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Interview de Riviére

Delpoux, les merdes du passé ? passé très récent alors !

Sur le déficit, 300.000 Euros sur un budget de 10 Millions, c'est un risque modéré mais qui peut être réduit ou annulé par des phases finales. En outre, cela n'a pas empêché les recrutements en cours de saison jusqu'à Pulu récemment. Il faudrait après voir d'abord le montant affinée et quelle en est l'origine : les boutiques, la brasserie, les salaires, le centre de formation ?

Ce qui est embêtant mais encore virtuel, ce sont les risques. Pour l'instant, ils ne sont que potentiels.

Pour Delmas, l'USAP a gagné aux prud'hommes et Delmas a fait appel. Donc il faut garder les possibles indemnités en provision pour risque jusqu'à l'issue des procès.

Pour Delpoux, il faudra voir. L'USAP n'est pas sans arguments, si je me souviens bien de l'histoire, mais là c'est l'enchaînement des choses et les preuves qui peuvent faire la différence. En tout cas, les sommes doivent être provisionnées.

Pour le droit à l'image, c'est une manière de rémunérer les joueurs sans payer de charges sociale, comme prestation d'une profession libérale pour des évènements ou les catalogues de boutique, etc, qui est annexe à leur travail de joueur de rugby. Cela a été en vogue, jusqu'à ce l'URSSAF y mette son nez, les considérant comme faisant partie du métier, et donc constituant un salaire (avec charges correspondantes à régler). Ce sont des sommes qui sont dues et c'est donc normal que les joueurs les réclament, mais il faut qu'ils justifient des prestations. Ce qui est embêtant c'est que pour la plupart des contrats, Goze les a signé alors que l'URSSAF avait déjà largement rendu publique sa position et mis des clubs à l'amende.

Donc, on comprend que Rivière veuille monter puisque l'USAP bénéficiera d'un surcroît de recette, d'autant plus qu'il a la possibilité de jouer la montre. C'est ce qui le rend peut être optimiste, et qui fait que l'USAP de l'an prochain sera à peu de chose près semblable à celle que l'on voit. Est-ce que ça suffirait pour le maintien ?

Pour les sommes dues à Planté et Mermoz, Rivière parle de milliers d'euros, même si c'est 10 000 €, cela reste anecdotique (et Rivière le dit lui-même) d'autant que, pour critiquer, il faudrait normalement connaitre les tenants et aboutissants, mais bon, ici on flingue d'abord, on réfléchit ensuite (pour ceux qui sont équipés pour), ou pas.
La plus grosse somme due l'est à un joueur international parti l'an dernier (Rivière dixit), mais cela reste de faibles montants.
Les grosses sommes que l'USAP pourrait être forcée à payer sont l'URSAFF (400 000 dont 200 000 il y a une jurisprudence favorable au club qui a déjà été exonéré par le passé et 200 000 pour lesquels le club attend la décision finale et fera appel si elle est défavorable.) et Delmas et Delpoux.
Pour Delmas, l'affaire est en appel à Montpellier, mais il n'obtiendra pas ce qu'il demande, peut-être une partie, mais cela reste à prouver.
Pour Delpoux, à défaut de connaitre sa position, celle du club et son système de défense, impossible de se prononcer.
Dans tous les cas, il s'agit de sommes provisionnées pour tout ou partie.
...Bref, une tempête dans un verre d'eau comme sait si bien les déclencher le midol.
 
Sur le déficit, 300.000 Euros sur un budget de 10 Millions, c'est un risque modéré mais qui peut être réduit ou annulé par des phases finales. En outre, cela n'a pas empêché les recrutements en cours de saison jusqu'à Pulu récemment. Il faudrait après voir d'abord le montant affinée et quelle en est l'origine : les boutiques, la brasserie, les salaires, le centre de formation ?

Ce qui est embêtant mais encore virtuel, ce sont les risques. Pour l'instant, ils ne sont que potentiels.

Pour Delmas, l'USAP a gagné aux prud'hommes et Delmas a fait appel. Donc il faut garder les possibles indemnités en provision pour risque jusqu'à l'issue des procès.

Pour Delpoux, il faudra voir. L'USAP n'est pas sans arguments, si je me souviens bien de l'histoire, mais là c'est l'enchaînement des choses et les preuves qui peuvent faire la différence. En tout cas, les sommes doivent être provisionnées.

Pour le droit à l'image, c'est une manière de rémunérer les joueurs sans payer de charges sociale, comme prestation d'une profession libérale pour des évènements ou les catalogues de boutique, etc, qui est annexe à leur travail de joueur de rugby. Cela a été en vogue, jusqu'à ce l'URSSAF y mette son nez, les considérant comme faisant partie du métier, et donc constituant un salaire (avec charges correspondantes à régler). Ce sont des sommes qui sont dues et c'est donc normal que les joueurs les réclament, mais il faut qu'ils justifient des prestations. Ce qui est embêtant c'est que pour la plupart des contrats, Goze les a signé alors que l'URSSAF avait déjà largement rendu publique sa position et mis des clubs à l'amende.

Donc, on comprend que Rivière veuille monter puisque l'USAP bénéficiera d'un surcroît de recette, d'autant plus qu'il a la possibilité de jouer la montre. C'est ce qui le rend peut être optimiste, et qui fait que l'USAP de l'an prochain sera à peu de chose près semblable à celle que l'on voit. Est-ce que ça suffirait pour le maintien ?

je suis d accord avec ton argumentation a quelque détail prés si on monte il faudra recruté c est pas avec des cheron mdchechvili cabello enfin je me fait comprendre qu on pourras espéré resté en top 14. il faut trouvé des joueur de bon niveau top 14 pas des star on pourra pas se le permettre mais des joueur habituai a jouer le haut niveau avec les jeune plein d avenir que l on a et les cadres comme duvenage belie villaceca marty et consort on s en sortira mais il faut recruté bon et malin et riviére ne s ai pas laisser grillé cette fois il a prévu la monter ou la pro d2 il recrutera en conséquence.
 
Celui qui a réussi à transformer de activités qui devaient rapporter de l'argent en multiplicateur de perte, à savoir la brasserie et les boutiques, qui a conclu des contrats illégaux et qui a poussé Brunel vers la sortie a des responsabilités majeures tant sur le plan financier que sportif quant à la situation de l'USAP, descente incluse.

POUSSER Brunel vers la sortie ?
Mais tu débloques complètement . Goze a laissé partir Brunel un an avant la fin de son contrat parce que de toute manière il ne pouvait pas le retenir : la dernière saison , Brunel était déjà en Italie dans sa tête .

Sportivement , l'équipe qu'à récupéré Rivière, 7eme du Top 14 et qualifiée en HCUP, beaucoup de président l'aurait voulue . Lui l'a complètement salopé , en renommant Delpoux sans exigence et en laissant pendant 6 mois , le staff se débrouillé tout seul . Et au final , en ne prenant pas la seule décision qui aurait pu nous sauver au moment de l'épisode des 5 points.

Donc Rivière n'est pas capable de régler le cas Delmas , le cas Delpoux et l'URSAF ?
Et il manque du pognon encore ? Quel piètre financier il est....
 
Pour les sommes dues à Planté et Mermoz, Rivière parle de milliers d'euros, même si c'est 10 000 €, cela reste anecdotique (et Rivière le dit lui-même) d'autant que, pour critiquer, il faudrait normalement connaitre les tenants et aboutissants, mais bon, ici on flingue d'abord, on réfléchit ensuite (pour ceux qui sont équipés pour), ou pas.
La plus grosse somme due l'est à un joueur international parti l'an dernier (Rivière dixit), mais cela reste de faibles montants.
Les grosses sommes que l'USAP pourrait être forcée à payer sont l'URSAFF (400 000 dont 200 000 il y a une jurisprudence favorable au club qui a déjà été exonéré par le passé et 200 000 pour lesquels le club attend la décision finale et fera appel si elle est défavorable.) et Delmas et Delpoux.
Pour Delmas, l'affaire est en appel à Montpellier, mais il n'obtiendra pas ce qu'il demande, peut-être une partie, mais cela reste à prouver.
Pour Delpoux, à défaut de connaitre sa position, celle du club et son système de défense, impossible de se prononcer.
Dans tous les cas, il s'agit de sommes provisionnées pour tout ou partie.
...Bref, une tempête dans un verre d'eau comme sait si bien les déclencher le midol.

D'autant plus qu'une partie des sommes qui porraient nous être demandées sont provisionnées à moitié.
On se demande pourquoi Rivière en fait tout un pataquès de ces fameuses dettes .
Il essaye de nous enfumer: ça marche avec le cerveau de primate de Braco et consorts mais il ne trompe pas tout le monde.
 
François Rivière : "L'objectif est cette demi-finale à la maison"
Par Jérémy Jeantet Publié le 31/03/2015 à 18:45
Le président de l'USAP s'est réjoui de la belle victoire de son équipe contre le leader palois, le week-end dernier (22-15). L'objectif est maintenant d'assurer la 2e ou 3e place pour recevoir en demi-finale de Pro D2.

Francois Rivière ()
L'USAP a remporté le match au sommet de Pro D2, le week-end dernier, face à Pau (22-15). Un succès qui conforte Perpignan à la 2e place du classement, avec 4 points d'avance sur le 3e.
Pour François Rivière, président de l'USAP est invité de l'émission Rugby & Cie sur Sud Radio, l'important est maintenant de viser la 2e ou la 3e place, pour s'assurer une demi-finale à domicile.
"Il faut absolument qu’on arrive à cette demi-finale à la maison, a-t-il lancé. On voit que les joueurs prennent du plaisir à jouer ensemble, que notre mêlée progresse chaque semaine. L’osmose entre les jeunes et les anciens a bien pris. On sent qu’on en a sous le pied, qu’on a un banc qui apporte et qui structure les choses. C’est un groupe qui a bien progressé sur un plan sportif, ce qui était logique puisque quasiment la moitié des joueurs sont partis il y a un an."
Henry Tuilagi, à l'USAP depuis 2007, fait partie de ces joueurs qui se montrent sous leur meilleur jour en ce moment : "Tuilagi a une aura, du charisme vis-à-vis du groupe et une autorité dans le vestiaire. On lui fera une très belle fête au mois de juin et il faut qu’il conserve un rôle de conseiller. J’ai été très frappé lors des déplacements à Béziers ou à Massy. Il était blessé mais il était là au bord du terrain. Il est revenu encore plus fort et il transcende, il apporte ce karma quand il est sur le terrain."
"Je serai toujours président l'an prochain"

François Rivière assure également qu'il ne regrette pas le début de saison difficile de son club qui ne permet pas à l'USAP de venir titiller Pau dans la course au titre. Pour le président de l'USAP, il fallait du temps pour digérer et reconstruire après la descente l'an dernier. "Il fallait du temps pour construire ce groupe, a-t-il précisé. Notre objectif, c’est cette demi-finale à la maison. On n’est pas dans le regret. Cette année nous a permis aussi de restructurer le club et ça ne se fait pas en une journée. Des clubs comme Pau, ça fait des années qu’ils ferraillent pour être là où ils en sont."
"Je serai toujours président du club l’an prochain, même si on ne remonte pas en Top 14, a ensuite assuré François Rivière. La situation de l’USAP sera à l’équilibre au 30 juin, ce qui n’est pas arrivé depuis des années. L’avenir financier du club n’a jamais été aussi arrangé, dans le bon sens du terme, aussi simplifié, que depuis des mois qu’on y travaille. Il y avait de gros problèmes financiers, on n’est pas passé loin de la catastrophe il y a un an, mais maintenant, je voudrais qu’on ne parle que de la réussite sportive."
 
Voilà un discours positif, ça fait plaisir de lire une interview pareille. Maintenant place à une demi finale à domicile dans une ambiance de folie
 
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