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Fusion Stade Français / Racing Métro 92 !!!

J'essaye de "suivre" cette affaire sur les forums et autres lieux commentant le rugby (BOUCHERIE OVALIE par exemple) , j'ai trouvé ce lien sur le forum du ST :

EN VIDEO - Fusion : Pool-Jones et Charvet irréconciliables - SFR Sport

Vers la fin de leur "discussion" , R P JONES parle de "pertes cumulées" pour les 2 entités actuelles de 17 M euros ( 10 pour LORENZETTI et 7 pour SAVARE ) sur la derniere année !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ou je suis idiot et fou , ou bien tout ce que raconte le "gendarme financier" du rugby ne devient qu'un tissu de conneries quand on entend cela ...ça signifie qu'aucun budget de ces 2 clubs n'est SINCERE en début d'exercice et qu'ils renflouent comme des malades à la fin .



Ne me dis pas que tu découvres ça !!! ? ça fait 15 ans que ça dure pour le SF, c'est même la cause de la vente du club par Maxou !

Et Jean Bouin on en fait quoi ? un parking pour le parc des princes ?
 
Bien sur que pour le SF et MAX , nous savions tous mais même si SAVARE devait remettre au pot , je ne pouvais imaginer que ce soit dans de telles proportions et ............chaque année ...
Comment parler d'équité "financière" si le budget présenté est FAUX en début de saison ,même si leurs moyens leur permettent de renflouer , ils ont quand même TRICHE tout du long et pas qu'un peu ...comment et pourquoi des gens comme V MERLING ou BOUSCATEL ne le dénoncent pas ou plus ?
 
J'essaye de "suivre" cette affaire sur les forums et autres lieux commentant le rugby (BOUCHERIE OVALIE par exemple) , j'ai trouvé ce lien sur le forum du ST :

EN VIDEO - Fusion : Pool-Jones et Charvet irréconciliables - SFR Sport

Vers la fin de leur "discussion" , R P JONES parle de "pertes cumulées" pour les 2 entités actuelles de 17 M euros ( 10 pour LORENZETTI et 7 pour SAVARE ) sur la derniere année !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ou je suis idiot et fou , ou bien tout ce que raconte le "gendarme financier" du rugby ne devient qu'un tissu de conneries quand on entend cela ...ça signifie qu'aucun budget de ces 2 clubs n'est SINCERE en début d'exercice et qu'ils renflouent comme des malades à la fin .
Tu n'est ni fou ni idiot.
En début de saison, Lorenzetti et Savare (et aussi Mohed Altrad) présentent un budget prévisionnel déséquilibré et se portent caution de leur club. En fin de saison, ils renflouent.
Un club comme le racing qui a peu de supporters et donc peu d'entrées au stade et peu de recettes boutiques, ne survit que grâce à Lorenzetti qui verse plus de 10 millions par an. Savare c'est 7 à 8, comme Altrad.
 
renflouer, c'est aussi ce que faisait Martinet à Bourgoin avant qu'on ne le chasse pour "manque d'ambition" . Depuis on a pu mesurer l'ambition de ceux qui voulait être califes à la place du calife...:(
 
article sur la rochelle.

La Rochelle - Comme son projet sportif, récompensé par un très bon début de saison (3e), La Rochelle a construit pierre après pierre son modèle économique, dans le but de devenir à terme un "acteur majeur" du Top 14.

"Notre progression sportive et notre progression économique et structurelle ont été conjointes et s'entretiennent mutuellement", explique Pierre Venayre, le directeur général de ce club centenaire.

Avec un budget de près de 20 millions d'euros, les Maritimes sont dans le bas de tableau sur le plan financier (12e sur 14).



Une PME du rugby en somme, "mais une PME avec un taux de croissance très rapide. On a doublé notre budget en cinq ans", rappelle Pierre Venayre, ancien centre du Stade lorsque le club était en Pro D2.

Loin du modèle des clubs détenus par un propriétaire ou une entreprise mécène comme le Stade Français, le Racing 92, Montpellier ou Castres, la Rochelle a "pris le parti d'avoir un club qui soit une copropriété", poursuit Pierre Venayre.

"Notre idée, c'est un peu ce que fait le Bayern Munich dont le capital est réparti entre ses partenaires principaux. On trouve cette logique croisée entre actionnariat et partenariat intéressante car cela permet d'être sûr que nos actionnaires sont partie prenante en apportant une contribution à la vie du Stade Rochelais", développe-t-il.

Président depuis 25 ans, Vincent Merling, ancien joueur et patron du groupe de café éponyme, "aurait pu acheter le club 200 fois", selon Pierre Venayre. Au lieu de cela, il détient environ 10% des parts seulement, comme cinq autres entreprises partenaires, tandis que l'association du club est l'actionnaire principal avec 30%.

- Guichets fermés -

La billetterie est une autre force du club, pour les joueurs mais aussi pour le budget, qu'elle alimente à hauteur de 20%. La Rochelle peut compter sur un public qui a fait de Marcel-Deflandre l'un des chaudrons du rugby français: avec 11.400 abonnés pour un stade de 15.000 places qui va passer à court terme à 16.000, le club est le numéro un du Top 14 sur ce plan et a joué ses douze derniers matches à guichets fermés.

"En 2011, quand on est remonté en Top 14 avant de redescendre immédiatement", souligne Pierre Venayre, "on a réalisé que le club avait un potentiel incroyable avec du public venant de Nantes, d'Angers, de Cholet", des villes qui n'ont pourtant pas la réputation d'être très passionnées de rugby.

Une "zone de chalandise" de 1,6 million d'habitants, avec des entreprises plutôt florissantes, qui permet de compenser la faiblesse présumée d'une ville moyenne (environ 75.000 habitants).

Le club décide alors, comme une entreprise, de lancer des plans stratégiques. D'abord "Grandir ensemble 2015" pour remonter dans l'élite et s'y maintenir, puis "Écrire notre histoire 2020" pour faire de La Rochelle "un acteur majeur" du Top 14.

- Recours au "naming" -

Avec Patrice Collazo aux commandes sportives du navire rochelais au moins jusqu'en 2020, le club bénéficiera d'un centre d'entraînement flambant neuf qui doit être livré en juin: +Apivia Parc+ du nom d'une mutuelle partenaire du club.

Un "naming sans lequel le projet n'aurait pas été viable financièrement", estime Pierre Venayre, qui explique que pour trouver leur inspiration, les dirigeants du club ont visité les installations du Bayern, d'Arsenal ou de Tottenham avant d'imaginer un projet "à la dimension" du Stade Rochelais.

Bien ancrés dans le haut du classement, les Maritimes, qui ont franchi un palier en faisant venir cette saison le 3e ligne néo-zélandais Victor Vito, visent à terme un budget de 22 à 25 millions d'euros pour pouvoir recruter à hauteur du salary cap (10 millions d'euros).

"Notre politique ne sera pas celle du +star system+", assure Pierre Venayre. "Notre rêve, c'est d'avoir une équipe composée de jeunes formés chez nous et d'y adjoindre quelques joueurs de dimension internationale". Pas question donc d'avoir la folie des grandeurs
 
C'est pas bon un club qui compte sur ces recettes entrées et boutiques , etc etc ... pour survivre .
 
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