Undelraco
Passe du temps sur le forum
Pour répondre à Maury, je suis d'accord.
Pour Delpoux, il a une circonstance atténuante, c'est que les joueurs qui pour lui étaient des cadres et qu'il a fait venir de Bordeaux se sont blessés. Lopez qui avait commencé à montrer ses qualités, très rapidement et Guitoune, qui avait littéralement explosé à l'USAP, en deuxième partie de saison.
Il a une circonstance agravante, c'est qu'à partir du moment où il n'avait plus les moyens d'aller vers le jeu qu'il voulait, il aurait dû passer à l'adaptation.
Pour Delmas, ou n'importe quel entraîneur qui a le vestiaire contre lui, un club ne peut pas le garder. Mais en principe, pour avoir le vestiaire contre lui c'est qu'il a dû y aller en force et vouloir des choses qui changeaient radicalement avec ce que faisait Brunel.
Que ce soit par l'adaptation ou par le système de jeu, il faut obtenir l'adhésion des joueurs surtout quand on débarque. Soit on a une aura telle et un savoir évident, que les joueurs vont suivre (Laporte débarquant à Toulon ou Novès en équipe de France seront écoutés avec attention), quand d'autres devront convaincre. Et puis, il faut que les choix soient validés sur le terrain et que les joueurs constatent des progrès individuels et collectifs. Et de ce point de vue, ni Delmas ni Delpoux n'ont passé le cap et se sont certainement vus et présentés comme trop beaux. L'un avec son passé biarrot qui commençait à dater, devant des joueurs qui venaient de faire trois saisons exceptionnelles. L'autre avec son coté docteur miracle et ses expériences avortées.
Pour Delpoux, il a une circonstance atténuante, c'est que les joueurs qui pour lui étaient des cadres et qu'il a fait venir de Bordeaux se sont blessés. Lopez qui avait commencé à montrer ses qualités, très rapidement et Guitoune, qui avait littéralement explosé à l'USAP, en deuxième partie de saison.
Il a une circonstance agravante, c'est qu'à partir du moment où il n'avait plus les moyens d'aller vers le jeu qu'il voulait, il aurait dû passer à l'adaptation.
Pour Delmas, ou n'importe quel entraîneur qui a le vestiaire contre lui, un club ne peut pas le garder. Mais en principe, pour avoir le vestiaire contre lui c'est qu'il a dû y aller en force et vouloir des choses qui changeaient radicalement avec ce que faisait Brunel.
Que ce soit par l'adaptation ou par le système de jeu, il faut obtenir l'adhésion des joueurs surtout quand on débarque. Soit on a une aura telle et un savoir évident, que les joueurs vont suivre (Laporte débarquant à Toulon ou Novès en équipe de France seront écoutés avec attention), quand d'autres devront convaincre. Et puis, il faut que les choix soient validés sur le terrain et que les joueurs constatent des progrès individuels et collectifs. Et de ce point de vue, ni Delmas ni Delpoux n'ont passé le cap et se sont certainement vus et présentés comme trop beaux. L'un avec son passé biarrot qui commençait à dater, devant des joueurs qui venaient de faire trois saisons exceptionnelles. L'autre avec son coté docteur miracle et ses expériences avortées.