Un contrat sportif n'est pas un contrat de travail classique. Dans cette histoire ce qui me gène, c'est que les négociations se fassent avant même le début de cette saison capitale pour nous ! Et l'attitude de Melvyn , que j'adore comme chacun ici, m'interpelle. L'usap quand même le sauve un peu ... Il aurait pu attendre la mi saison pour répondre aux avances.
Mais ne nous leurrons pas : l'usap aujourd'hui n'est pas un club du standing d'un tel joueur. Développons d'abord nos infrastructures ! Ça fait envie à qui le parc des sports du Moulin à vent et le centre de formation au bas Vernet ?
Arrêtons aussi l'hypocrisie des rachats de contrat et créons un mercato d'été : de mi juin à mi août, tout est permis. Pas avant, pas après, sous peine de sanctions. Les choses ne serons pas parfaites mais plus encadrées.
oui et non un contrat reste un contrat ; un accord entre mini 2 parties 1 s engage a fournir une prestation en contre partie d une remuneration
donc le contrat peut être rompu a tout moment si les 2 parties sont d accord
dans tous les cas une des 2 parties se sentira lésée ou au moins forcée
donc c est aux instances de mettre en place une règlementation qui empêche l abus c est la seule solution c est tout
exemple demain jaminet va voir rivière et lui dis je veut me casser au st car ils me filent le double (je le pense pas vu ses declarations)
peut tu blamer ce joueur d espérer avoir un meilleur statut ( bien sur que non a part que ca va te gonfler et moi aussi)
et la y a 3 solutions possibles
1è riviere s aligne ce qui est impossible
2 non tu reste la t a un contrat ( on a vu ce que ca donnait avec vahamina)
3 ok on va discuter avec le stade pour savoir combien je peux récupèrer
et c est tout je sais que ce que j écrit peut faire bondir certain mais c est la réalité
donc je répète ou les instances font ce qu il faut ou pas
et terminé
après on peut parler de l état d esprit du joueur; ca compte comme l environnement familial et social mais en finalité ca change rien