Dernières news que personne en france parle : ils ont chier,pisser sur la statue du Général de Gaulle avec écrit "nik la france" dire que nos sympathisants de gauche veulent les accueillir c'est beau !!! Y a cas voir la najat sur canal+ hier est la réponse ultra violente de l'état le petit gros il est mort de rire depuis,dans un vrai état de droit il serait mort tout court...
tenez un petit aperçu canal+ a retiré l'émission ( a moins qu'ils la remette plus tard )...y a que Marianne qui relate l'affaire avec LCI
La ministre de l'Education nationale était l'invitée du Supplément sur Canal+ ce dimanche. Face à elle, Idriss Sihamedi, président de l'ONG musulmane controversée BarakaCity, dont les propos ambigus sur les agissements du groupe Etat islamique ont jeté un froid sur le plateau. La ministre s'est expliquée dans un post Facebook.
L'un "gêné" par la question, l'autre "mal à l'aise" en entendant la réponse. L'intervention d'Idriss Sihamedi, président de l'association musulmane controversée BarakaCity, à laquelle appartient Moussa Ibn Yacoub détenu au Bangladesh, a mis Najat Vallaud-Belkacem dans une position délicate ce dimanche sur le plateau du Supplément de Canal+.
Interviewé par Ali Baddou après la diffusion d'un reportage dans lequel on apprend que la place allouée aux femmes au sein de l'ONG n'est pas égale à celle des hommes, son fondateur a suscité un premier malaise autour de la table. "Comme certains rabbins, je ne serre pas la main aux femmes", a expliqué celui qui se décrit comme "un musulman normal."
"Pas juste" de poser cette question
Puis, lorsqu'au fil de l'entretien, l'animateur lui demande s'il condamne les agissements de Daech, Idriss Sihamedi "gêné par la question", jette à nouveau un froid sur le plateau.
"Ce n'est pas équitable, ce n'est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman." Et d'apporter un complément en demi-teinte : "Je vais pas vous dire 'non je ne condamne pas' s'ils tirent sur des femmes enceintes...".
Une réaction pas assez ferme ? La ministre réagit
Présente sur le plateau, la ministre de l'Education nationale a dans un premier temps refusé de réagir avant de finalement donner son avis : "Plus exactement, si je devais vraiment réagir, je dirais simplement qu'il faut distinguer à mon avis deux choses ; la situation de Moussa, qui en sa qualité de ressortissant français a droit à une aide et une protection qui, si j'ai bien compris, lui est apportée par l'ambassade, et puis pour le reste je crois que c'est une association qui porte une façon de voir les choses qui n'est pas la mienne, à laquelle je ne souscris pas et qui me met aussi mal à l'aise, honnêtement, sur votre plateau, et donc je n'ajouterai rien".
Sur les réseaux sociaux ce lundi matin, certains internautes s'étonnaient qu'un membre du gouvernement ne condamne avec plus de fermeté les propos ambigus tenus devant elle.
Lundi en fin d'après-midi, la ministre a publié un post sur son compte Facebook pour "ne laisser subsister aucune ambiguïté". "Au-delà de la sidération provoquée par le refus inadmissible, et inédit à ma connaissance dans ce type d'émission, de condamner clairement Daesh, les propos de cet individu mettent en cause les principes fondamentaux de notre République, notamment l'égalité entre les femmes et les hommes, a-t-elle expliqué. C'est la raison pour laquelle j'ai non seulement exprimé mon profond désaccord, mais aussi refusé d'engager un débat avec un individu qui se situe en dehors du champ républicain"...