Analyse : Ami de la poésie,bonjour!

[pixe]

C'est la vie.



Avec le temps qui passe
De nombreux trucs s'effacent
A t'on perdu les traces
Ou est ce que l'on se lasse

Quand reste le souvenir
De quelques éclats de rire
Et le souffle des soupirs
Qui nous faisaient tant souffrir

Mais le temps c'est écoulé
A presque tout effacé
Presque?Oui pas tout à fait
On ne peut tout oublier,

La vie fait des ravages
Laissant sur les visages
Traces de son passage
Laissé dans son sillage

Il ne fait aucun doute
Pendant la longue route
Pour certain c'est la banqueroute
D'autres passent entre les gouttes

C'est ainsi que va la vie
Et quand elle se finie
On à toujours pas compris
C'est tout simplement ainsi,

 

[Carto]

Quand j'étais petit garçon,
J'allais voir jouer tonton ,
Bien souvent .
Et bien des années plus tard,
J'honorais ce jeu de balle ,
Enfin grand .
C'est quelque fois inquiétant ,
Les paroles de son parent ,
A dix ans .
"A vingt ans mon grand garçon ,
Tu devras hisser ce nom " ,
Allez donc .

Le rugby c'est marrant ,
C'était plus passionnant ,
De mon temps.

Le premier match que je fis ,
Des tribunes il le suivit ,
En hurlant ...
Quand j'ai marqué cet essai ,
Il a dit " vous le voyait ,
C'est ce grand "...
Il fût si content de moi ,
Qu'il m'embrassa mille fois ,
En pleurant ...
Mais il ne put s'expliquer,
Qu'un matin j’ai tout plaqué ,
M'exiler ...

Le rugby c'est marrant ,
C'était plus passionnant ,
De mon temps .

J'ai connu bien des galères ,
A la pelle et à la peine ,
En jouant ...
Le cœur au bord de l'ennui ,
La déprime dans l'oubli ,
En suivant ...
On ne parle pas forcement,
A tous de ces moments là ,
Simplement ...
Qu'elle que soit notre passion ,
On reste un petit garçon ,
Que c'est c*on ...

Le rugby c'est marrant ,
C'était pas évident ,
De mon temps.

Quand il fallut stopper enfin ,
Puisque tout à une fin ,
Évident ...
Mon oncle eut beaucoup de peine ,
Et ses larmes me souviennent ,
Y'a trente ans ...
Quand je revis dans ma tête ,
Qui bouillonne tous ses grands gestes ,
Enivrant ...
J'aurais aimé que pour lui plaire ,
La dernière puisse se faire ,
A Giralt ...

La vie c'est pas marrant ,
Même quand on est grand ,
Par moments .

30 juillet 2014 .

 

[Carto]

Ils étaient morts avant d'être né ,
Puis ont grandi le dos courbé ,
Les derniers jours furent si courts ,
Sous la mitraille on meurt toujours .
Entre la peur et la douleur ,
Dans la nuit noire de l'horreur ,
Vingts quatre heure dans la tranché ,
Sans pouvoir même lever le nez ,
Peut-être fauché tout à l'heure .
" Vois-tu ma chère fiancée ,
J'espère toujours ton baiser ,
Sèche dés à présent tes pleurs "

Pour qui faut-il mourir ainsi ,
Pourquoi faut-il si tôt partir ?

Nul ne peut dire qu'ils ne soient braves ,
Ces jeunes gens plein d’enthousiasme ,
Tant leurs sacrifices furent évident .
Évident , de donner leur sang ,
Bien aligné et tous en rang .
Évident , mais conscient pourtant ,
Que cette vie au bout du fusil ,
N'était pas celle de la chanson .
" Nous partiront fleur au fusil ,
Fiers au son du clairon ,
Combattre pour nos libertés ,
Fusse à mourir avant d'avoir aimer .

Pour qui faut-il mourir ainsi ,
Pourquoi faut-il si tôt partir ?

" Louise ma bien aimée ,
Aux moissons je reviendrais ,
Certainement bien fatigué ,
Mais sifflotant , le cœur léger "
Y croire ne coûte pas grand chose ,
Quand sur l'espoir la vie repose .
Mais malgré tout si ce grand malheur m'épargne ,
Je ne serais jamais plus le même ,
J'aurais vaincu tant d'horreurs ,
J'aurais perdu tant d'illusions ,
Que je prendrais comme une punition ,
De n'être mort au champ d'honneur .

Pour qui faut-il mourir ainsi ,
Pourquoi faut-il si tôt partir ?

04 aout 2014 .

 

[latulipe13]

En passant ….
​

Il fut un temps où l'on avait du cœur
Où l'entraide se faisait naturellement
Malheureusement et quelques années plus tard
On voit la misère grandir : est-ce une maladie ?
Non, bien sur car elle a toujours existé.
Mais en ce temps de crise, elle se propage
Se généralise et aussi se banalise
Sans que personne ne s'en inquiète.
Ce n'est pas un cri de désespoir que j'écris
Juste un sentiment de honte
Quant à notre façon de la regarder sans broncher.
-Ha !! si j'avais de l'argent, je pourrai les aider
Mais ont-ils besoin d'argent pour sortir de leur misère.
J'aimerai tant pouvoir faire quelque chose
Et en croisant le regard de certains
Je découvre que derrière cette carapace
Il y a un cœur, certainement plus gros que le mien.
Celui de quelqu'un qui souffre mais ne craque pas
Qui s'essouffle mais fonctionne au ralenti
Qui veut sourire, mais la vie lui a menti.
Dans la rue, toutes les histoires sont belles
Et quand on les écoute, elles vous font pleurer
Elles ne sont pas différentes des autres histoires
Puisqu'elles pourraient toucher tout le monde
Sans état d'Âme !
La manche leur permet de survivre
Mais surtout un peu de sous pour pouvoir se loger
Car l'hiver est leur ennemi juré
Celui qui souvent emporte les plus faibles
Ceux qui n'ont pas résisté et sont partis sans messe.
Oui, on passe à coté, devant eux très souvent
Et quelques fois, un petit sourire en passant
Leur donnerait surement de la chaleur
Pour réchauffer la pierre de leur cœur.
Je veux les aider et je le ferai
Car on ne doit pas rester indifférent à cette misère
Si ce n'est pas par de l'argent
Ce sera en les aidant, leur parlant et leur souriant.
L'amour se partage avec tous
Surement encore plus avec eux
Qui cachés sur ce bout de carton mouillé
Ne demande rien, comme le chien à coté.
Ils prennent place au même endroit
Tous les jours on passe devant.
Alors si demain vous lisez ces quelques lignes
En passant devant, regardez les sourire.
​

Fanfan le 4,08,2014.​

 

[Carto]

En passant ….
​

Il fut un temps où l'on avait du cœur
Où l'entraide se faisait naturellement
Malheureusement et quelques années plus tard
On voit la misère grandir : est-ce une maladie ?

Je devine à travers ce poème ,
Une petite flamme , une lueur ,
Celle d'un monde qui j'espère ,
Retrouvera le chemin de l' honneur .

Honneur volé , honte à nous même ,
De n'avoir su ou pu partager ,
Et d'avoir nourrit la misère ,
De promesses et d'oublis enlacés .

Cousine ,
L’indifférence guide celui qui file ,
Sans même un regard pour l'autre .
L'autre qui pourrait-être lui .
Lui qui pourrait-être l'autre .

Ici ,
Un regard vide , détourné ,
Comme pour s'excuser ,
S'excuser de gêner ,
Gêner cette drôle de société .

Là ,
Une silhouette qui se tasse ,
Sous le poids des jours qui passent ,
Et qui n'en finit pas de s'user ,
Impropre à l'usage , catalogué .

L'hiver ,
Avec rudesse s'est installé ,
Eux vont déménager .
Sur son aile , il transporte
La crainte , l'incertitude .

L'été ,
Pointe ne chassant pas la solitude ,
Cette dame sournoise ,
Qui nous laisse à croire ,
Mais qui n'apporte rien dans ses bagages .

L'un d'eux s'en est allé ,
Comme il avait vécu , seul ,
Sans bruit , mais non sans douleur ,
Y aurait-t-il quelqu’un pour le pleurer ?

06 juin 2014

 

[Natetpierre]

Chute brutale pour le niveau d’écriture LoL après les différents poèmes de mes 3 amis.


D’agréables sensations
Se diffusent dans mon corps,
Demain soir, début de « mission «
Pour nos joueurs sang et or.

Les avis sont partagés
Sur la place qu’on aura,
Je dis dans les 5 premiers,
Sinon ça n’ira pas.

Espérons que le changement
Saura porter ses fruits,
Qu’à chaque match maintenant
On se dise : Allez…, c’est bien…, oui...

Très belle saison à tous,
De rugby et de forum,
Reprise de la tournée des mousses,
Venez en boire un maximum. smilelangue

 

[Carto]

Chute brutale pour le niveau d’écriture LoL après les différents poèmes de mes 3 amis.


D’agréables sensations
Se diffusent dans mon corps,
Demain soir, début de « mission «
Pour nos joueurs sang et or.

Les avis sont partagés
Sur la place qu’on aura,
Je dis dans les 5 premiers,
Sinon ça n’ira pas.

Espérons que le changement
Saura porter ses fruits,
Qu’à chaque match maintenant
On se dise : Allez…, c’est bien…, oui...

Très belle saison à tous,
De rugby et de forum,
Reprise de la tournée des mousses,
Venez en boire un maximum. smilelangue

:bravo::231183:
C'est pas beau de s’auto-dénigrer ....

 

[Natetpierre]

Là, ça vole encore +++++ bas , le délire total


Le Quai 66,
C'est un joli nom
Pour un édifice
Ouvert toutes les saisons.

Certainement nous irons
Y manger des délices,
Moi ce sera poisson,
Zut, pas de glace réglisse.

Faudra que je choisisse
Près de quel garçon
Je poserai mes cuisses
Avant ce bon gueuleton.