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Mécène : arrivée de Rivière !

coropaul

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Il est candidat à la présidence de l'USAP : Rivière assure ne "pas être un envahisseur"

Le 06 juillet à 6h00 par Recueilli par V. C. | Mis à jour il y a 1 heure

François Rivière PHOTO/HARRY RAY JORDAN
Conscient de faire le buzz, François Rivière dit avoir les reins solides financièrement et vise le sommet en matière sportive...

A quel stade en sont vos négociations avec l'USAP ?

J'ai rencontré le président Besson il y a trois semaines. Ma position est simple : j'investis depuis longtemps dans le développement d'activités sur Perpignan et l'USAP fait partie de l'histoire de la ville. Je signale également que j'ai été longtemps un des sponsors principaux du club durant les années Dagrenat (2000-07). Si vous regardez des photos d'époque, il y avait ma société Epolia sur le short des joueurs. L'intérêt pour le rugby n'est pas nouveau pour moi.

Quelles sont vos intentions ?

On est dans une conjoncture de crise, il est de plus en plus difficile pour les clubs de rester dans l'élite. Pour y arriver, il est intéressant d'avoir des actionnaires de référence qui ont un profil bicéphale : j'ai la possibilité, sans être multimillionnaire, de pouvoir investir personnellement et, surtout, j'ai un carnet d'adresses, notamment sur Paris, qui peut apporter des sponsors supplémentaires. Depuis deux ans, le travail effectué par les dirigeants est exceptionnel. Être qualifié pour la H-Cup avec une masse salariale de 6 à 7 millions d'euros, c'est un exploit. Mais combien de temps peut-on durer ? Si je viens, c'est sur le long terme. Je peux apporter de la sécurité et du confort au management sportif.

On parle de 10 millions d'euros sur cinq ans...

Je ne le confirme absolument pas. Pour deux raisons : pour l'instant, j'attends que Monsieur Besson me rappelle, car la balle est dans le camp des actionnaires. Ils savent que j'ai un projet finalisé pour le club. Ce que je veux faire, c'est développer le projet sportif de l'USAP. Perpignan et la région en ont besoin. Un actionnaire qui rentre doit prendre des engagements précis sur le plan financier. Si on veut améliorer le recrutement, il faut mettre un à deux millions par an. Ce ne sont pas des paroles en l'air, on ne joue pas au loto là.

Ambitionnez-vous de prendre la majorité du capital ?

Pour l'instant, tout est en discussion. Il est évident que si j'apporte une grosse somme je demanderai un pouvoir important au sein du club. Mais il faut bien comprendre qu'il ne s'agit pas de m'imposer ou d'arriver en fanfare. Je n'ai pas envie de donner des leçons en jetant des millions sur la table. Je souhaite que mon arrivée soit vécue comme un atout et ne pas être considéré comme un envahisseur

Quel peut être le timing ?

Soit ça se fait rapidement, soit ça se fait dans un an ou les années suivantes. La temporalité de ce type d'investissement est qu'il faut que les choses évoluent vite pendant l'été.

On dit que le rugby vit au-dessus de ses moyens. Qu'est ce qui vous pousse à investir ?

J'ai, je l'espère, la réputation d'avoir conduit mes affaires de manière solide. Je ne gère pas un panier percé, je n'ai pas non plus la surface financière des présidents de Toulon et de Montpellier. J'en ai discuté avec les actionnaires : l'USAP est un club qui mérite d'avoir des moyens supplémentaires pour être pérenne et consolider sa place en Top 14.

Votre candidature va faire croire au Père Noël...

Je ne le suis que pour mes enfants. On vit à une époque excessivement difficile. Quand Perpignan a été champion de France, d'après ce qu'on m'a dit, la masse salariale a trop augmenté. Il faut être très prudent, la frontière entre être champion ou relégable se joue à très peu.

Comment l'USAP peut-elle franchir un cap ?

L'objectif est de viser une place les six premiers et d'être champion de France dans les trois ans. Un club de sport est comme une entreprise, il faut avoir un objectif ambitieux. Par contre, il faut que le management sportif n'ait pas d'angoisse avec les finances. Il ne peut pas à la fois gérer le fait de chercher des sous dans la journée et se concentrer sur le sportif, ce n'est pas possible.

Prendre la présidence de l'USAP est l'idéal pour se faire un nom et doper sa notoriété...

Si je voulais me faire un nom, je pense que depuis les dernières élections municipales j'aurais travaillé dans des marques ayant une notoriété plus positive. J'aurais pu le faire depuis des années. J'ai 49 ans. Si je vous disais qu'au travers de l'USAP je ne cherche pas la passion, je mentirais. D'ailleurs, j'ai déjà investi dans le sport, en région parisienne, en aidant des équipes de basket et de hand de première division.

Vos détracteurs vous accusent de vous servir de l'USAP comme un tremplin politique avec, dans le viseur, les municipales de 2014 et 2020 ?

Non. Vous pouvez l'écrire, la réponse est non. Par les temps qui courent, face aux difficultés du pays, je ne pense pas qu'on puisse utiliser quoi que ce soit comme un tremplin. Si vous me dites 'M. Rivière, ne soyez pas hypocrite ', je reconnais que le fait d'être un actionnaire va m'apporter de la notoriété, oui, c'est évident. La vie est longue, c'est elle qui décidera. Je ne réponds pas de manière elliptique. Je pense que la ville a besoin qu'on investisse dans des projets pour la sortir de la torpeur et du marasme. Il faut savoir ce qu'on veut : on ne peut pas être président de l'USAP et prétendre à autre chose six mois plus tard. C'est fini le temps où une même personne pouvait tout faire, être patron d'un club et propriétaire de journaux. Je n'y crois pas.
 

coropaul

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USAP : Rivière fait couler de l'encre

Le 06 juillet à 6h00 par Vincent Couture | Mis à jour il y a 1 heure

PHOTO/H. J.
La déclaration de candidature de l'homme d'affaires François Rivière a pris de court les actionnaires de l'USAP. Favorables à sa venue, ils doivent en débattre lundi et attendent maintenant des garanties.

L'irruption de François Rivière sur la scène usapiste a fait l'effet d'un gros pétard chez les actionnaires du club et, plus généralement, au sein de la classe politique locale. Passe encore que la Mairie (UMP) et le Conseil Général (PS) envisagent d'un œil suspect les ambitions rugbystiques de l'ancien candidat (divers droite) aux municipales de 2009, l'effet de surprise fut en revanche total chez les soutiers du club catalan. "A part le président Besson, on ne l'a pas rencontré. On savait juste qu'il était intéressé par le club mais on n'a vu ni dossier chiffré ni projet d'avenir", déclare l'un d'entre eux. Pour l'heure, tous requièrent l'anonymat, "en attendant d'en savoir plus".

Rendez-vous a ainsi été pris lundi matin à 11 heures à Aimé-Giral, à l'occasion d'une réunion des actionnaires convoquée en urgence par Daniel Besson. Il faut dire que le président des 'sang et or' partage l'étonnement général sur le timing et la méthode employée par François Rivière. L'un de ses proches commente l'événement du jeudi. "On a le sentiment d'être mis devant le fait accompli face à ses déclarations dans L'Indep. Rivière, ce n'est pas Mickey (*), c'est un politique, il a été malin dans son effet d'annonce."

Un grand déballage, du remue-ménage, des bruits de couloirs, quelques susceptibilités froissées, les dirigeants ont été pris de court, mais rien de bien méchant au final. Car sur le fond de l'affaire, l'USAP parle d'une seule et même voix. Si un patron crédible est prêt à mettre plusieurs millions sur la table, "on l'accueillera évidemment par la grande porte", déclarent-ils en chœur, à commencer par Besson himself. Traduire : que François Rivière apporte les preuves de son investissement et il deviendra de facto le 46e président de l'USA Perpignan.

Voilà deux ans que les 'sang et or' clament sur tous les toits qu'avec un ou deux millions supplémentaires dans les caisses ce ne serait pas Byzance, mais presque. Et à en croire l'interview qu'il nous a accordée, François Rivière surgit comme l'oiseau rare tant recherché avec sa proposition de dix millions d'euros en cinq ans dans le panier. "On prend son discours très au sérieux. Il est clair qu'on va demander des garanties mais, si tout se passe bien, il serait vraiment stupide de ne pas l'accueillir. C'est l'avenir de l'USAP qui est en jeu. On ne va pas quand même pas se plaindre de cette bonne nouvelle", plaide un des vice-présidents.

Résumons : si l'ambiance générale est à la précipitation, le mot d'ordre, lui, traduit un oui sans réserve au nouveau mécène. Les actionnaires de l'USAP ont le sentiment - légitime - d'avoir beaucoup versé au pot la saison dernière pour maintenir le navire à flot. C'est pourquoi ils n'entendent pas foncer tête baissée dans un miroir aux alouettes.

François Rivière promet tout le contraire, en prenant soin d'étouffer tout fantasme naissant. "Je ne suis pas Mohed Altrad (le président de Montpellier). Avec moi, le budget ne va pas passer de 15 à 30 millions. Mais je peux apporter de la stabilité et un certain confort sur une longue période." Foi de Rivière, fervent catholique dont le modèle est le pape Jean-Paul II. "Je l'ai rencontré deux fois à Lourdes quand j'étais brancardier", confie-t-il.

Seulement, le rugby ne se nourrit pas que de bons sentiments. Il lui faut aussi des euros à gober. Rivière tient à se présenter en homme légitime. Naissance à Chambéry, père médecin généraliste muté à Narbonne, découverte du Roussillon dans sa jeunesse... "Tout le monde sait que je suis un enfant du pays, J'ai été pendant longtemps dans le monde du parking, j'ai fait aussi le Viaduc du Millau et j'ai maintenant un cabinet conseil qui intervient sur les métaux des infrastructures urbaines autoroutières ; j'ai beaucoup travaillé sur la politique de la ville sous le mandat Sarkozy. D'ailleurs, je préside un observatoire national et européen sur la politique de la ville. Il y a plein de choses qui m'intéressent. Le rugby, à 49 ans, c'est un choix intelligent. L'USAP a une histoire, c'est passionnant."

La même passion qui étreignit Daniel Besson au moment de plonger dans la marmite il y a sept mois et demi. Ce dernier vit sans doute ses derniers jours au sommet de la pyramide du club. Malgré un double écueil - absence de fonds propres, méconnaissance du milieu - son bail s'accompagne d'une remarquable réussite au regard des finances assainies et de la qualification pour la prochaine Coupe d'Europe. "Besson ne s'est pas échappé, il a vraiment fait un excellent boulot", formule un actionnaire influent. Si ça ne ressemble pas déjà à un hommage...
 

Carto

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Il nous refait le coup du pilier gauche .hahahaha

USAP : François Rivière, le million manquant
Le 05 juillet à 6h00 | Mis à jour le 05 juillet

Nommé 45e président de l'USAP le 23 novembre 2012 au terme d'une 'nuit des seconds couteaux' où il est apparu comme l'homme du consensus mou , Daniel Besson, 64 ans, pourrait très prochainement quitter son poste comme il est arrivé : bien malgré lui, sans le voir venir. "J'ai entendu parler de la rumeur d'un repreneur, mais ce n'est pas à ordre du jour. Pour l'instant, je n'ai reçu aucun dossier chiffré. Mais si quelqu'un veut mettre quatre à cinq millions sur la table, il est évidemment le bienvenu", confia-t-il hier matin, sept mois après avoir avoué sa surprise au soir de son intronisation. "Je reconnais qu'il s'agissait d'une cote à 95 contre 1. Je n'étais pas du tout préparé. Mais quand on aime l'USAP, il faut avoir le sens du sacrifice".

Et surtout de l'argent. Car le quelqu'un en question existe et se nomme François Rivière, 49 ans, né à Chambéry. Homme d'affaires ayant réussi dans le secteur des places de stationnement (SEREP et Epolia), François Rivière serait prêt à prendre le contrôle de l'USAP, avec le soutien d'un pool d'investisseurs et d'actionnaires, en apportant sur la table près de dix millions d'euros sur cinq ans. Une manne qu'il refuse de confirmer, tout en insistant sur sa volonté "d'aider le club sur la durée". "Les dirigeants de l'USAP m'ont demandé la confidentialité sur le dossier. Ce que je sais, c'est que la masse salariale du club est actuellement une des plus faibles de l'élite et qu'il faut consacrer de l'argent supplémentaire au recrutement. Pour ça, il faut mettre un à deux millions par an pour pouvoir se développer. Les actionnaires savent que quand j'annonce quelque chose, j'ai les moyens de le faire. Je ne veux rien brusquer mais la balle est désormais dans leur camp", a-t-il déclaré.

Une prise de pouvoir qui est tout sauf un putsch ou un vicieux coup d'épaule mais le fruit de discussions d'un mois et demi avec les principaux actionnaires du club et le directeur général Sylvain Deroeux. La 'Rivière aux euros' assure : "J'ai rencontré Daniel Besson. Ils savent que je suis intéressé, j'ai fait une offre de service. J'ai la chance de pouvoir mettre un peu de sous personnellement (sic) mais aussi de trouver des actionnaires à Paris. Si je m'engage, c'est pour une longue durée. Je ne veux pas que l'USAP ait à se dire en permanence : 'Zut ! Il faut aller chercher de l'argent pour passer les contrôles de la DNACG.' De même, si en fin de saison il faut une pichenette et mettre 300 000 euros pour un joueur, je le ferai. Je n'ai pas à appeler mes banquiers pour le faire. Si l'opération se fait, elle doit se faire maintenant ou dans un an." Voilà qui semble clair pour l'ancien sponsor de l'USAP du temps de Marcel Dagrenat (2000-07).

Du côté de l'USAP, certains acteurs du dossier ne cachent pas que le dossier est "très sérieux et séduisant". Et que, sauf coup de théâtre, la majorité des actionnaires pourrait rapidement valider l'arrivée du nouveau mécène. Trois jours après la reprise de l'entraînement, il s'agit d'une véritable aubaine pour les' sang et or', en proie depuis deux ans à de grosses difficultés financières pour boucler un budget de 15 millions d'euros.

Rivière, l'homme providentiel. L'homo politicus (divers droite) que 7,8 % des Perpignanais connaissent pour avoir voté pour lui aux élections municipales de 2009 ; qui sous la présidence de Sarkozy s'est vu confier une mission sur la politique de la Ville ; qui fut aussi ex-PDG du Viaduc de Millau... Et si l'USAP était le cheval de Troie en vue d'une candidature aux élections de 2014 ou 2020 ? On lui prête des arrière-pensées politiciennes. Il s'en défend avec fermeté : "C'est non, vous pouvez l'écrire. Il faut savoir ce qu'on veut. La présidence de l'USAP n'est pas compatible avec un mandat électif."
 

mayol83

Bannis
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En t'attendant, il a demandé des sources pour le démentir, pas un simple "avis" sur qui il peut-être et qui sont ses sources, et elles ne sont pas présentes dans ta réponse, plus fournie en insulte. Mayol, ton argumentaire s’effrite...Peu importe que tu aies raison ou pas, ton interlocuteur prend le dessus en répondant de manière platonique, alors oppose lui des arguments sensés et concrets. :6775::231183:
Concret comme celui la par exemple ?
DNACG: Quatre clubs en danger, Toulon pas inquiété

Ce lundi, Midi Olympique nous apprend que quatre clubs du Top 14 sont en danger avec la DNACG, la Direction Nationale d’Aide et de Contrôle de Gestion.

Ainsi, Perpignan, Biarritz, le Stade-Français et le Stade-Toulousain seraient dans une situation financière difficile et pourraient être pénalisés.

A Toulouse, le déficit proviendrait d’une baisse considérable des ventes de la billetterie et une moins-value de sa régie publicitaire. Le champion de France en titre pourrait ainsi se libérer de plusieurs joueurs afin de faire des économies.

Le Stade-Français devra faire face à un trou de 6 millions d’Euros. C’est le président du club, Savare, qui devrait mettre la main au portefeuille pour combler les pertes.

Enfin, Perpignan et Biarritz sont dans le rouge puisque les deux clubs connaissent un déficit de 2 millions d’euros et ne possèdent pas d’investisseur capable de combler le trou. Perpignan serait donc encore une fois dans le viseur de la DNACG. Pour sa part, le Biarritz Olympique connaît un retard dans le paiement du salaire de ses joueurs puisque les paiements ont été effectué le 14 ou le 15 de ce mois alors qu’une convention oblige les clubs à payer au plus tard les 10 de chaque mois.

Le Rugby Club Toulonnais n’est pas du tout inquiété, même si le profit réalisé par le club connaîtrait un petit ralentissement.
 

coropaul

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Concret comme celui la par exemple ?
DNACG: Quatre clubs en danger, Toulon pas inquiété

Ce lundi, Midi Olympique nous apprend que quatre clubs du Top 14 sont en danger avec la DNACG, la Direction Nationale d’Aide et de Contrôle de Gestion.

Ainsi, Perpignan, Biarritz, le Stade-Français et le Stade-Toulousain seraient dans une situation financière difficile et pourraient être pénalisés.

A Toulouse, le déficit proviendrait d’une baisse considérable des ventes de la billetterie et une moins-value de sa régie publicitaire. Le champion de France en titre pourrait ainsi se libérer de plusieurs joueurs afin de faire des économies.

Le Stade-Français devra faire face à un trou de 6 millions d’Euros. C’est le président du club, Savare, qui devrait mettre la main au portefeuille pour combler les pertes.

Enfin, Perpignan et Biarritz sont dans le rouge puisque les deux clubs connaissent un déficit de 2 millions d’euros et ne possèdent pas d’investisseur capable de combler le trou. Perpignan serait donc encore une fois dans le viseur de la DNACG. Pour sa part, le Biarritz Olympique connaît un retard dans le paiement du salaire de ses joueurs puisque les paiements ont été effectué le 14 ou le 15 de ce mois alors qu’une convention oblige les clubs à payer au plus tard les 10 de chaque mois.

Le Rugby Club Toulonnais n’est pas du tout inquiété, même si le profit réalisé par le club connaîtrait un petit ralentissement.

J'ai acheté le midol lundi et je n'ai pas vu l'article, à quelle page est située cet article, merci
 

ouillade

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Concret comme celui la par exemple ?
DNACG: Quatre clubs en danger, Toulon pas inquiété

Ce lundi, Midi Olympique nous apprend que quatre clubs du Top 14 sont en danger avec la DNACG, la Direction Nationale d’Aide et de Contrôle de Gestion.


Comme
Ainsi, Perpignan, Biarritz, le Stade-Français et le Stade-Toulousain seraient dans une situation financière difficile et pourraient être pénalisés.

A Toulouse, le déficit proviendrait d’une baisse considérable des ventes de la billetterie et une moins-value de sa régie publicitaire. Le champion de France en titre pourrait ainsi se libérer de plusieurs joueurs afin de faire des économies.

Le Stade-Français devra faire face à un trou de 6 millions d’Euros. C’est le président du club, Savare, qui devrait mettre la main au portefeuille pour combler les pertes.

Enfin, Perpignan et Biarritz sont dans le rouge puisque les deux clubs connaissent un déficit de 2 millions d’euros et ne possèdent pas d’investisseur capable de combler le trou. Perpignan serait donc encore une fois dans le viseur de la DNACG. Pour sa part, le Biarritz Olympique connaît un retard dans le paiement du salaire de ses joueurs puisque les paiements ont été effectué le 14 ou le 15 de ce mois alors qu’une convention oblige les clubs à payer au plus tard les 10 de chaque mois.

Le Rugby Club Toulonnais n’est pas du tout inquiété, même si le profit réalisé par le club connaîtrait un petit ralentissement.



Comme source elle est plutôt ancienne... il est passé de l'eau sous les ponts depuis la parution de cet article..
Pour ton info en ce qui concerne L'USAP on était bien loin des 2 millions à l'époque....

et depuis...::325599::325599::325599::325599::325599:

Alors SVP tes sources mais fraiches........:231183::231183::231183::231183:
 

mayol83

Bannis
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Comme source elle est plutôt ancienne... il est passé de l'eau sous les ponts depuis la parution de cet article..
Pour ton info en ce qui concerne L'USAP on était bien loin des 2 millions à l'époque....

et depuis...::325599::325599::325599::325599::325599:

Alors SVP tes sources mais fraiches........:231183::231183::231183::231183:

Du 18 mars , il n'y a pas un siècle , tout juste trois mois et deja beaucoup plus recente que les liens de Colas par exemple .
 

ouillade

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Du 18 mars , il n'y a pas un siècle , tout juste trois mois et deja beaucoup plus recente que les liens de Colas par exemple .


Oui mais depuis cela a été régularisé par tous.... sinon on en serait pas là..et entre nous ce n'était que des supputations:231183::231183: aucun club que tu sites n'a été convoqué....
 
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