sérieux. En tant que joueurs de rugby en région parisienne, on est dans notre coin, entre nous. Il n’y a pas cette pression populaire que tu peux rencontrer ailleurs". Pour preuve, la devise du RCME : "Un club, un cœur, une famille". Dans un relatif anonymat propre au bassin parisien, Massy a su se faire un nom dans le paysage rugbystique français, sous l’impulsion d’Alain Gazon, parti au Racing. Club formateur en puissance, redoutable dans les catégories jeunes, le RC Massy espère cette fois transformer l’essai au meilleur moment, et s’installer durablement dans le monde professionnel"
G. Augendre
Lien : http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2013-2014/et-maintenant-massy-veut-rester-en-pro-d2_sto4303428/story.shtml
 
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Pro D2, Bourgoin - Grégory Puyo: "Ça fait envie d’évoluer dans ce collectif"
Par Laurent Genin, sur Rugbyrama

Grégory Puyo est de retour cette saison à Bourgoin après "deux belles années" passées à Béziers. S’il a retrouvé ses marques facilement dans le club ciel et grenat, le trois-quarts centre estime qu’il doit bosser dur pour gagner sa place dans cette équipe qui a créé de vrais automatismes et produit un rugby offensif la saison dernière.
Est-ce que le CSBJ a beaucoup changé entre votre départ à l’été 2012, après la rétrogradation en Fédérale 1, et votre retour cette saison ?
Grégory PUYO: Oui et non. Je revois beaucoup de mêmes têtes, mais tout le monde a aussi beaucoup évolué. Beaucoup de jeunes ont grandi, l’équipe n’est pas totalement la même. Les coachs aussi ont évolué (Pascal Peyron en charge des avants et Alexandre Péclier pour les trois-quarts, NDLR), ont pris de l’expérience ici. Le club a évolué aussi administrativement en bien. C’est donc avec plaisir que je vois ces changements. D’un autre côté, il ne faut pas se mentir, j’ai repris rapidement mes marques. Tout n’a pas non plus changé énormément. Ça a été facile de se remettre dedans.
Pourquoi avez-vous décidé de quitter Béziers et de revenir à Bourgoin ?
G.P.: Ça s’est fait assez naturellement. Le club ici m’a recontacté courant janvier au moment des négociations avec Béziers. Le projet m’a intéressé. Les pourparlers avec Béziers aussi ne se sont pas très bien passés. Après, tout un contexte familial fait qu’il était plus simple de revenir ici. Ma compagne a son travail ici. Tout un tas de choses a fait que je me suis bien vu revenir dans le coin.
Est-ce que la bonne saison dernière du CSBJ qui a terminé huitième de Pro D2 a aussi pesé dans votre décision ?
G.P.: Oui, bien sûr. Ils ont développé l’an dernier un très bon jeu et obtenu une très bonne place au classement. On a vu une équipe très offensive, qui a marqué plusieurs bonus offensifs dans la saison. Ça fait envie d’évoluer dans ce collectif là. Après, il va falloir beaucoup bosser parce que depuis deux ans, ils ont créé beaucoup d’automatismes entre eux et donc il va falloir se fondre dans le collectif pour essayer d’amener sa patte si on le peut.
" Je ne suis pas un titulaire pour l’instant"
Vous aviez été capitaine du CSBJ en deuxième partie de saison avant votre départ. Allez-vous le redevenir ?
G.P.: Non, comme je l’ai dit, beaucoup de joueurs ont pris de l’expérience, sont en place depuis des années. Moi, je ne suis même pas un titulaire pour l’instant. Je suis juste un mec qui arrive. Chaque chose en son temps. D’abord bosser dur, se refondre dans le collectif, essayer de gagner sa place parce qu’il y a beaucoup de bons joueurs à mon poste. Après on verra. Il y a des mecs en place qui font très bien leur boulot.

L'ancien Biterrois Gregory Puyo (dossard bleu) parmi la ligne de trois-quarts du CSBJ - Rugbyrama
Qu’avez-vous pensé des premières semaines de préparation ?
G.P.: Ça s’est très bien passé. On est vite rentrés dans le vif du sujet. Ça a été une préparation physique avec beaucoup de rugby. On a vite touché le ballon. On a eu le rugby avec plaquages dès la deuxième semaine. C’est vrai que depuis quelques années le ballon arrive vite dans la préparation. Il y a moins de partie "pur physique" au départ. On a bien bossé. Tout le monde est sérieux à l’entraînement. J’espère que cela va continuer. Il nous reste un gros mois avant le premier match de championnat contre Albi le 24 août. On va se préparer comme il le faut. Les matches amicaux vont vite arriver (contre le Lou le 1er août et Romans le 8 août). Tout le monde a envie de faire une bonne saison.
" Ça va être un match piège contre Albi lors de la première journée"
Le week-end dernier, vous avez eu droit à un mini-stage commando dans les Chambaran, en Nord-Isère. Qu’est-ce que vous avez fait au juste ?
G.P.: C’est toujours un peu la même chose : parcours du combattant, des choses qui nous mettent dans la difficulté par petits groupes, s’entraider, etc. Ce sont des choses qui font un peu mal sur le coup. La nuit, ça a été un peu compliqué de dormir. On était dans des petits baraquements tout ouverts, il faisait vraiment très froid. Mais cela s’est bien passé. On a bien rigolé au final. Ça a permis de renforcer la cohésion et pour les nouveaux de s’intégrer. Les groupes sont mélangés, on apprend à se connaître. Après, on a pu se reposer pendant deux jours complets, c’était bienvenu.
Comme vous l’avez dit, vous débutez le Pro D2 par la réception d’Albi. Qu’est-ce que vous inspire plus généralement votre calendrier ?
G.P.: A vrai dire, je n’ai pas trop regardé le calendrier. Je sais juste qu’on a un joli premier bloc de cinq matches, plutôt costaud (Albi, déplacements à Agen puis Dax, réception d’Aurillac et match à Massy). Albi s’est beaucoup renforcé cet été. Ils ont pas mal de recrues dont d’ancien Palois que je connais un peu. Ça va être un match piège. Il faut le préparer avec le plus grand sérieux. De toute façon, dans ce championnat, il n’y aura que des gros défis. Ça va commencer d’entrée avec Albi.
Est-ce que vous avez coché la date de votre retour au stade de la Méditerranée ?
G.P.: Oui, il y a encore un peu de temps (lors de la 9e journée, le week-end du 1er novembre, ndlr). Je coche toujours aussi le retour à Pau, où j’ai de la famille (22e journée, fin février-début mars 2015, ndlr). J’ai passé deux belles années à Béziers. Heureusement qu’ils étaient là quand Bourgoin est descendu en Fédérale 1 pour que je puisse continuer à évoluer en professionnel. Je ne regrette pas mon passage dans ce club. J’ai encore pas mal de potes là-bas.

Lien : http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2013-2014/pro-d2-bourgoin-gregory-puyo-ca-fait-envie-devoluer-dans-ce-collectif_sto4330184/story.shtml
 
Pro D2 - Tarbes

Le vieux sorcier et la jeune garde
Publié le 04/07/2014 à 08:02 La DEPECHE.FR
Henry Broncan, le coach gersois, arrive à Tarbes pour redresser la barre de la formation
Il n'est pas en vacances. Encore moins à la retraite. Les murs de son bureau déjà trop étroits révèlent l'ampleur du travail de recensement entrepris par le sorcier gersois depuis son arrivée à Tarbes lundi dernier. À 70 ans, le professeur est toujours appliqué, méthodique et déterminé à redresser la formation tarbaise.
«J'ai grandi comme entraîneur dans un environnement où la jeunesse tarbaise était crainte. Neuf fois sur dix, les combats entre Auch et Tarbes, les Bigourdans les gagnaient. Ce n'est plus le cas. L'an dernier, aucune équipe, des cadets B aux Espoirs, n'a pu se qualifier. Sans remettre en cause le travail des bénévoles, il y a beaucoup à faire, avec des effectifs restreints et donc des chances de vivre une année encore difficile cette saison. C'est un grand chantier.»
Une tâche aussi lourde que décisive pour l'avenir du TPR et pour laquelle les dirigeants tarbais n'ont pas hésité à s'appuyer sur le sorcier gersois à l'expérience éprouvée de l'Armagnac au Tarn, en passant par Agen. Propulsé responsable de la formation, Henry Broncan présidera aux destinées de la relève tarbaise avec Charly Laran, le directeur du centre de formation. «Ma première surprise, ça a été le peu de terrains disponibles. Deux pour toute l'école de rugby, les Crabos, les Espoirs, les féminines seniors et cadettes, le football américain, ça fait chargé, et l'hiver, ça risque de patauger. Nous avons obtenu le droit d'utiliser le synthétique.» Un premier succès qui pourrait en appeler d'autres et pour lesquels le sorcier a déjà sa potion. «Nous allons porter nos efforts sur les Espoirs, entraînés par Pierre Lapène et Patrick Caïe. Ils auront un fonctionnement très proche de la I, avec beaucoup d'entraînements en commun. Ils se retrouvent en 2e division mais avec une poule de seize clubs très dure, avec de gros déplacements. L'autre catégorie ciblée, ce sont les minimes, où le volume d'entraînements sera augmenté (trois voire quatre par semaine), avec davantage de pluridisciplinarité. C'est ce qui se fait dans les grands clubs. Pour cela, nous devrons nouer d'excellents rapports avec les collèges et les responsables pédagogiques.» Des journées de détection vont être relancées.
Mais Henry Broncan le sait, rien ne sera simple, dans un contexte fragilisé par la disparition de la catégorie Reichel. «Beaucoup de jeunes, certains licenciés au club depuis longtemps, ont été obligés de quitter le TPR alors qu'ils n'étaient pas au bout de leur formation. Qu'ils sachent que ce n'est pas un déshonneur de jouer en fédérale et ne représente pas un blocage pour retrouver le milieu professionnel. J'aurais aimé discuter davantage avec eux. Je suis venu ici pour travailler à temps plein. J'irais voir jouer tous les clubs alentours.»
Et d'enfoncer le clou : «Je reviens dans le comité sept ans après l'avoir quitté. À l'époque, un Haut-Pyrénéen était intouchable pour le FC Auch. Aujourd'hui, dans l'équipe auscitaine Crabos, finaliste du championnat, il y a sept Bigourdans dont le capitaine. Nous devons recréer des liens avec les clubs des Hautes-Pyrénées pour que les meilleurs jeunes jouent au TPR. L'ascenseur doit fonctionner dans les deux sens.»
Vexé par la dernière place des minimes à Agen lors du Superchallenge, Henry Broncan veut être «exemplaire». «J'ai toujours eu l'âme d'un formateur. C'est un travail de longue haleine, mais à 70 ans, je suis plein d'enthousiasme. C'est tellement difficile de former que j'apprends tous les jours. Quand je vois le triangle Guitoune, Huget, Dulin en Bleu, il y a de quoi être fier. Mais on ne fait pas que des internationaux et j'ai aussi échoué. Je veux former des gens qui aiment le rugby. C'est vraiment le travail de toute une vie.» Tout sauf une fin donc…
«Pas là pour les seniors sauf si…»
«Les entraîneurs de la I sont Nicolas Nadau et Frédéric Garcia. Je serai là pour les aider, s'ils en expriment le besoin. L'équipe I, ça reste le plus important pour un club. Il ne faut pas la sacrifier au détriment de la formation, car les jeunes se tournent toujours vers le club le plus structuré, le plus pro, le plus attractif.» Pour autant, Henry Broncan espère voir éclore quelques pépites de Bigorre cette année. «Nous ferons en sorte que les très bons jeunes puissent mettre le pied à l'étrier en première, sans les imposer.» Dix d'entre eux figurent déjà dans les plans du staff.
Andy Barréjot

Lien : http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/04/1912956-le-vieux-sorcier-et-la-jeune-garde.html
 
Se qui est sur c'est que les Narbonnais et Biterrois nous attendent de pied ferme! Quand tu lis les différents forums que ça soit Narbonne, Béziers ou Carcassonne ils nous attendent de pied ferme, beaucoup de leurs supporters en ont fait la priorité de la saison a savoir, battre l'USAP!

Un ami Biterrois m'a dit que la bas, lorsque le calendrier et sorti tous les supporters cherchés en priorité quand ils recevraient l'USAP et Narbonne! Il ma même dit "tu verras que contre l'USAP le stade sera plein"!

En tout cas il me tarde de faire des VRAIS derbys contre, des équipes qui ont un VRAI palmarès* !

- Béziers : 11 Brennus
- Perpignan : 7 Brennus
- Narbonne : 2 Brennus
- Montpellier : 0 Brennus haha (allez tonton Altrad sort encore le carnet pour te payer ton Brennus)!


Perso j'ai fait pareil, j'ai cherché Narbonne et Béziers et j'attends plus que ça maintenant...:drapeau:

Un bon vieux derby à l'ancienne !!!!
 
Sur LNR.fr Par Mathilde DESCOTES-GENON, le 16 juillet 2014.

PRO D2, Béziers – Christophe Hamacek : « La saison de l’ambition »


L’ASBH a terminé la saison 2013/2014 à la 10ème place, son meilleur classement depuis 2008. Après une saison de consolidation, Béziers souhaite maintenant aborder le championnat avec ambition. Nous avons posé nos questions à Christophe Hamacek, entraîneur des avants.

Quel bilan tirez-vous de la saison 2013-2014 ?
Pour les coachs c’était la deuxième saison. Nous sommes arrivés la saison précédente, en cours d’exercice. On était alors dans une phase de reconstruction. Cette année, nous étions dans une phase de consolidation. Le club s’est réellement structuré dans une optique professionnelle. Par exemple nous sommes maintenant dotés d’une véritable salle de musculation.
Au final, c’est une saison correcte. On finit à la 10ème place. Cette saison, c’est celle de l’ambition. On a tiré les enseignements de nos erreurs, nos faiblesses.

Comment se prépare ce passage vers la PRO D2 ?
Pour le moment on travaille que sur des matinées. C’est donc une combinaison de préparation physique, musculation lutte et rugby.

Quels sont les objectifs du club pour 2014-2015 ?
Je vais vous répondre par une pirouette ! Lorsque nous sommes arrivés, l’équipe était 12ème avec la 2ème meilleure affluence de PRO D2. Cette saison, elle était 10ème avec la 5ème affluence. Notre objectif est de finir dans les 2-3 premières meilleures affluences. Après, vous en tirez les conclusions que vous voulez… !!

Les vôtres ?
Ca me gêne de parler d’ambition personnelle. Avec Manuel Edmonds (entraineur des arrières), on souhaite redonner au peuple biterrois la fierté pour son équipe. Si on arrive à réaliser cela, ça voudra dire qu’on aura réussi.

Lien : http://www.lnr.fr/pro-d2-le-point-pro-d2-beziers-christophe-hamacek-la-saison-de-l-ambition-16-07-2014-3-21-18695,18695.html?utm_content=actu_chaude
 
Sur LNR.fr Par Mathilde DESCOTES-GENON, le 16 juillet 2014.

PRO D2, Béziers – Christophe Hamacek : « La saison de l’ambition »


L’ASBH a terminé la saison 2013/2014 à la 10ème place, son meilleur classement depuis 2008. Après une saison de consolidation, Béziers souhaite maintenant aborder le championnat avec ambition. Nous avons posé nos questions à Christophe Hamacek, entraîneur des avants.

Quel bilan tirez-vous de la saison 2013-2014 ?
Pour les coachs c’était la deuxième saison. Nous sommes arrivés la saison précédente, en cours d’exercice. On était alors dans une phase de reconstruction. Cette année, nous étions dans une phase de consolidation. Le club s’est réellement structuré dans une optique professionnelle. Par exemple nous sommes maintenant dotés d’une véritable salle de musculation.
Au final, c’est une saison correcte. On finit à la 10ème place. Cette saison, c’est celle de l’ambition. On a tiré les enseignements de nos erreurs, nos faiblesses.

Comment se prépare ce passage vers la PRO D2 ?
Pour le moment on travaille que sur des matinées. C’est donc une combinaison de préparation physique, musculation lutte et rugby.

Quels sont les objectifs du club pour 2014-2015 ?
Je vais vous répondre par une pirouette ! Lorsque nous sommes arrivés, l’équipe était 12ème avec la 2ème meilleure affluence de PRO D2. Cette saison, elle était 10ème avec la 5ème affluence. Notre objectif est de finir dans les 2-3 premières meilleures affluences. Après, vous en tirez les conclusions que vous voulez… !!

Les vôtres ?
Ca me gêne de parler d’ambition personnelle. Avec Manuel Edmonds (entraineur des arrières), on souhaite redonner au peuple biterrois la fierté pour son équipe. Si on arrive à réaliser cela, ça voudra dire qu’on aura réussi.

Lien : http://www.lnr.fr/pro-d2-le-point-pro-d2-beziers-christophe-hamacek-la-saison-de-l-ambition-16-07-2014-3-21-18695,18695.html?utm_content=actu_chaude
la conclusion qu'on veut???..... ben en fait il vise la douzième place si j'ai bien comprishaha:bravo:
 
Le Stade Aurillacois a disputé à Vichy, un match amical perdu face à Brive (Top 14). L’occasion d’intégrer les recrues et d’effectuer une large revue d’effectifs.

Intégrées dès la première rencontre amicale face à Brive (Top 14), vendredi sur le stade Louis Darragon à Vichy, les recrues du Stade Aurillacois (Pro D2) ont soutenu la comparaison face aux Corréziens (défaite, 28-7).
Le révélateur pour les recrues
D'entrée de jeu, les 3 e ligne Flavien Nouhaillaguet (Grenoble), Arthur Roulin (ASM-Clermont), Maxime Granouillet (2 e ligne, ASM-Clermont) et le pilier Grégory Fabro (Grenoble) ont porté les couleurs cantaliennes pour une première.

Avec eux, le talonneur Manu Leiataua (Samoa-North Harbour), le pilier Nikoloz Khatiashvili (Georgie-Tblissi) et le centre Merab Sharikadze (Georgie-Bourg) ont participé à cette revue d'effectifs en deuxième mi-temps. « On a montré beaucoup d'enthousiasme offensif et défensif et un bon état d'esprit face à une belle équipe de Brive », soulignait Thierry Peuchlestrade. « Je retiendrai la combativité et la bonne défense des nouveaux. En première mi-temps, notre conquête a été très intéressante et on a développé du beau jeu », relatait le coach. Coentraîneur avec Jérémy Davidson, l'ex-demi d'ouverture se félicitait de la prestation des joueurs : « Avec Kemp et Cassan, les nouveaux Granouillet et Fabro ont été à la pointe du combat ». Néanmoins, tout n'a pas été parfait notamment en deuxième période. « On a fait des fautes défensives individuelles, et été laborieux en conquête et pénalisés en mêlée. On a perdu trop de ballons au ras et Brive nous les a confisqués » concluait Peuchlestrade.
Autour de Jean-Alric
Calendrier. Amical : Stade Aurillac - SU Agen, samedi 2 août à 18 heures à Jean-Alric ; Aurillac - USA Perpignan (challenge Vaquerin), jeudi 7 août à Millau à 20 heures ; Aurillac - Albi, jeudi 14 août à 19 heures à Jean-Alric.
 
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