Mais homme, tu parles de cas isolé et tu en fais une généralité. Je peux t'en trouver moi aussi des cas isolé contrdictoire (véridique, c'est arrivé à des amis (blanc et cathos) cet été) :
Leur fils s'est marié avec une musulmane, et mes amis m'ont dit qu'ils avaient passé le plus horrible jour de leur vie, sa belle famille a interdit l'alcool au mariage, tout a été fait pour le plus grand respect de leur religion sans se soucier de leurs désirs.
Encore une fois, tu réponds à ce qui t'arrange. Tu parles de guerre sainte, je t'explique que c'est pas aussi radicalisé que cela et tu me fais un procès sur les cas généralisés. Je vais être plus précis. Le salafisme est une secte islamiste très
visible mais qui est moins répandue qu'on ne le croit devant nos téléviseurs et elle ne peut revendiquer la représentation de l'Islam. Ils sont en train de perdre le combat de la modernité et tentent d'inverser le cour de l'Histoire. C'est mieux comme ça ? En attendant, je te conseille la lecture du livre d'Emmanuel Todd.
Quant au négationnisme ce ne peut être qu'en référence à l'Histoire, désolé !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Négationnisme
Négationnisme
Le terme négationnisme désigne, dans sa signification première, la négation de la réalité du génocide pratiqué par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale contre les Juifs, c'est-à-dire la négation de la Shoah. Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, notamment par la négation de l'existence des chambres à gaz homicides ou de la volonté d'extermination des Juifs d'Europe par les nazis, que la réalité de ces crimes relèverait de mythes.
Par extension, le terme est régulièrement employé pour désigner la négation, la contestation ou la minimisation d'autres faits historiques, en particulier ceux qu'on pourrait qualifier de crimes contre l'humanité. C'est le cas pour le refus de reconnaître le génocide arménien perpétré par le gouvernement Jeunes-Turcs de l'Empire ottoman pendant la Première Guerre mondiale, l'Holodomor ukrainien[réf. nécessaire], le massacre de Nankin par l'armée impériale japonaise, le génocide au Rwanda, le Goulag et les massacres pratiqués par les Khmers rouges au Cambodge ou le Laogai de Chine. Bien que ces épisodes se soient déroulés dans des circonstances historiques variées et qu'ils aient été commis avec des moyens divers, on retrouve de nombreux traits communs dans leurs négations respectives1. Boris Cyrulnik définit le négationnisme comme un message adressé aux survivants: « Crevez, votre souffrance nous importune2. »
L'utilisation du terme « négationnisme » au sens élargi à d'autres faits historiques que les crimes,
définit la négation d'une réalité historique quelconque (économique, sociale, politique, etc.), malgré la présence de faits flagrants. Cet usage est aussi influencé par l'anglicisme « negationism » interprété comme étant la révision illégitime de faits historiques. À titre d'exemple, on a parlé de négationnisme à propos de la qualification officielle d'« opération de police » pour la guerre d'Algérie, mais les historiens préfèrent utiliser le terme de « déni historique2 ».