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Analyse : Ami de la poésie,bonjour!

LAGUDOC

Bannis
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13 Août 2012
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Il a tourné la page.....



Il atourné la page,le petit taureau,
les toulousains chantent dignes sous sa photo
et dansent ,cadencé,place du Capitole
sur ses rithmes jazz,ses paroles un peu folles,
des Minimes a Paziols,de Paris a New York,
il a tissé sa toile en immense patchwork,
de musiques et de mots,de verbes et d'idées,
torturés,assemblés,melangés,accentués.
Il a su imposer son look inimitable
son accent rocailleux,un style incomparable;
Aux modes passageres,refusant de ceder,
il aura attendu afin d'etre exaucé,
ce jour triste de Mars,de ses funerailles,
pour qu'on danse sur lui enfin vaille que vaille.
litron dans la poche,qu'a pensé le clodo
du depart impromptu de Claude Nougaro;
Le coq cessera t il sa pendule d'aimer?
les galets de Nice et les vagues deRé,
verront passer peut etre cette filante etoile,
avant qu'au dessus de la mer le ciel se voile.
Du livre de sa vie,parait il peu sage
il a definitivement touné la page
 

pixe

Titan du forum
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31 Octobre 2012
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Il a tourné la page.....



Il atourné la page,le petit taureau,
les toulousains chantent dignes sous sa photo
et dansent ,cadencé,place du Capitole
sur ses rithmes jazz,ses paroles un peu folles,
des Minimes a Paziols,de Paris a New York,
il a tissé sa toile en immense patchwork,
de musiques et de mots,de verbes et d'idées,
torturés,assemblés,melangés,accentués.
Il a su imposer son look inimitable
son accent rocailleux,un style incomparable;
Aux modes passageres,refusant de ceder,
il aura attendu afin d'etre exaucé,
ce jour triste de Mars,de ses funerailles,
pour qu'on danse sur lui enfin vaille que vaille.
litron dans la poche,qu'a pensé le clodo
du depart impromptu de Claude Nougaro;
Le coq cessera t il sa pendule d'aimer?
les galets de Nice et les vagues deRé,
verront passer peut etre cette filante etoile,
avant qu'au dessus de la mer le ciel se voile.
Du livre de sa vie,parait il peu sage
il a definitivement touné la page

bravo,vraiment!
tu es étonnant dans ce registre!:bravo:
 

LAGUDOC

Bannis
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un coin de limousin


Une barque effondrée,sous la branche d'un chene,
offre une tache claire a la masse verdatre,
qui enserre le lac sous la bache grisatre,
par un oiseau violet ,egratignée à peine.
Demain quelques toits briques,emergeront la haut,
lorsque la brume daignera tirer sa reverence,
de discrets bruits humains,modifieront l'ambiance,
lugubrement entretenue par les corbeaux.
Tandis que le soleil sort avec les pecheurs,
leurs canots creent des vagues a la surface
des bruissements,que bientot le vent efface.
Les autochtones eux,reprennent leur labeur,
dedaignant ces touristes,et autour la nature,
qu'ils connaissent si bien et on vu tant changer,
mais que pour rien au monde,ils n'abandoneraient
en depit d'une vie qu'ils sentent apre et dure.
Tel est l'été,ce petit bout de limousin,
a deux pas de la ville et pourtant si lointain.
Les uns s'y amusent,croient leurs reves exaucés,
les autres y travaillent et revent a leur passé


Pont de Dognon 2006
 

LAGUDOC

Bannis
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A mamman pour me faire pardonner

Une histoire rafraichissante


Le petit garçon a sa fenetre
regarde dans la rue et peut etre,
verra t il celui qu'il desire tant
et a envahi son esprit d'enfant,
au point d'en delaisser ses jeux ,sa mére,
d'oublier son gouter pour ce frere,
cet ami qui tous les jours ,fidéle,
lève les yeux vers lui ,l'interpelle,
de son regard au sien si ressemblant,
si doux,sans malice ni faux semblant.
L'enfant qu'il s'installat aurait voulu,
mais maman a signifié son refus
d'accepter son compagnon,cet intrus.
Alors le gamin guette ,il se penche
jusqu'a ce que son desir il etanche,
sur son tabouret il avance ,recule
et soudain,quelle horreur,il bascule.
Son corps git la,dans la rue,inerte;
puis lentement sa main s'est ouverte,
semble caresser sous lui un objet,
qui s'agite et cherche a se degager.
Ce n'est pas un objet,mais son ami
qui respire couché tout chaud sous lui;
Par sa présence,il a sauvé l'enfant,
heros fortuit,définitivement
membre de la famille desormais.
Une histoire rafraichissante et vraie,
d'un chien qui sauva l'enfant qui l'aimait
 

Maman26

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A mamman pour me faire pardonner

Une histoire rafraichissante


Le petit garçon a sa fenetre
regarde dans la rue et peut etre,
verra t il celui qu'il desire tant
et a envahi son esprit d'enfant,
au point d'en delaisser ses jeux ,sa mére,
d'oublier son gouter pour ce frere,
cet ami qui tous les jours ,fidéle,
lève les yeux vers lui ,l'interpelle,
de son regard au sien si ressemblant,
si doux,sans malice ni faux semblant.
L'enfant qu'il s'installat aurait voulu,
mais maman a signifié son refus
d'accepter son compagnon,cet intrus.
Alors le gamin guette ,il se penche
jusqu'a ce que son desir il etanche,
sur son tabouret il avance ,recule
et soudain,quelle horreur,il bascule.
Son corps git la,dans la rue,inerte;
puis lentement sa main s'est ouverte,
semble caresser sous lui un objet,
qui s'agite et cherche a se degager.
Ce n'est pas un objet,mais son ami
qui respire couché tout chaud sous lui;
Par sa présence,il a sauvé l'enfant,
heros fortuit,définitivement
membre de la famille desormais.
Une histoire rafraichissante et vraie,
d'un chien qui sauva l'enfant qui l'aimait

Merci @LAGUDOC tu m'énerves: là je pleure et j'ai envie de te sauter au cou et dans l'autre topic j'ai envie de te casser la figure. Ne bouge plus, reste là, tu es superbe.
 

Carto

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[MENTION=514]LAGUDOC[/MENTION] double :bravo::bravo: excellent vraiment .:231183:
 

Carto

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Monsieur le président ,
Je vous fais cette lettre ,
Lisez la bien sans crainte ,
Prenez tout votre temps .

Je ne reconnais plus ,
Ce public légendaire ,
Qui partait à la guerre ,
Défendre ses vertus .

Monsieur le Président ,
Ces sifflets marquent mal ,
Une drôle de ballade ,
Ces merles qu'on entend .

C'est pas pour m'étonner ,
En lisant quelques lignes ,
De supporteurs fâchés ,
C'est l'amour qui transpire .

Ils ont en eux l'amour ,
De notre chère équipe ,
Mais ne savent pas toujours ,
Comment le retranscrire .

Depuis bien des années ,
Ils ont pris tant de plaisirs ,
Vécu tant de délices ,
Qu'ils ne savent plus souffrir .

Certains ont tant donné ,
Quand elle fut moribonde ,
Que la colère gronde ,
Jusque dans le succès .

Demain sera un autre ,
Jour de gloire , jour de deuil ,
Le top et ses écueils ,
Nous prend de trop la tête .

Demander l'indulgence ,
A tous , l'union sacrée ,
Monsieur le président ,
Je vous vois dire aux gens :
" Soutenez votre équipe ,
Criez pour la porter,
Au lieu de pleurnicher ,
Sur un quelconque passé "

D'aucun vous répondrons ,
Depuis ce jour de gloire ,
Du mois de juin au fond ,
Tout nous semble dérisoire .

Si vous écoutez bien ,
Parfois le peuple gronde ,
Au fond il vous prévient ,
Mais passe les colombes .
 
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