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Chiffres Coronavirus Perpignan et Pyrénées Orientales

En toute franchise, je suis déçu de toute cette mascarade autour de cette méthode. Moi, je suis quelqu'un de pragmatique :
- Ça marche ou pas, point .

100 % d'accord.
c'est pour cela que j'aurais aimé que celui qui a dit "ça marche!" ait fait une étude clinique solide plutôt que de se contenter de dire "Je suis une star dans mon domaine" "je vous dis que ça marche".
La plupart des autres chercheurs qui ont testé disent que ça ne marche pas, ou peu mais qu'il y a des effets secondaires graves, donc qu'il ne faut pas donner ce traitement.

En sciences, et surtout en médecine, celui qui affirme quelque chose doit essayer d'en apporter des preuves.
 
100 % d'accord.
c'est pour cela que j'aurais aimé que celui qui a dit "ça marche!" ait fait une étude clinique solide plutôt que de se contenter de dire "Je suis une star dans mon domaine" "je vous dis que ça marche".
La plupart des autres chercheurs qui ont testé disent que ça ne marche pas, ou peu mais qu'il y a des effets secondaires graves, donc qu'il ne faut pas donner ce traitement.

En sciences, et surtout en médecine, celui qui affirme quelque chose doit essayer d'en apporter des preuves.

Comme pour les moustiques , tout le monde parle des pièges pas chers avec bouteilles plastiques goulot vers le bas ,levure et sirop de sucre roux , j'ai beau essayer, pas un moustique piégé tout au plus quelques moucherons.....;)
 
100 % d'accord.
c'est pour cela que j'aurais aimé que celui qui a dit "ça marche!" ait fait une étude clinique solide plutôt que de se contenter de dire "Je suis une star dans mon domaine" "je vous dis que ça marche".
La plupart des autres chercheurs qui ont testé disent que ça ne marche pas, ou peu mais qu'il y a des effets secondaires graves, donc qu'il ne faut pas donner ce traitement.

En sciences, et surtout en médecine, celui qui affirme quelque chose doit essayer d'en apporter des preuves.
Face à Pujadas, il a dit que ça marchait .
 
D'où l'électro-cardiogramme en cas de doute .
C'est ce qu'ils disent haut et fort.
Ils connaissent leur métier, ce ne sont pas des idiots ou des enfants ..
Aurais - tu bien lu ce que j'écris ?
mais en "médecine de ville", en ce moment, faut pas espérer avoir l'électro cardiogramme dans la journée. Et si tu as des "palpitations", il faut souvent un suivi sur 24h
Ce n'est pas une question d'intelligence des médecins. Mais de disponibilité de matériel, du cardiologue, de l'interprétation... C'est bêtement du pragmatisme. Et comme je le dis, non seulement il te faut le cardiologue disponible avec son matériel et vite (la maladie ne se met pas en pause pendant que tu cherches ton RV) mais en plus, il faut disposer du temps pour le faire. Si on réfléchit dans la vraie vie, en dehors de l'hôpital, ce schéma de soin (t'es malade, je te fais faire un ECG et en fonction du résultat je prescris ou pas X ou Y) n'est PAS praticable dans un délai compatible avec la maladie. Donc, en médecine de ville, impossible de prescrire ce traitement dans la très large majorité des cas, tout simplement parce que l'ECG ne se fait pas en un claquement de doigts et qu'il faut un médecin spécialiste disponible pour le réaliser et l'interpréter.
Et j'ajoute : "un ECG réalisé avant permet - il de savoir comment le patient va réagir après la prise du médicament ?". Ben non. Donc tu ne peux raisonnablement pas le donner en dehors de l'hôpital où il est peut - être possible de monitorer les malades. Le fait - on et est - ce raisonnable de le faire en début de symptômes ou doit - on garder les appareils de suivi pour les gens en soins intensifs ou en réa ? Mon avis c'est qu'on a du mal à justifier d'immobiliser du matériel de suivi et de contrôle pour des gens en début de maladie et de ne pas en disposer pour les cas plus graves.
Et, à mon sens, tout est là. Dans une situation où l'hôpital manque cruellement de moyens il est matériellement impossible de gérer des traitements qui nécessitent ce type de suivi sur des gens en début de symptômes quand tu en reçois des 10aines par jour. D'ailleurs Raoult le dit très bien : il faut monitorer, à Marseille je peux le faire alors je le fais. Je n'ai pas de raison de penser que c'est du flan, mais ailleurs ça n'est pas possible dans de très nombreux hôpitaux. On en revient à la question des moyens et à la densité des cas.
 
Aurais - tu bien lu ce que j'écris ?

Ce n'est pas une question d'intelligence des médecins. Mais de disponibilité de matériel, du cardiologue, de l'interprétation... C'est bêtement du pragmatisme. Et comme je le dis, non seulement il te faut le cardiologue disponible avec son matériel et vite (la maladie ne se met pas en pause pendant que tu cherches ton RV) mais en plus, il faut disposer du temps pour le faire. Si on réfléchit dans la vraie vie, en dehors de l'hôpital, ce schéma de soin (t'es malade, je te fais faire un ECG et en fonction du résultat je prescris ou pas X ou Y) n'est PAS praticable dans un délai compatible avec la maladie. Donc, en médecine de ville, impossible de prescrire ce traitement dans la très large majorité des cas, tout simplement parce que l'ECG ne se fait pas en un claquement de doigts et qu'il faut un médecin spécialiste disponible pour le réaliser et l'interpréter.
Et j'ajoute : "un ECG réalisé avant permet - il de savoir comment le patient va réagir après la prise du médicament ?". Ben non. Donc tu ne peux raisonnablement pas le donner en dehors de l'hôpital où il est peut - être possible de monitorer les malades. Le fait - on et est - ce raisonnable de le faire en début de symptômes ou doit - on garder les appareils de suivi pour les gens en soins intensifs ou en réa ? Mon avis c'est qu'on a du mal à justifier d'immobiliser du matériel de suivi et de contrôle pour des gens en début de maladie et de ne pas en disposer pour les cas plus graves.
Et, à mon sens, tout est là. Dans une situation où l'hôpital manque cruellement de moyens il est matériellement impossible de gérer des traitements qui nécessitent ce type de suivi sur des gens en début de symptômes quand tu en reçois des 10aines par jour. D'ailleurs Raoult le dit très bien : il faut monitorer, à Marseille je peux le faire alors je le fais. Je n'ai pas de raison de penser que c'est du flan, mais ailleurs ça n'est pas possible dans de très nombreux hôpitaux. On en revient à la question des moyens et à la densité des cas.
Les médecins n'ont pas parlé de pénurie de cardiologue pouvant faire le test pendant la pandémie .
Je ne fais que retranscrire ce qu'ils ont dit.
 
Face à Pujadas, il a dit que ça marchait .
répondre que "ça marche" n'est pas suffisant, d'autres chercheurs ont répondu "ça ne marche pas" et d'autres encore "ça ne marche pas et il y a des effets indésirables mortels".

pour prouver que ça marche, il n'y a pas beaucoup de moyens, le plus incontestable est de faire des essais cliniques randomisés et en double aveugle sur un groupe de patients représentatif (pas des jeunes de moins de 50 ans en bonne santé).
On peut aussi faire des essais sur 20, 80 ou 1000 patients, mais c'est moins convaincant. D'autant moins convainquant que le groupe soigné diffère de ceux qui développent des formes graves.
Soigner 1000 patients de 43 ans en moyenne et constater moins de décès que dans les hôpitaux ou l'on soigne des malades de plus de 70 ans n'est pas une preuve que le traitement marchera avec des patients âgés.
 
Les médecins n'ont pas parlé de pénurie de cardiologue pouvant faire le test pendant la pandémie .
Je ne fais que retranscrire ce qu'ils ont dit.
Fais le test. Essaie de prendre un RV chez le cardiologue. Moi, en temps normal, c'est dans 3 mois minimum, dans une ville de 60 000 habitants avec un hôpital et une clinique de la même taille. Les 12 cardiologues sont quasiment tous (11) rattachés à un de ces 2 établissements. Donc, en médecine de ville, 1 seul disponible !
 
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