Analyse : Ami de la poésie,bonjour!

[Carto]

bravo bravo dommage que tu nous en fasse pas un sur Popaul ;il y aurait des choses a dire

Une petite rapide alors .
Allô , allô , Paul !

Allô, allô, Paul, quelles nouvelles
Absent depuis de tres longs jours,
Au bout du fil je vous appelle
Que trouverai-je à mon retour ?
Tout va très bien, cher ami usapiste
Tout va très bien, tout va très bien
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise
On déplore un tout petit rien
Un incident, une bêtise,
Un déficit à ce qu'ils disent
Mais à part ça cher ami usapiste
Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Paul , quelles nouvelles ,
Que m'apprenez vous aujourd'hui ?
Expliquez moi, cette étincelle ,
Comment cela s'est-il produit ?
Cela n'est rien, cher ami usapiste
Cela n'est rien, tout va très bien ,
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise
On déplore un tout petit rien
Tout est parti des supporteurs pardi ,
Qui ont désertés samedi ,
Mais à part ça, cher ami usapiste
Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Paul, quelles nouvelles
Mais qu'à t il donc bien pû se passer ?
Expliquez moi, ex chef modèle
Comment cela est arrivé.
Cela n'est rien, cher ami usapiste ,
Cela n'est rien, tout va très bien !
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise
On déplore un tout petit rien ,
Étant parti sans état d’âme ,
Un inconnu a pris la place ,
Mais à part ça, cher ami usapiste ,
Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Paul , quelles nouvelles ,
Un inconnu , prend votre suite ,
Expliquez moi , car j' hallucine !
Comment cela s'est-il produit ?
Eh! bien voilà, cher ami usapiste ,
Apprenant qu'il fallait y aller ,
A peine fut-il rev'nu de sa surprise ,
Que le Daniel fut couronné .
Et c'est en lui , passant les rênes ,
Qu'on lui conta aussi fleurette .
Surpris qu'il fut , tout aussitôt ,
De se voir hisser aussi haut ,
De se montrer , prudent il en oubli ,
De s'renseigner ...ainsi soit-il !
Et c'est ainsi qu'en un instant ,
Daniel eut les emmerdements .
Mais à part ça, cher ami usapiste
Tout va très bien, tout va très bien !

 

[Carto]

Allô, allô, Daniel , quelles nouvelles ?
Absent depuis de très longs jours ,
Au bout du fil , je vous appelle ,
Que trouverai-je à mon retour ?
Tout va très bien, cher ami usapiste ,
Tout va très bien, tout va très bien ,
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise ,
On déplore un tout petit rien ,
Un incident, une bêtise,
Un déficit à ce qu'ils disent ,
Mais à part ça, cher ami usapiste ,
Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Daniel , quelles nouvelles ,
Que m'apprenez vous aujourd'hui ?
Expliquez moi, être dans la dèche ,
Comment cela s'est-il produit ?
Cela n'est rien, cher ami usapiste ,
Cela n'est rien, tout va très bien ,
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise
On déplore un tout petit rien ,
Tout est parti des supporteurs pardi ,
Qui ont déserté l'samedi ,
Mais à part ça, cher ami usapiste
Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Daniel , quelles nouvelles
Mais qu'à t il donc bien pu se passer ?
Expliquez moi, président frêle ,
Comment cela est arrivé.
Cela n'est rien, cher ami usapiste ,
Cela n'est rien, tout va très bien !
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise
On déplore un tout petit rien ,
Étant élu sans que je sache ,
Je suis maintenant dans la nasse ,
Mais à part ça, cher ami usapiste ,
Tout va très bien, tout va très bien !
Allô, allô, Daniel , quelles nouvelles ,
Rassurez nous donc pour la suite ,
Expliquez nous , car on vacille ,
Quel avenir nous est promis .
Eh! bien voilà, cher ami usapiste ,
Apprenant qu'il fallait y aller,
A peine suis'j rev'nu de ma surprise ,
Que la DNCG s'en est mêlée .
Et sans vouloir ménager ma peine ,
Impossible de leur conter fleurette ,
Surpris qu'je fus , tout aussitôt ,
De devoir porter le fardeau ,
De me montrer , prudent car aujourd'hui,
Faut expliquer....ainsi soit-il !
Et c'est ainsi qu'en un instant ,
J'héritais des emmerdements .
Mais à part ça, cher ami usapiste
Tout va très bien, tout va très bien !

 

[LAGUDOC]

Villa Les Tamaris



L'eternelle marée ,deverse sur la plage,
egayée de centaines de bruyants promeneurs
algues galets poissons crabes et coquillages,
qui des mouettes et goelands feront le bonheur,
pour peu que ces intrus dans leur ciré tout jaune
permettent bientot,après passage d'un grain
qu'ils assouvissent enfin,leur fringalle d'automne
Sous la bleme lumière d'un soleil palichon,
un bateau coloré brise l'harmonie grise,
des grands pins squeletiques et tordus par la brise,
des rochers inquietants violines et marrons,
marquent la limite de la zone cotière.
Seule,au coin de l'avenue,balayée par les vents,
une maison moussue enterrée sous le sable,
unique survivante des batisses d'antan,
Villa les Tamaris,tel etait son vocable.

 

[pixe]

Villa Les Tamaris



L'eternelle marée ,deverse sur la plage,
egayée de centaines de bruyants promeneurs
algues galets poissons crabes et coquillages,
qui des mouettes et goelands feront le bonheur,
pour peu que ces intrus dans leur ciré tout jaune
permettent bientot,après passage d'un grain
qu'ils assouvissent enfin,leur fringalle d'automne
Sous la bleme lumière d'un soleil palichon,
un bateau coloré brise l'harmonie grise,
des grands pins squeletiques et tordus par la brise,
des rochers inquietants violines et marrons,
marquent la limite de la zone cotière.
Seule,au coin de l'avenue,balayée par les vents,
une maison moussue enterrée sous le sable,
unique survivante des batisses d'antan,
Villa les Tamaris,tel etait son vocable.

voila!:6775:

 

[Carto]

Villa Les Tamaris



L'eternelle marée ,deverse sur la plage,
egayée de centaines de bruyants promeneurs
algues galets poissons crabes et coquillages,
qui des mouettes et goelands feront le bonheur,
pour peu que ces intrus dans leur ciré tout jaune
permettent bientot,après passage d'un grain
qu'ils assouvissent enfin,leur fringalle d'automne
Sous la bleme lumière d'un soleil palichon,
un bateau coloré brise l'harmonie grise,
des grands pins squeletiques et tordus par la brise,
des rochers inquietants violines et marrons,
marquent la limite de la zone cotière.
Seule,au coin de l'avenue,balayée par les vents,
une maison moussue enterrée sous le sable,
unique survivante des batisses d'antan,
Villa les Tamaris,tel etait son vocable.

On eu aimé y vivre ...:bravo::bravo:

 

[Carto]

A un ami , il se souvient ....


Je chemine quelquefois , vers mon enfance ,
Miroir troublant et flou , perdu sous mon regard ,
Je revois mon école , des écoliers qui chantent ,
L'instituteur austère , sa blouse grisâtre ,
Le préaux abritant mes amours naissantes ,
A droite une maison presque là par hasard .

C'est là , assise sous l'imposante tonnelle ,
Que je l'aperçu donc , pour la première fois .
Presque fière dans sa blanche robe en dentelle ,
Elle devint l'aiguillon du bonheur pour moi .
J'avais lâché la main de ma petite enfance ,
Pour saisir celle frêle des adolescents .
Mon quotidien , se nourrissait de sa présence ,
Je n'osais toutefois gouter aux fruits hélas !
Vint alors le temps des échanges furtifs,
Regards que l'on devine ou que l'on voudrait voir .
J'imaginais....comment peut-on être si naïf ,
Au point de ne vivre que du sel de l'espoir !

Passant par là , le temps qui rabote nos peines ,
Fit son chemin et s'envola la tourterelle .
Je découvrais la vie et son cortège d'ombres ,
J'ai trop souvent pleuré , hélas aux pieds des tombes .
J'ai vécu quelques amours tumultueuses ,
De brulures en passions , mais elle , fut-elle heureuse ?

 

[latulipe13]

A un ami , il se souvient ....


Je chemine quelquefois , vers mon enfance ,
Miroir troublant et flou , perdu sous mon regard ,
Je revois mon école , des écoliers qui chantent ,
L'instituteur austère , sa blouse grisâtre ,
Le préaux abritant mes amours naissantes ,
A droite une maison presque là par hasard .

C'est là , assise sous l'imposante tonnelle ,
Que je l'aperçu donc , pour la première fois .
Presque fière dans sa blanche robe en dentelle ,
Elle devint l'aiguillon du bonheur pour moi .
J'avais lâché la main de ma petite enfance ,
Pour saisir celle frêle des adolescents .
Mon quotidien , se nourrissait de sa présence ,
Je n'osais toutefois gouter aux fruits hélas !
Vint alors le temps des échanges furtifs,
Regards que l'on devine ou que l'on voudrait voir .
J'imaginais....comment peut-on être si naïf ,
Au point de ne vivre que du sel de l'espoir !

Passant par là , le temps qui rabote nos peines ,
Fit son chemin et s'envola la tourterelle .
Je découvrais la vie et son cortège d'ombres ,
J'ai trop souvent pleuré , hélas aux pieds des tombes .
J'ai vécu quelques amours tumultueuses ,
De brulures en passions , mais elle , fut-elle heureuses ?

Si tu leur faisais les mêmes écrits,surement!!:231183:
LoL:6775:
:bravo::bravo::bravo:

 

[BurroDan]

en vous remerciant tous les trois , je profite de l'occasion pour dire merci à Marcel