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Débat : Peut on penser que c'est l'effet Philippe Benetton ?

Je préfère trouver 100 fois sur 100 trouver des touches de 10m que d'en tenter des plus longues et en louper dans le lot ... Contre Colomiers on en loupe 1 à l'aller et 1 retour qui ça nous coûte le match


Mais je suis évidemment d'accord avec ça.

Toutefois, comme disait ma grand mère "entre poc et mas"...

Il y a un juste milieu non ? quand t'es sûr les 40 m adverses sur les 15 m, que tu mènes 33 à 13 et qu'il reste 10 minutes, ben tu vises pas bêtement le poteau de l'angle d'enbut au risque d'aller en ballon mort ou d'être trop court bien sûr... Mais de là à taper 10 m avant la ligne des 22 !! je pense que tu peux raisonnablement viser à 10/15 m de la ligne d'essai pour au moins rentrer dans les 22 quand tu es un joueur pro, mais j'en demande trop sans doute. Té, c'est 14h, je m'en vais voir les cadets sous la bourrasque, juste pour voir...:6775:
 
Parfois, il peut arriver que le joueur dévisse...
Mais c'est sur, il vaut mieux assurer 30/40 m que tenter 50/60 et en rater 1 sur 10
 
Je ne sais pas à qui en attribuer la responsabilité ou plutôt le bénéfice, mais je suis d'accord avec toi. Si Pérez était revenu comme il est parti, en multipliant les fautes et en étant voulant sauver l'équipe à lui tout seul, on aurait félicité celui qui l'a mis au placard.

A mon avis, il a travaillé (d'abord sur lui) et peut être quelqu'un l'a aussi conseillé sur ce qu'il y avait à faire en lui donnant des moyens et des techniques pour y arriver. Enfin, il ne faut pas oublier que, vu les rythmes actuels, les joueurs ne progressent vraiment que lorsqu'ils sont arrêtés pour cause de blessure ou de mise au placard. Outre Pérez, il faut aussi noter que Tommie Allan est revenu en possession de son moyen et commence à montrer, peut être pour la première fois depuis qu'il est au club, ses (grandes) qualités.

Le défi, pour ces deux là, mais aussi pour l'ensemble de l'équipe (à l'exception de Château, Bousquet et André qui ont toujours été au dessus de la moyenne), c'est bien d'être capable de reproduire, sinon la performance d'hier ou de Lyon, mais au moins des prestations régulières et abouties, contre des adversaires donnés pour plus faibles. Et là, on aura un début de réponse dimanche.

surtout le retour "PREMATURE" de RIVIERE à la reprise des commandes du club..faut pas l oublier qu il est le patron et a du voir severe avec le staff.......crois moi que c est ainsi que ca s est passé....le staff avait aussi ses tords et tout le monde est reparti sur le bond pied....combien de fois ,j ai lu que gelez valait rien ,qu il n avait pas de style de jeu.......depuis la reprise de riviere on tient mieux la mélée et nos trois quart envoie du jeu, du beau jeu comme on aime.....les resultats sont là et j espere que le declic attendu est bien là
 
surtout le retour "PREMATURE" de RIVIERE à la reprise des commandes du club..faut pas l oublier qu il est le patron et a du voir severe avec le staff.......crois moi que c est ainsi que ca s est passé....le staff avait aussi ses tords et tout le monde est reparti sur le bond pied....combien de fois ,j ai lu que gelez valait rien ,qu il n avait pas de style de jeu.......depuis la reprise de riviere on tient mieux la mélée et nos trois quart envoie du jeu, du beau jeu comme on aime.....les resultats sont là et j espere que le declic attendu est bien là

C’est quand même inquiétant ce que tu dis : Bénetton aurait eu besoin du retour prématuré de Rivière pour réagir et trouver des solutions à une mauvaise passe.
Ce n’est un secret pour personne que les connaissances rugbystiques de Rivière sont très faibles donc ce n’est pas des conseils rugbystiques qu’il aurait prodigué.
Quant à son autorité et ses facultés à frapper du poing sur la table , par le passé, notamment quand le soir du match nul contre le RM92 à Giral l’objectif qu’il avait fixé n’était pas atteint , on peut avoir de grands doutes .
Au contraire , les résultats en dents de scie de cette saison laissent plutôt penser qu’il n’y a pas de pilote à l’Usap . On navigue à vue , pris dans le courant , sans véritable cap ,un coup de barre à gauche , un coup de barre à droite .
Comme l’an passé la réunion imposée par les joueurs avant de disputer la demi-finale à Giral , l’affaire Pérez est le signe qu’il n’y a pas de patron. Il y a un comptable , un gestionnaire , un financier peut-être on verra en fin de saison mais point de patron . Après l’année de transition surgie dont ne sait où, après des mauvais résultats , j’ai peur qu’on se dirige vers l’année de la désillusion.
 
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