jo basile
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?????ou alors une brouette comme celle de ton grand ami!
Qu'est-ce qu'il t'arrive mon grand , tu as tes règles?
?????ou alors une brouette comme celle de ton grand ami!
C'est évident que ce débat ne les concerne pas. Des clubs comme l'USAP en Top 14, c'est bien pour eux, ça leur fait un entraînement supplémentaire avec opposition, et leur public est ravi de voir plein d'essais ... A la longue, ça va devenir lassant et pour Canal c'est plutôt moyen en crédibilité pour vendre leur championnat et leur "boxing day".
La question est simple : il n'y a pas la place en France pour 30 clubs professionnels.
Soit on s'en tient à une élite de 12 clubs richement dotés, soit on tente de faire vivre une seconde Ligue pro. aux moyens financiers plus modestes qui permettra à de jeunes joueurs de se faire les dents et à quelques vieilles gloires de terminer une carrière sportive.
C'est à tous ces clubs modestes, dont l'USAP fait désormais partie, de prendre en charge le problème, plutôt que de se laisser bercer par une très hypothétique survie en Top 14 ou Top 12 .
Les tt petits (ou ceux qui jouent mal) chargeront c'est certain mais avec le barrage qui a pour but de favoriser l'élite il ne restera quasi que des clubs compétitifs. Faut arreter de faire de l'usapo centrisme meme avec notre petit budget on pourrait etre moins ridicule. Pour les petits ça reste délicat mais agen est allé taper le champion chez lui, grenoble a résisté aux panzers heraultais. Le rugby avec son jeu physique et ses effectifs à rallonge favorise la réussite des gros budgets mais le top 14 avec ses impasses et doublons permet de pondérer un peu tt ça sans compter qu'avec sa formule coupe en play off un outsider peut arriver à aller au bout.
Nous ne sommes pas d'accord sur le fond !
Sans faire de "l'usapo centrisme", il faut bien admettre que le budget (et surtout la masse salariale disponible) définit une séparation franche entre les 10/12 premiers clubs et un ventre mou d'une vingtaine de clubs.
A partir de là, l'éthique sportive est frelatée, dans la mesure où la seule perspective donnée aux clubs comme l'USAP (du 12/13ème au 18/20ème budget), c'est d'accéder à l'élite au terme d'un parcours ardu et chanceux en Pro D2 (être champion ou vaincre en barrage un 13ème démobilisé) ou de lutter pour le maintien dans l'élite, en servant ponctuellement de "sparring-partners" aux "gros".
En évoquant le parcours d'un outsider jusqu'au Brennus, tu évoques le cas du CO la saison dernière. Mais pour moi ce club, tenu à bout de bras financièrement par les labos Fabre fait déjà partie des "gros" budgets et l'USAP, Agen, Oyo, Brive ne sont pas dans cette catégorie.
On attend alors un investisseur miracle pour reprendre l'USAP à RIVIERE et accéder au Top 10/12 ?
Il faut revoir le mode de financement des clubs pros sur une base plus saine, comme par exemple la "billeterie-abonnements" qui est le reflet de l'enracinement local du club et de son public, et limiter les apports financiers extérieurs (mécénat, sponsors, subventions ...) à un pourcentage fixe de cette base, étant entendu que les droits TV restent distribués à parts égales entre chaque clubs.
voir chaque saison les 5 ou 6 même clubs se disputer le Brennus, à grands renforts de Sud Afs, néo Z ou fidjiens volants, ça ne m'intéresse pas.
Et je ne parle pas de l'EDF qui illustre la décadence de notre rugby national dans cet univers professionnel "hors-sol".
Tu es un coco , toi.Nous ne sommes pas d'accord sur le fond !
Sans faire de "l'usapo centrisme", il faut bien admettre que le budget (et surtout la masse salariale disponible) définit une séparation franche entre les 10/12 premiers clubs et un ventre mou d'une vingtaine de clubs.
A partir de là, l'éthique sportive est frelatée, dans la mesure où la seule perspective donnée aux clubs comme l'USAP (du 12/13ème au 18/20ème budget), c'est d'accéder à l'élite au terme d'un parcours ardu et chanceux en Pro D2 (être champion ou vaincre en barrage un 13ème démobilisé) ou de lutter pour le maintien dans l'élite, en servant ponctuellement de "sparring-partners" aux "gros".
En évoquant le parcours d'un outsider jusqu'au Brennus, tu évoques le cas du CO la saison dernière. Mais pour moi ce club, tenu à bout de bras financièrement par les labos Fabre fait déjà partie des "gros" budgets et l'USAP, Agen, Oyo, Brive ne sont pas dans cette catégorie.
On attend alors un investisseur miracle pour reprendre l'USAP à RIVIERE et accéder au Top 10/12 ?
Il faut revoir le mode de financement des clubs pros sur une base plus saine, comme par exemple la "billeterie-abonnements" qui est le reflet de l'enracinement local du club et de son public, et limiter les apports financiers extérieurs (mécénat, sponsors, subventions ...) à un pourcentage fixe de cette base, étant entendu que les droits TV restent distribués à parts égales entre chaque clubs.
voir chaque saison les 5 ou 6 même clubs se disputer le Brennus, à grands renforts de Sud Afs, néo Z ou fidjiens volants, ça ne m'intéresse pas.
Et je ne parle pas de l'EDF qui illustre la décadence de notre rugby national dans cet univers professionnel "hors-sol".
Je croyais que l'accession se faisait sur des critères sportifs?Si l'Usap n'a pas les moyens financiers pour évoluer en Top 14 , c'est qu'elle n'y a pas sa place . Un point c'est tout .
Ben oui...pourquoi tu es né aujourd'hui !Je croyais que l'accession se faisait sur des critères sportifs?
Plus besoin de jouer : tout le monde ouvre ton porte monnaie et le plus riche est champion.
Bravo, on a bien réussi à te formater : fric et sport c'est pareil...
Tu es un coco , toi.
Comme tu n'as pas de fric , tu veux celui des autres.
En plus d'être ridicule avec nos défaites à répétition , tu voudrais qu'on passe pour des illuminés avec tes propositions farfelues.
Si l'Usap n'a pas les moyens financiers pour évoluer en Top 14 , c'est qu'elle n'y a pas sa place . Un point c'est tout .
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