Et encore une gifle…
On doit être masochiste.
Un paquet d’avants qui s’est bien battu avec une bonne conquête au moins durant 60mn, ce sera la seule satisfaction à retenir de cette rencontre…
Car ensuite sur ce match, c’est le néant ; la défense, l’utilisation des ballons, le soutien offensif, le replacement défensif et offensif, le jeu au pied, le jeu de ligne… ont dû être égarés ces deux dernières années sur les berges de la Têt.
A se demander ce que les joueurs font à l’entraînement en semaine.
Au-delà de la dimension physique où ils nous étaient largement supérieurs, peu de nos joueurs étant capables de rivaliser avec leurs homologues Toulousains, c’est notre faiblesse mentale qui m’inquiète le plus.
Quand l’équipe lâche le match, elle ne fait pas semblant et prend une avalanche de points.
J’espérais avant cette rencontre à défaut d’un point de bonus défensif, au moins, une défaite honorable où les progrès constatés face à Brive auraient pu être pérennisés (défense, conquête, gestion des temps faibles et état d’esprit) afin d’aborder la période de vacances nantis de quelques certitudes, force est de constater que nous avons régressé et que nous nous retrouvons dans une situation similaire à celle qui était la nôtre au lendemain de la déroute montpelliéraine avec devant nous 3 semaines pour bien gamberger.
Il était difficile de se mettre dans une situation plus critique avant d’aborder les matches capitaux en vue de notre maintien. Je n’ai jamais été aussi peu serein quant à l’avenir de mon club (non seulement concernant la saison en cours, mais également celle à venir en cas de maintien).
Par ailleurs, j’ai le sentiment que certains joueurs (étrangers en particulier) censés amener une plus-value au groupe, le tirer vers le haut dans les moments difficiles, sont les premiers à « lâcher » en cours de partie.
En conclusion, une réforme complète du management sportif de cette équipe s’impose (elle aurait dû avoir lieu depuis longtemps), certains joueurs et entraîneurs (tous ?) dont la nocivité quant à la production de l’équipe ne sont plus à prouver, doivent nous quitter au plus tôt.
On doit être masochiste.
Un paquet d’avants qui s’est bien battu avec une bonne conquête au moins durant 60mn, ce sera la seule satisfaction à retenir de cette rencontre…
Car ensuite sur ce match, c’est le néant ; la défense, l’utilisation des ballons, le soutien offensif, le replacement défensif et offensif, le jeu au pied, le jeu de ligne… ont dû être égarés ces deux dernières années sur les berges de la Têt.
A se demander ce que les joueurs font à l’entraînement en semaine.
Au-delà de la dimension physique où ils nous étaient largement supérieurs, peu de nos joueurs étant capables de rivaliser avec leurs homologues Toulousains, c’est notre faiblesse mentale qui m’inquiète le plus.
Quand l’équipe lâche le match, elle ne fait pas semblant et prend une avalanche de points.
J’espérais avant cette rencontre à défaut d’un point de bonus défensif, au moins, une défaite honorable où les progrès constatés face à Brive auraient pu être pérennisés (défense, conquête, gestion des temps faibles et état d’esprit) afin d’aborder la période de vacances nantis de quelques certitudes, force est de constater que nous avons régressé et que nous nous retrouvons dans une situation similaire à celle qui était la nôtre au lendemain de la déroute montpelliéraine avec devant nous 3 semaines pour bien gamberger.
Il était difficile de se mettre dans une situation plus critique avant d’aborder les matches capitaux en vue de notre maintien. Je n’ai jamais été aussi peu serein quant à l’avenir de mon club (non seulement concernant la saison en cours, mais également celle à venir en cas de maintien).
Par ailleurs, j’ai le sentiment que certains joueurs (étrangers en particulier) censés amener une plus-value au groupe, le tirer vers le haut dans les moments difficiles, sont les premiers à « lâcher » en cours de partie.
En conclusion, une réforme complète du management sportif de cette équipe s’impose (elle aurait dû avoir lieu depuis longtemps), certains joueurs et entraîneurs (tous ?) dont la nocivité quant à la production de l’équipe ne sont plus à prouver, doivent nous quitter au plus tôt.
