gynojeje
Passe du temps sur le forum
- Inscrit
- 24 Juillet 2012
- Messages
- 3 849
- Réactions
- 2 474
Il en va de même dans la restaurationLe plus fou, c'est que beaucoup d'entreprises cherchent des employés et n'ont pas de candidats.
Il en va de même dans la restaurationLe plus fou, c'est que beaucoup d'entreprises cherchent des employés et n'ont pas de candidats.
Je sais pas trop,faudrait demander a Louis XVIII et Charles XIl en va de même dans la restauration
S'il y avait des candidats qui exigent un salaire que l'entreprise ne peut ou ne veut leur verser, ta remarque serait pertinente.1 Ils n'ont qu'a les payer décemment et pas avec un contrat précaire
2 Il faut comme dans d'autres pays adapter le cursus scolaire et la formation en fonction du marché du travail
Non mais ça va oui.Les gens ne sont pas des esclaves souvent contraints de s'en remettre aux injonctions de plus cons et de plus incompétents qu'eux
C'était ma minute révolution et lutte des classes
Et dans l'agriculture, le batiment ...Il en va de même dans la restauration
C'est peut être parfois vrai mais c'est l'inverse que je constate sur le terrain. Des offres en CDI sur des diplômes BTS correspondants à des filières locales qui forment plus de 250 jeunes chaque année dans la région, à des salaires presque double du SMIC et seulement 2 candidatures en plus de 6 semaines...1 Ils n'ont qu'a les payer décemment et pas avec un contrat précaire
2 Il faut comme dans d'autres pays adapter le cursus scolaire et la formation en fonction du marché du travail
Non mais ça va oui.Les gens ne sont pas des esclaves souvent contraints de s'en remettre aux injonctions de plus cons et de plus incompétents qu'eux
C'était ma minute révolution et lutte des classes
Et bien cela prouve bien qu'il y a une inadéquation funeste entre la formation aux métiers manuels en particuliers,beaucoup plus déconsidérés en France qu'en d'autres pays (l'Allemagne en particulier)et le marché du travail et ses besoins en maindoeuvre.Mais c'est quand méme un peu court de tenter d'expliquer le chomage par ce biais et également ,c'est entre les lignes de ton discours,par une absence de volonté de travailler,qui c'est vrai a toujours existée.L'ubérisation trés en vogue,c'est a dire la multiplication des emplois précaires est un frein terrible,à l'eventuel engagement pour un emploi.Emplois préciares ,faibles rémunération et inadaptation de la formation,un tryptique infernalS'il y avait des candidats qui exigent un salaire que l'entreprise ne peut ou ne veut leur verser, ta remarque serait pertinente.
... Mais quand je dis qu'il n'y a pas de candidat, c'est que personne ne répond à l'annonce, aucun CV, rien, nada. Et pourtant aucun salaire n'est précisé dans les cas que je connais bien, juste "salaire selon compétences".
Je te crois volontiers mais il ne me semble pas qu'il faille faire une généralité de ce cas particulier.Je me souviens d'une époque ou les IUT délivraient des Bts et formaient les étudiants en corrélation directe avec les entreprises qui s'engageaint à les recruter.Je ne sais si cet heureux systéme a perduré.C'était a mes yeux un exemple de ce qu'il aurait fallu généraliser dans bien des filiéres.Evidemment comme nous n'avons quasiment plus d'industries...Mais j'ai connu quelque chose de comparable.Quand je suis rentré en fac de médecine,en 71,moi et mes camarades avons essuyé les platres de la mise en place brutale du fameux numérus clausius.Nous n'avons jamais vraiment compris pourquoi cette mesure avait été instaurée.Il n'y avait alors ni trop ni pas assez de médecins.Peut etre avait on souhaité,devant l'attrait que suscitaient les études médicales ,en limiter l'accés dans un souci de valorisation des diplomes.Les fac de médecine devenaient des sortes de "grandes écoles" auxquelles on accédait par un concours déguisé.50 ans plus tard on constate qu'il y a de plus en plus de désert médicaux.Et qu'on trouvé nos chers enarques pour remédier a cette situation inadmissible.Ils vont supprimer le numérus clausius,pensant qu'un plus grand nombre de formés permettra de compenser les manques dans certains coins du territoire.C'est stupide car en dehors du risque de nivellement par le bas,par suppression d'une véritable selection,rien n'obligera,concomitamment les diplomés a aller s'installer là ou l'on souhaite qu'ils aillent.Ce genre de disposition n'a de sens que si on limite la liberté d'installation selon des critéres de besoins c'est a dire démographiques.Or la sacro sainte doxa libérale ne le permet pas.Le probléme est qu'en France nous sommes incapables de trouver le bon équilibre entre le respetct indispensable des libertés ,celle de s'implanter ou on le souhaite,par exemple et les nécessaires contraintes du service au public sur tout le territoire.Concernant la médecine ils arrivent a le faire en Angleterre et pourtant quoi de plus libéral economiquement que le systéme anglo saxon.Et bien pour le travail en général,c'est la méme chose.Nous peférons laisser faire a peu prés n'importe quoi,puis dépenser des fortunes pour tenter de maintenir la téte hors de l'eau les laissé pour compte qui sont de plus en plus nombreux,mondialisation et désindustrialisation oblige.Résultat personne en dehors d'une petite minorité,n'est satisfait et c'est bien compréhensibleC'est peut être parfois vrai mais c'est l'inverse que je constate sur le terrain. Des offres en CDI sur des diplômes BTS correspondants à des filières locales qui forment plus de 250 jeunes chaque année dans la région, à des salaires presque double du SMIC et seulement 2 candidatures en plus de 6 semaines...
Le forum de l'USAP, un monument du paysage digital catalan depuis 25 ans ! On y parle de tout mais surtout de l'USAP bien évidemment... A consommer sans modération !