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[Avant match] Biarritz Olympique - USAP

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duduche66

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1 Août 2012
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je pense que la meilleure chose c est que l on soit arbitre par un anglo saxon la donne ne seras pas l=a meme
 

Le Cady

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:eek:.............. :263770:
 

pouett

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Ouai, les arbitres british ils sont encore plus chelou que chez nous :D
 

arlequin

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Etat des lieux de l’infirmerie basque : http://www.bo-pb.com/index.php/Equipe/infirmerie/bulletins-infirmerie/soins/24211

BIARRITZ OLYMPIQUE PAYS BASQUE

Les joueurs à l'arrêt


- Balshaw Iain, lésion cartilage genou gauche
- Broster Benedict, entorse genou droit (ligament latéral interne)
- Dubarry Thibault, fracture omoplate
- Gimenez Charles, lésion ischio-jambiers
- Heguy Arnaud, entorse grave du pied
- Lakafia Raphaël, traumatisme rachis cervical (opéré)
- Lund Magnus, déchirure soléaire mollet droit


ETAT AU 28-09-2013

Il faudra additionner les suspendus probables Yachvili et Taele (Heguy étant également blessé).

Je rajouterai le fait que ce week-end, pour le derby, ils se sont employés physiquement et mentalement pour rivaliser à un de moins pendant 70 mn, ça a laissé quelques traces (notamment Traille et Roussarie).

Certes, cette équipe du BO est dos au mur et son déficit de points à l’encontre des premiers relégables pourrait lui être rédhibitoire s’il tendait à s’accentuer, cependant, le coup me paraît jouable même si nous avons une âme de père noël envers les équipes en difficulté, trois secondes lignes sur le flanc ou suspendu et certains joueurs qui enchaînent les matchs faute de remplaçants.

Diantre, un peu d’optimisme.

Le bruit court que l’arbitre de cette rencontre serait M. Philips, irlandais quasi-inconnu, à qui on aurait précisé que les mecs qui joueront en bleu sont les anciens poulains de Goze, au cas où il hésiterait pour l’orientation à donner à ses décisions.
 
Dernière édition par un modérateur:

Axurit

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Charteris , non pas encore , S Deroeux .

Ca fait quand même plus de 9 mois (bientôt 10), je n'ai pas souvenir d'un croisé qui ait duré aussi longtemps pour un autre joueur (habituellement 6-7 mois). Il s'est passé quoi? il a mal suivi sa rééducation ? il est retombé sur son genou ? l'explication du physique (trés grand) n'est pas recevable ici et les autres cas de blessures plus longues que prévue à l'Usap depuis plus d'un an maintenant me font me poser certaines questions...
 

llucet

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" l'explication du physique (trés grand) n'est pas recevable ici"

Pourquoi, tu la déclare irrecevable ? Son levier (tibia péroné) est long donc la force exercée sur l'articulation, le genou (point d'application des forces) est supérieure à la normale (force x longueur de levier).
Que l'aptitude à reprendre des sauts (surtout à retomber après le saut), les courses, les torsions de l'articulation, etc ... demande du temps, plus que Pérez qui fait 20cm de moins, ne me parait pas "irrecevable".
Maintenant je ne connais pas le genou de Chartéris "par coeur" !
 

EricRio

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ok , pas de soucis suis pas rancunier ...
le bouquin :
http://librairie.immateriel.fr/fr/ebook/9782212552287
et l'extrait:
http://librairie.immateriel.fr/fr/read_book/9782212552287/Part02

[h=5]La première ligne : numéros 1, 2, 3[/h] La première ligne comporte les « gros des gros », ceux qui jouent « en tronche », comme on dit dans le jargon. À eux les combats obscurs et les secrets d’alcôve de la mêlée. N’est pas première ligne qui veut. Comme à la guerre, la première ligne est la ligne de front, celle qui est au contact direct de l’adversaire.
En première ligne, on retrouve les Dupont et Dupond d’une équipe, à savoir les piliers (ou pilars) qui portent les numéros 1 et 3. Ces piliers encadrent le numéro 2, le talonneur, qui a la lourde charge (entre autres) de talonner le ballon lorsqu’il est introduit en mêlée. Il est également celui qui assure le lancer en touche. Être talonneur demande une très grande dextérité et des heures d’entraînement pour lancer parfaitement le ballon en touche.
[h=4] Les piliers [/h] Les piliers poussent en mêlée, portent leurs équipiers en touche et perforent les défenses sur de petits périmètres (vous entendrez parler du jeu « au près ») dans le jeu courant. Le talonneur est souvent plus polyvalent et plus mobile que ses piliers. C’est un joueur véloce, agile, mobile et adroit. Pour jouer talonneur, il faut être d’un grand courage. En mêlée, un talonneur est agrippé à ses piliers et dispute le ballon sans les mains. C’est l’un des joueurs qui subissent le plus de pression au moment de l’introduction du ballon sous la mêlée, car il est pris en tenaille entre ses piliers et les piliers adverses, qui n’hésitent pas à pousser sur lui.
[h=4] Le talonneur [/h] Si la mêlée était un corps humain, le talonneur serait symboliquement la tête et les piliers les épaules. Une première ligne ne doit jamais flancher, au risque d’entraîner toute l’équipe dans sa chute. A contrario, une première ligne qui avance, et c’est toute l’équipe qui a le moral au beau fixe.

J’ai toujours pensé que le poste de pilier est particulièrement épanouissant pour les adolescents un peu enrobés (comme je le fus) ; dans les cours d’école, on se moque d’eux, mais sur un terrain de rugby, ils deviennent les héros de toute l’équipe, qui n’hésite pas à s’en remettre à leur force et à leur courage.
Pour jouer en première ligne en senior, mieux vaut dépasser les cent kilos, être résistant et se résoudre à sacrifier l’esthétique de ses oreilles, car les fameuses feuilles de chou du rugbyman sont le résultat des frottements qu’occasionne la délicate rencontre avec les oreilles de l’adversaire lors des mêlées. Les oreilles atrophiées sont d’ailleurs le signe distinctif des premières lignes. C’est un peu leur singularité et leur petit plus !
Sachez enfin que l’on dit des premières lignes qu’elles mettent la tête là où vous ne mettriez pas vos pieds !
[h=5]La deuxième ligne : numéros 4, 5[/h] La deuxième ligne est constituée des grands, les « poutres », les « deuxièmes lattes », comme on les appelle, sont la colonne vertébrale du paquet.

Aujourd’hui, à haut niveau, un joueur de deuxième ligne mesure au moins 1,95 mètre. Les deuxièmes lignes sont les preneurs de balles en touche et assurent la stabilité et la poussée du pack. Ils sont les deux géants de l’équipe.
Jouer en deuxième ligne requiert un courage énorme car vous êtes au cœur de la mêlée, la tête coincée par les hanches de votre première ligne, les bras liés au corps de vos partenaires, et le visage directement offert aux adversaires.
Les deuxièmes lignes développent un jeu rarement spectaculaire car ils sont dévoués aux tâches obscures du combat rapproché. Pour apprécier la prestation de leur jeu, il faut avoir un regard expert. Une mêlée qui avance, des ballons gagnés dans les regroupements, un pack qui progresse centimètre par centimètre sont souvent le fruit du travail invisible des deuxièmes lignes.
Le travail plus visible d’un deuxième ligne se situe dans les airs. À lui les envolées à près de quatre mètres de hauteur pour capter les ballons lors des touches. À lui les sauts et les réceptions sous les renvois des adversaires. Le deuxième ligne assure la défense aérienne de son équipe. Tout ce qui se passe dans les airs est de son ressort. Ces tâches obligent les deuxièmes lignes à travailler leur détente et leur capacité à attraper les ballons dans toutes les positions, surtout les plus inconfortables.
Le cercle des deuxièmes lignes est très fermé. Seuls les grands, souvent discrets, y sont autorisés. Petites tailles, passez votre chemin et admirez les tours de contrôle !
[h=5]La troisième ligne : numéros 6, 7, 8[/h] Les joueurs de troisième ligne sont les chasseurs de ballons. Coureurs infatigables, ils sont également les jambes et l’assise de la mêlée. Être troisième ligne, c’est être là où se trouve le ballon. Jouer à ce poste requiert une condition physique irréprochable, car vous devez être de toutes les phases de jeu pour assurer la liaison entre avants et arrières pendant 80 minutes. Jouer en troisième ligne demande aussi une aisance tactique de premier ordre, car pour être au rendez-vous du ballon, mieux vaut anticiper le déroulement du jeu. Une équipe qui possède une bonne troisième ligne se garantit un jeu continu et fluide. Les troisièmes lignes sont sans doute les joueurs les plus complets d’une équipe : coureurs, sauteurs, plaqueurs, manieurs de ballon... sans ces qualités, n’espérez pas jouer à ce poste !
En phase offensive, le troisième ligne doit se trouver à tous les points d’impact afin de soutenir ses partenaires et d’empêcher l’adversaire de récupérer le ballon. On dit de la troisième ligne qu’elle est le premier soutien d’un attaquant.
En phase défensive, les troisièmes lignes sont les premiers plaqueurs : ils doivent au plus vite empêcher l’équipe adverse d’avancer. Les troisièmes lignes sont les cauchemars des organisateurs adverses. Si les numéros 6 et 7 forment souvent le premier rideau défensif, le numéro 8 assure le second rideau au cas où l’adversaire réussirait à se sortir des griffes des premiers plaquages.
 

Axurit

USAPiste sérieux
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" l'explication du physique (trés grand) n'est pas recevable ici"

Pourquoi, tu la déclare irrecevable ? Son levier (tibia péroné) est long donc la force exercée sur l'articulation, le genou (point d'application des forces) est supérieure à la normale (force x longueur de levier).
Que l'aptitude à reprendre des sauts (surtout à retomber après le saut), les courses, les torsions de l'articulation, etc ... demande du temps, plus que Pérez qui fait 20cm de moins, ne me parait pas "irrecevable".
Maintenant je ne connais pas le genou de Chartéris "par coeur" !

Une particularité physique peut augmenter le temps de guérison jusqu'à 1 mois (sauf malformation pour le genou) mais là on est à 3 mois, c'est pour cela que je dis que ce n'est PLUS recevable ici. (si tu préfères j'utilise "plus" au lieu de "pas") Il y a forcément une autre cause à cette prolongation, autre cause que j'aimerais connaître si quelqu'un en sait plus ;)
 
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