Eusebio Cafarelli
Passe sa vie sur le forum
https://www.lesinrocks.com/2020/08/17/actualite/societe/il-faut-une-culture-du-masque-linfectiologue-gilles-pialoux-sattaque-aux-anti-masques/
Invité sur France inter ce lundi 17 août, le chef du service de l'unité des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon (Paris), a répondu à un auditeur qui jugeait liberticide le fait d'imposer le port du masque. Et s’est dit “inquiet” et “en colère” face à la gestion de la crise du coronavirus par le gouvernement.
“On n'a pas tiré les leçons de cette première vague.” Gilles Pialoux, chef du service de l'unité des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon (Paris), n’a pas mâché ses mots concernant la gestion de la pandémie de la Covid-19 lors de son passage sur France Inter, ce 17 août au matin.
Face à un auditeur arguant que le port du masque obligatoire était une “limite à notre liberté”, le médecin a asséné : “Le masque, quand il est décrit comme liberticide, pour nous les soignants et encore plus pour les réanimateurs, il y a quelque chose d’inaudible.” Avant d’ajouter : “La ventilation artificielle pendant 26 jours, c'est très liberticide. La rééducation, après la réanimation longue […] c'est très liberticide.”
Invité sur France inter ce lundi 17 août, le chef du service de l'unité des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon (Paris), a répondu à un auditeur qui jugeait liberticide le fait d'imposer le port du masque. Et s’est dit “inquiet” et “en colère” face à la gestion de la crise du coronavirus par le gouvernement.
“On n'a pas tiré les leçons de cette première vague.” Gilles Pialoux, chef du service de l'unité des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon (Paris), n’a pas mâché ses mots concernant la gestion de la pandémie de la Covid-19 lors de son passage sur France Inter, ce 17 août au matin.
Face à un auditeur arguant que le port du masque obligatoire était une “limite à notre liberté”, le médecin a asséné : “Le masque, quand il est décrit comme liberticide, pour nous les soignants et encore plus pour les réanimateurs, il y a quelque chose d’inaudible.” Avant d’ajouter : “La ventilation artificielle pendant 26 jours, c'est très liberticide. La rééducation, après la réanimation longue […] c'est très liberticide.”