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Tokyo 2020 - Entrée en lice de Teddy Riner cette nuit : l'USAP au soutien du colosse...
- Auteur du sujet Articles de presse
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R.E.S.P.E.C.T
Vendredi matin, la France s’est réveillée la tête à l’envers.
Teddy Riner était éliminé de la course à la médaille d’or dès les quarts de finale du tournoi olympique de judo. Un scénario inattendu et une grande désillusion pour un champion qui a tant dominé son sport et pour qui la victoire semblait si facile, si automatique.
Bien sûr, nous aurions tous aimé voir Teddy décrocher son troisième titre olympique d’affilée en individuel. Un troisième titre qui lui semblait promis tant Riner rime avec winner, et qui l’aurait encore un peu plus fait entrer dans l’Histoire.
Pourtant c’est bien sa défaite - seulement la troisième depuis onze ans - et sa médaille de bronze qui renforcent à nouveau la légende.
Alors que ses millions de supporters accusaient le coup de cette élimination précoce, Teddy a su se remobiliser en seulement quelques heures, retourner sur le tatami, retrouver son judo et gagner à nouveau. Cette médaille de bronze a fait de lui le judoka français le plus médaillé de son sport aux Jeux Olympiques, et seulement le deuxième Français à remporter quatre médailles de suite en individuel, derrière le cycliste Daniel Morelon. Deux nouveaux records.
Mais Teddy ne s’arrête jamais, et il est allé chercher samedi ce troisième titre olympique qui lui avait échappé la veille. Un titre en équipe mixte, le premier de l’histoire des Jeux Olympiques, pour lequel il a remporté ses deux combats et contribué en patron à la victoire finale.
Un champion, c’est un athlète qui gagne. Teddy a remporté son premier titre de champion du monde à 18 ans. Un grand champion, c’est celui qui domine son sport pendant des années, au point de sembler invincible. Teddy nous l’a montré pendant 154 combats. Il nous a habitué à la victoire.
Un champion hors norme, ce n’est pas celui qui n’échoue pas, c’est un champion qui a la force mentale de se relever et de gagner à nouveau.
Merci Teddy de nous faire vivre des émotions inoubliables. Avec ces deux médailles tu continues à écrire ta légende.
Tony ESTANGUET
Vendredi matin, la France s’est réveillée la tête à l’envers.
Teddy Riner était éliminé de la course à la médaille d’or dès les quarts de finale du tournoi olympique de judo. Un scénario inattendu et une grande désillusion pour un champion qui a tant dominé son sport et pour qui la victoire semblait si facile, si automatique.
Bien sûr, nous aurions tous aimé voir Teddy décrocher son troisième titre olympique d’affilée en individuel. Un troisième titre qui lui semblait promis tant Riner rime avec winner, et qui l’aurait encore un peu plus fait entrer dans l’Histoire.
Pourtant c’est bien sa défaite - seulement la troisième depuis onze ans - et sa médaille de bronze qui renforcent à nouveau la légende.
Alors que ses millions de supporters accusaient le coup de cette élimination précoce, Teddy a su se remobiliser en seulement quelques heures, retourner sur le tatami, retrouver son judo et gagner à nouveau. Cette médaille de bronze a fait de lui le judoka français le plus médaillé de son sport aux Jeux Olympiques, et seulement le deuxième Français à remporter quatre médailles de suite en individuel, derrière le cycliste Daniel Morelon. Deux nouveaux records.
Mais Teddy ne s’arrête jamais, et il est allé chercher samedi ce troisième titre olympique qui lui avait échappé la veille. Un titre en équipe mixte, le premier de l’histoire des Jeux Olympiques, pour lequel il a remporté ses deux combats et contribué en patron à la victoire finale.
Un champion, c’est un athlète qui gagne. Teddy a remporté son premier titre de champion du monde à 18 ans. Un grand champion, c’est celui qui domine son sport pendant des années, au point de sembler invincible. Teddy nous l’a montré pendant 154 combats. Il nous a habitué à la victoire.
Un champion hors norme, ce n’est pas celui qui n’échoue pas, c’est un champion qui a la force mentale de se relever et de gagner à nouveau.
Merci Teddy de nous faire vivre des émotions inoubliables. Avec ces deux médailles tu continues à écrire ta légende.
Tony ESTANGUET
Maurin t’es sérieux? Le père Maurin est venu deux fois en 15 ans à AG, il s’en bat les cojones de Riner, comme de l’USAP, il vient car invité par Ford qui lui casque l’hôtel, le restau, et un petit chèque, basta!Ben finalement pas complètement. Il a de l'or et c'est vraiment un type exceptionnel.
Je crois pas qu'il vienne à AG parce qu'il serait pote avec FR mais plutôt parce que Maurin est un de ses sponsors
Allonge 50 000 balles et il vient chez toi, te fait une prise de judo, s’occupe de Maman, et fait la vaisselle en partant!
Ah ! Il est donc venu chez toi !
Mais tu sais que pour arranger maman et faire une vaisselle tu peux trouver bien moins cher que ça.
Et après ça, tu oses encore critiquer la gestion financière du club par Rivière ?
Ford, Maurin, tu as probablement raison mais au fond c'est bien pour le pognon qu'il vient, comme je le disais.
Maman ? Tu crois que je vis avec maman ? Franchement...
Ouais mais quand ton mec @Catamaran fantasme sur un grand black tu mets les moyens!Ah ! Il est donc venu chez toi !
Mais tu sais que pour arranger maman et faire une vaisselle tu peux trouver bien moins cher que ça.
Et après ça, tu oses encore critiquer la gestion financière du club par Rivière ?
Sinon tu finis avec une Dacia, des claquettes avec chaussette, un marcel, faire tes courses à Lidl et inviter Maman au grand buffet de la Jonquera!
Pas Maman mère mais plutôt Maman épouse ou époux! Tu piges que dalle bordel!
Tu m’énerves......!
Je vais poursuivre ma séance de Feng Shui en compagnie de @Catamaran!
Désolé.
T'appelles ta femme "maman" ??? Ça craint, non ?
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