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Un club historique serait à vendre : Béziers

Tu peux me citer un exemple précis ?
Cela a commencé avec Maxou et sa reprise du Stade Français qui végétait dans les profondeurs du rugby francilien,
puis Mourad qui a sorti le RCT de Pro D2 pour en faire un "grand" d'Europe en quelques années à grands renforts de stars internationales, Altrad qui a hissé Montpellier au rang de club phare du Languedoc-Roussillon,
Lorenzetti qui a racheté le Racing Metro pour en faire le N°1 francilien et réussir son projet immobilier de L'Arena,
plus bas, mais plus récents : Nevers et son marchand de fringues "made in Bangladesh", Rouen et son cador de la palette …
Sans ces mécènes où en serait tous ces clubs, dont un grand nombre ont moins d'abonnés que l'USAP ?
Doit-on se satisfaire d'un tel modèle économique pour le rugby pro en France ?
Une seconde lame de Covid 19 cet automne et on en reparle de tout cet édifice ...
 
Cela a commencé avec Maxou et sa reprise du Stade Français qui végétait dans les profondeurs du rugby francilien,
puis Mourad qui a sorti le RCT de Pro D2 pour en faire un "grand" d'Europe en quelques années à grands renforts de stars internationales, Altrad qui a hissé Montpellier au rang de club phare du Languedoc-Roussillon,
Lorenzetti qui a racheté le Racing Metro pour en faire le N°1 francilien et réussir son projet immobilier de L'Arena,
plus bas, mais plus récents : Nevers et son marchand de fringues "made in Bangladesh", Rouen et son cador de la palette …
Sans ces mécènes où en serait tous ces clubs, dont un grand nombre ont moins d'abonnés que l'USAP ?
Doit-on se satisfaire d'un tel modèle économique pour le rugby pro en France ?
Une seconde lame de Covid 19 cet automne et on en reparle de tout cet édifice ...
Non je ne parle pas de cette partie de ta phrase sur l'intervention des mécènes mais plutôt sur le départ de ces mécènes
Je te cite
On éviterait ainsi la création artificielle d'équipes qui viendraient s'imposer dans l'élite en quelques années (pour dégringoler aussi brutalement en cas de départ du mécène … ) .
:D
Quel club a dégringolé à cause du départ d'un mécène ?

Je connais un club qui a dégringolé à l'arrivée d'un soit-disant mécène : l'USAP.:raison::raison::raison:
Pas de chance
 
C'est du temps de l'amateurisme marron , pas du professionnalisme et encore Quillan n'était pas monté bien haut. Et ce n'est pas un départ c'est une faillite si je me souviens bien: le formica n'a plus eu la côte .
Et l'usine Formica d'Esperaza tenait a bout de bras,la petite agglomération et le club.Au moins étions nous dans l'économie réelle.Chute de Formica egale chute du club de rugby de la ville.Aujourd'hui nous en sommes réduits à pactiser avec le diable dans certaines villes.Est ce mieux ? Est ce un progrés?.Faut il tout accepter pour continuer a disposer de sa "cibade"dominicale?
 
jo basile @ : "Quel club a dégringolé à cause du départ d'un mécène ?"
J'ai en mémoire les sauvetages successifs du Stade Français après Maxou.
Pas sûr que d'autres clubs auraient eu les mêmes attentions …
Pour les autres, leur sort est scellé à celui de leur protecteur., et L'USAP ne fait pas exception (ça, c'est pour te faire plaisir … :raison:)
Bref, le modèle économique actuel du rugby pro est non seulement peu enthousiasmant, mais aussi dangereux.
 
Bourrel était chapellier rien à voir avec formica
Beaucoup de catalan jouer à quillan puis partiront du côté de Lyon

c'était en 29 Bourrel avait débauché la moitié de l'équipe de Perpignan!
 
C'est du temps de l'amateurisme marron , pas du professionnalisme
Non, le début de ce qui allait devenir " le professionnalisme !
Quand Quillan donnait le ton
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Les joueurs de l’US Quillan coiffés du fameux chapeau Thibet, qui se vendait dans le monde entier et qui était fabriqué sur place. Le mécène s’appelait Jean Bourrel (ci-dessus), il fut aussi maire et conseiller général de la cité. Photos archives Midol et DR
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Quand Quillan donnait le ton

A la charnière des années 20 et 30, Quillan abrita le premier club professionnel et mit le feu au rugby français avec des conséquences en cascade.
Il y a 90 ans, battait ici le cœur du rugby français. Trois finales de suite, pour un Bouclier gagné en 1929. Quillan n’avait pas le côté alangui qu’on lui connaît aujourd’hui, c’était une cité industrieuse, accolée aux Pyrénées, un vrai poumon économique dont les succès sportifs éclatants prendraient des proportions tragiques. À la base de tout, il y avait Jean Bourrel, un industriel d’Esperaza appelé au secours pour redresser une usine de chapeaux victime d’une inondation. Oui, les chapeaux de Quillan étaient expédiés dans le monde entier sous la marque Thibet et visiblement, on se les arrachait. Des centaines de familles en vivaient et Jean Bourrel, à Paris comme à Quillan, pouvait mener grand train. Il semblait prêt à tout pour faire plaisir à sa petite cité chérie de la Haute Vallée de l’Aude : "Il y fit quand même venir le Président de la république pour inaugurer le pont qu’il avait lui-même fait construire et à qui il avait donné le nom de sa fille. À cette époque, le Président ne sortait de Paris que sept ou huit fois par an, c’est vous dire l’influence de Bourrel," narre Christian Maugard, figure du rugby local.


Jérôme Prévot
 
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