le problème n’est pas l’échéance du retour d’Halanukonuka début février, il est que derrière, il y aura encore 4 mois de compétition...
Ce qui veut dire qu’il faudra qu’on tienne 4 mois sans qu’aucun de nos 4 piliers ne connaissent une blessure importante.
À titre de comparaison par rapport au 4+1 réserviste que j’évoque plus haut, Vannes dispose de 6 piliers qu’on peut qualifier de confirmé (je ne dis pas qu’ils sont individuellement meilleurs que les nôtres mais ils ont une meilleure profondeur pour couvrir des blessures). Biarritz en a 6 ou 7, Oyo en a 5 ou 6.