Elle est pour toi cette chanson ,
Toi Nicolas qui d'toute façon ,
N'aura écouté que ta voix ,
Quand tu as voulu faire ton choix.
Toi qui nous as fais pleuré quand ,
Au bout de cinquante quatre ans ,
Le bouclier tu ramenais ,
Au pieds de notre Castillet .
Ce n'était rien qu'un bout de bois ,
Mais son odeur persiste encore ,
Et dans nos têtes raisonnent forts ,
Ces milliers de cris de joie .
Toi Nicolas quand tu iras ,
Quand le dernier match tu joueras ,
Que nos clameurs te portent au ciel ,
Oh ! Mas éternel .
Elle est pour toi cette chanson ,
Toi capitaine du blason ,
Qui a laissé un beau matin ,
Tout un peuple sur sa faim .
Toi qui couvert de gloire quand ,
Les bras aux ciels tu montrais grand ,
A tous ces gens ce dur trophée
Aux pieds de notre Castillet .
Ce n'était rien qu'un bout de bois ,
Mais son odeur persiste encore ,
Et dans nos têtes raisonnent forts ,
Ces milliers de cris de joie .
Toi capitaine tu partiras ,
Sous d'autres cieux évoluera ,
Que ta conduite plaise au ciel ,
Oh! Mas éternel .
Elle est pour toi cette chanson ,
Toi l'étranger de toute façon ,
Un autre chemin tu as pris ,
Lorsqu'à Montpellier tu partis .
Toi qu'on applaudiras pas quand ,
Sous l'autre maillot combattant ,
Tu reviendras pour nous narguer ,
Nous n'aurons plus qu'à te huer .
Ce n'seront que ces cris acerbes ,
Mais nos cœurs ils réchaufferont ,
Car dans nos têtes demeureront ,
Les trahisons , intemporelles .
Toi désormais quand tu r'viendras ,
Comme un ennemi tu seras ,
Tu raviveras un gout amer ,
Oh! Mas éternel .
Toi Nicolas qui d'toute façon ,
N'aura écouté que ta voix ,
Quand tu as voulu faire ton choix.
Toi qui nous as fais pleuré quand ,
Au bout de cinquante quatre ans ,
Le bouclier tu ramenais ,
Au pieds de notre Castillet .
Ce n'était rien qu'un bout de bois ,
Mais son odeur persiste encore ,
Et dans nos têtes raisonnent forts ,
Ces milliers de cris de joie .
Toi Nicolas quand tu iras ,
Quand le dernier match tu joueras ,
Que nos clameurs te portent au ciel ,
Oh ! Mas éternel .
Elle est pour toi cette chanson ,
Toi capitaine du blason ,
Qui a laissé un beau matin ,
Tout un peuple sur sa faim .
Toi qui couvert de gloire quand ,
Les bras aux ciels tu montrais grand ,
A tous ces gens ce dur trophée
Aux pieds de notre Castillet .
Ce n'était rien qu'un bout de bois ,
Mais son odeur persiste encore ,
Et dans nos têtes raisonnent forts ,
Ces milliers de cris de joie .
Toi capitaine tu partiras ,
Sous d'autres cieux évoluera ,
Que ta conduite plaise au ciel ,
Oh! Mas éternel .
Elle est pour toi cette chanson ,
Toi l'étranger de toute façon ,
Un autre chemin tu as pris ,
Lorsqu'à Montpellier tu partis .
Toi qu'on applaudiras pas quand ,
Sous l'autre maillot combattant ,
Tu reviendras pour nous narguer ,
Nous n'aurons plus qu'à te huer .
Ce n'seront que ces cris acerbes ,
Mais nos cœurs ils réchaufferont ,
Car dans nos têtes demeureront ,
Les trahisons , intemporelles .
Toi désormais quand tu r'viendras ,
Comme un ennemi tu seras ,
Tu raviveras un gout amer ,
Oh! Mas éternel .