Je suis d'accord sur le pourquoi de pas Mélé et de la charnière. Poste considéré comme déjà pourvu + pas d'argent (sans doute) + pari Ecochard.
Je rajoute, poste déjà pourvu parce que recrutement pléthorique et au rabais depuis 3 ou 4 ans. Avec achat de joueurs en rupture de jeu (Descons, Bélie), et un "pari espoir" très risqué (Selponi avec le dos en vrac). Quand on a fait revenir un neuf leader, qui aurait du bien au club, et qui voulait rester (Durand, malgré tout ce qu'on peut lui reprocher, et on peut lui en reprocher...), on ne l'a pas gardé (on a préféré Descons, qui joue à 2 postes et coûtait moins cher je suppose).
Pour moi gestion typique de l'USAP à la Rivière. On fait n'importe quoi, puis on veut économiser le moindre centime, et on se retrouve avec des postes stratégiques sur lesquels on est faiblard et sur lesquels on ne peut pas recruter sur plusieurs années. C'est la même chose pour les coatchs.
Tu me permettras de douter que l'on ait fait un gros effort pour faire revenir au club, ou dans l'entourage du club, des joueurs, en activité ou en retraite, auxquels on pouvait donner sans hésitation la "patente" de "catalans" ou de "joueur de l'USAP", quelque soit leur origine.
Goutta, je pense que si on le voulait vraiment, il ne tarderait pas à revenir. Konieck, on a décidé qu'il était nul (Benetton non). Bastide on lui préfère Gelez. Côté joueur, peut-être par manque d'argent, mais peut-être aussi par manque de discernement (parce que pour un joueur à l'utilité douteuse, Matanavou, on était prêt à faire des efforts), on a pas cherché à piquer du côté de Delonca, qui aurait été bien utile, et qui voulait rentrer. Par exemple.
C'est quand même une tendance que je sens très fort chez Rivière de faire tout le contraire de la "préférence catalane". Moi je crois qu'il nous prend un peu pour des poireaux, en général. Ces interviews ne le démentent guère en tout cas.
Alors c'est vrai que depuis quelques temps on nous sort quelques espoirs. C'est heureux. Mais c'est aussi, je crois, plus parce que les caisses sont vides qu'autre chose. On est obligé de faire des "paris", sur des blessés, sur des jeunes, sur des "vieux".