fed66
USAPiste impliqué
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Sur la dernière mêlée, pour l'avoir revue 4-5 fois, je crois qu'on peut tout à fait siffler la pénalité (même si Castres a sûrement essayé de truquer un peu en poussant en travers vu qu'on a bien tenu l'impact) ; sur ce type d'action, 8 fois sur 10 l'arbitre siffle pénalité Castres, 2 fois il siffle pour nous. Mais pour être franc, je n'étais pas confiant avant la mêlée, ça sentait le roussi (j'aurais bien vu Mas revenir les 5-10 dernières minutes).
Pour le pack, j'en avais fait un topic après Grenoble, c'est un problème : 4 touches sur 5 pour notre adversaire dans nos 50m se solde par une pénalité après nous être faits enfoncer en ballon porté. Il faut qu'on arrive à arrêter intelligemment les mauls, comme le font les Gallois et les clubs irlandais, moins puissants mais plus malins avec la règle.
Le vrai problème d'arbitrage de ce match, c'est de savoir comment une équipe qui recule de manière spectaculaire pendant au moins une mi-temps, en asphyxie quasiment à la 60ème minute, et qui laisse la possession du ballon à son adversaire, peut n'être sanctionnée que 5 fois en 80 minutes ? Delpoux ne se lamente pas à la Novès, qui pleure pour un en-avant qu'aucun arbitre ne pouvait voir, il y a du fond dans son discours : l'arbitrage doit refléter quand même la domination d'une équipe pour être juste.
Pour le pack, j'en avais fait un topic après Grenoble, c'est un problème : 4 touches sur 5 pour notre adversaire dans nos 50m se solde par une pénalité après nous être faits enfoncer en ballon porté. Il faut qu'on arrive à arrêter intelligemment les mauls, comme le font les Gallois et les clubs irlandais, moins puissants mais plus malins avec la règle.
Le vrai problème d'arbitrage de ce match, c'est de savoir comment une équipe qui recule de manière spectaculaire pendant au moins une mi-temps, en asphyxie quasiment à la 60ème minute, et qui laisse la possession du ballon à son adversaire, peut n'être sanctionnée que 5 fois en 80 minutes ? Delpoux ne se lamente pas à la Novès, qui pleure pour un en-avant qu'aucun arbitre ne pouvait voir, il y a du fond dans son discours : l'arbitrage doit refléter quand même la domination d'une équipe pour être juste.