Ode à l'USAP... et à Nicolas
Je ne suis pas Carto, je ne suis pas Brassens.
Mais, devant tant de messages, tant d'émotions et de bouillonnements après ce week - end, j'avais la tête retournée, plus par les réactions que par les faits eux mêmes. Quoi de mieux que la poésie, ou au moins une tentative poétique, pour essayer de sortir du brouillard ?
Sur l'air du "Testament", une des plus belles chansons de Georges, à mon goût (que les plus jeunes devraient pouvoir écouter sur You Tube ou ailleurs) :
Je serai triste comme un saule
Quand Nico nous laissera veufs,
Avec son chagrin sur l'épaule,
Et le souv'nir de 2009.
Alors les bell's pelouses vertes
De notre pays Catalan,
Ne verront plus sa silhouette au milieu du 5 de devant
Ne verront plus sa silhouette au milieu du 5 de devant.
S'il faut partir au Du manoir,
Pour suivre ses nouveaux combats,
On aurait préféré le voir
Marquer aux pieds de La Bronca.
Tant pis si les stadiers me grondent,
Tant pis s'ils me croient fou à lier,
Nicolas Mas, pas une seconde, Oh non, jamais je n'lui en voudrai
Nicolas Mas, pas une seconde, Oh non, jamais je n'lui en voudrai
Dieu veuill' que Besson prenn' les armes
Et fasse signer de beaux poissons,
Pour que jamais, mort de mon âme,
Nos anciens ne crient "trahison".
Que le peuple d'Aimé Giral,
Toujours soutienne ses champions,
Et que, suivant son idéal, de l'équipe il soit le fanion
Et que, suivant son idéal, de l'équipe il soit le fanion
Ci - gît une lettre morte,
ici finit cette oraison.
Y a pas marqué dessus nos portes :
"fermé pour cause d'enterrement".
Même si on change de cap,
Et que parfois on est déçu,
Nous chanterons très fort l'USAP, toujours vibrants et plus qu'émus
Nous chanterons très fort l'USAP, toujours vibrants et plus qu'émus.
http://www.youtube.com/watch?v=Ca-KFPNhCWc