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Narbonne-usap
- Auteur du sujet saucisselentille
- Date de début
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- usap narbonne
tomusapgironafc66
Passe du temps sur le forum
La dernière fois que j'y suis allé il y a 2 ans, nous étions dans la tribune "La Clape" secteur G. Du coup j'ai pris les places à cet endroit
saucisselentille
USAPiste bavard
de toute façon tout le stade sera sang et or...... enfin j'éspère
Labit, coach du RCNM : « On a toujours été en danger » #Lindependant
RCNM-USAP. Pour Christian Labit, l’entraîneur de Narbonne, l’équipe « est au bord de la rupture » avant de recevoir Perpignan.
Christian, au lendemain de la défaite à Mont-de-Marsan (37-6), vous souhaitiez parler, communiquer solennellement...
(Il coupe). Oui, j’assume mes responsabilités sur tout. Que ce soit clair, si les résultats ne sont pas là aujourd’hui, j’en assume les conséquences. Je ne suis pas comme certains qui, dans une période, ont laissé le club dernier. Je l’ai dit aux joueurs : « Je vous défendrai toujours ». En m’exprimant je ne veux pas que mon ego soit valorisé. Je veux simplement dire que les joueurs ont besoin de soutien ce dimanche. Et pour avoir ce soutien, ils doivent démontrer qu’ils sont responsables sur le terrain.
Des critiques vous ont-elles blessé ?
Non, aucune. La critique est facile d’ailleurs... On a la sensation aujourd’hui qu’on est dans la difficulté comme jamais on a été. Les supporters doivent être conscients que depuis le premier match où j’ai repris le club, tous les matchs ont été identiques. On a toujours été dans la difficulté, quel que soit le match qu’on a joué. On a cette sensation que c’est plus grave maintenant car il reste peu de journées mais on a toujours été en danger. Je n’ai pas le souvenir qu’après avoir pris 70 points à Perpignan (66, très exactement) on n’était pas en danger en recevant juste après Oyonnax. On a toujours eu le couteau sous la gorge.
« Les absences seront comblées »
Vous avez perdu contre le promu, Vannes, actuellement 14e. Cette défaite est plus préjudiciable que les autres...
Oui car on se met en difficultés contre une équipe à la poursuite mais, depuis le début, on joue à flux tendus. J’essaye d’amener ces joueurs le plus loin possible, en tirant un maximum sur eux. Je m’en passerai de partir avec deux secondes lignes depuis presque cinq mois. J’aimerais changer, faire tourner des piliers...
Comment le club en est arrivé-là justement ?
Il a fallu gérer tout ce que Rocky (Elsom) avait fait et qui n’était pas forcément positif. On connaît les problématiques, elles ont été exprimées. Ensuite, beaucoup de joueurs partaient avec Rocky mais quand ils ont vu les problèmes, ils n’ont plus voulu avancer. Là où on s’est trompé, c’est qu’il fallait, peut-être, remplacer les joueurs prévus par Rocky. Je pense à George Tuinukuafe qui était là la saison dernière, et d’autres. On a perdu Zanon, Fichten, Rattez. On n’a pas réellement remplacé ces joueurs-là. On a fait des paris et on en subit les conséquences. Tous ces problèmes n’ont pas permis au club d’avoir une équipe de qualité et de quantité pour passer les écueils.
Cette situation que tout le monde savait difficile vous l’avez acceptée en octobre quand on vous a demandé de prendre les rênes...
Si j’ai accepté de sortir de ma chaise, n’oublions pas que personne me parlait au début, c’est pour aider le club à se sauver. J’étais persuadé, même s’il y a eu par moments de l’enthousiasme, qu’on allait jouer le maintien. Si j’ai accepté cette mission, c’est parce que Bernard Archilla est le président qu’il faut pour ce club car c’est un vrai passionné et qu’il n’a aucun intérêt personnel à en tirer. J’ai énormément confiance en lui, je marcherai avec lui n’importe où. J’ai pris le risque de prendre le groupe à une période compliquée. Maintenant, je suis obligé d’assumer le fait d’avoir un groupe restreint, des joueurs blessés, usés. Franchir les étapes devient difficile. Ces hommes ont réussi à faire quelque chose dans un laps de temps précis. Aujourd’hui, ils n’ont plus l’essence dans le moteur pour répondre à ce qu’on leur demande et c’est compréhensible. Je dois leur donner l’envie de se surpasser encore deux matchs.
Avez-vous, vous aussi, la sensation que l’équipe ne progresse plus ?
J’aimerais qu’elle progresse mais elle est à la limite de la rupture. On est parti à Mont-de-Marsan avec deux secondes lignes. La progression ne se fait pas avec 23 garçons. Elle se fait avec 40 garçons dont 35 sont susceptibles d’intégrer l’équipe. Oui, d’accord, ça stagne car on n’a plus d’essence pour franchir un cap. J’ai vécu une histoire avec Carcassonne. On monte de Fédérale 1, à la fin de la phase aller on est cinquième. On termine 12e à la sortie car je tire un maximum sur les mecs pour se sauver au plus vite et, à la fin, ils n’ont plus d’énergie. Je revis la même chose. On doit s’en sortir. Ce groupe est franchement extraordinaire. Humainement, ces garçons sont intelligents, investis. Ce groupe est de qualité. Je discute beaucoup avec eux. Des garçons ont joué tous les matchs de la saison, c’est compliqué, c’est compliqué (il répète). Mont-de-Marsan avait trois secondes lignes sur le banc. Ces équipes-là n’ont pas une qualité individuelle exceptionnelle par rapport à nous mais elles ont plus de quantité, c’est tout.
Cette situation vous touche particulièrement...
Je dis aux supporters, aux gens qui aiment ce club, qu’on est en danger, mais qu’on ne le sera pas plus dimanche que deux mois avant. On a besoin de soutenir ce club car il en a besoin. Il va falloir être enthousiaste sur le terrain et en tribune. Vous croyez quoi ? On ne se régale pas de prendre des branlées, je suis triste et ne dors pas la nuit quand je perds. Que ceux qui ont des rancunes, des aigreurs, les mettent de côté. On doit tous se mettre dans le même sillon. Je peux assurer aux gens qui aiment ce club que la saison prochaine ne sera pas la même. J’en suis convaincu car les besoins et les absences seront comblés.
RCNM-USAP. Pour Christian Labit, l’entraîneur de Narbonne, l’équipe « est au bord de la rupture » avant de recevoir Perpignan.
Christian, au lendemain de la défaite à Mont-de-Marsan (37-6), vous souhaitiez parler, communiquer solennellement...
(Il coupe). Oui, j’assume mes responsabilités sur tout. Que ce soit clair, si les résultats ne sont pas là aujourd’hui, j’en assume les conséquences. Je ne suis pas comme certains qui, dans une période, ont laissé le club dernier. Je l’ai dit aux joueurs : « Je vous défendrai toujours ». En m’exprimant je ne veux pas que mon ego soit valorisé. Je veux simplement dire que les joueurs ont besoin de soutien ce dimanche. Et pour avoir ce soutien, ils doivent démontrer qu’ils sont responsables sur le terrain.
Des critiques vous ont-elles blessé ?
Non, aucune. La critique est facile d’ailleurs... On a la sensation aujourd’hui qu’on est dans la difficulté comme jamais on a été. Les supporters doivent être conscients que depuis le premier match où j’ai repris le club, tous les matchs ont été identiques. On a toujours été dans la difficulté, quel que soit le match qu’on a joué. On a cette sensation que c’est plus grave maintenant car il reste peu de journées mais on a toujours été en danger. Je n’ai pas le souvenir qu’après avoir pris 70 points à Perpignan (66, très exactement) on n’était pas en danger en recevant juste après Oyonnax. On a toujours eu le couteau sous la gorge.
« Les absences seront comblées »
Vous avez perdu contre le promu, Vannes, actuellement 14e. Cette défaite est plus préjudiciable que les autres...
Oui car on se met en difficultés contre une équipe à la poursuite mais, depuis le début, on joue à flux tendus. J’essaye d’amener ces joueurs le plus loin possible, en tirant un maximum sur eux. Je m’en passerai de partir avec deux secondes lignes depuis presque cinq mois. J’aimerais changer, faire tourner des piliers...
Comment le club en est arrivé-là justement ?
Il a fallu gérer tout ce que Rocky (Elsom) avait fait et qui n’était pas forcément positif. On connaît les problématiques, elles ont été exprimées. Ensuite, beaucoup de joueurs partaient avec Rocky mais quand ils ont vu les problèmes, ils n’ont plus voulu avancer. Là où on s’est trompé, c’est qu’il fallait, peut-être, remplacer les joueurs prévus par Rocky. Je pense à George Tuinukuafe qui était là la saison dernière, et d’autres. On a perdu Zanon, Fichten, Rattez. On n’a pas réellement remplacé ces joueurs-là. On a fait des paris et on en subit les conséquences. Tous ces problèmes n’ont pas permis au club d’avoir une équipe de qualité et de quantité pour passer les écueils.
Cette situation que tout le monde savait difficile vous l’avez acceptée en octobre quand on vous a demandé de prendre les rênes...
Si j’ai accepté de sortir de ma chaise, n’oublions pas que personne me parlait au début, c’est pour aider le club à se sauver. J’étais persuadé, même s’il y a eu par moments de l’enthousiasme, qu’on allait jouer le maintien. Si j’ai accepté cette mission, c’est parce que Bernard Archilla est le président qu’il faut pour ce club car c’est un vrai passionné et qu’il n’a aucun intérêt personnel à en tirer. J’ai énormément confiance en lui, je marcherai avec lui n’importe où. J’ai pris le risque de prendre le groupe à une période compliquée. Maintenant, je suis obligé d’assumer le fait d’avoir un groupe restreint, des joueurs blessés, usés. Franchir les étapes devient difficile. Ces hommes ont réussi à faire quelque chose dans un laps de temps précis. Aujourd’hui, ils n’ont plus l’essence dans le moteur pour répondre à ce qu’on leur demande et c’est compréhensible. Je dois leur donner l’envie de se surpasser encore deux matchs.
Avez-vous, vous aussi, la sensation que l’équipe ne progresse plus ?
J’aimerais qu’elle progresse mais elle est à la limite de la rupture. On est parti à Mont-de-Marsan avec deux secondes lignes. La progression ne se fait pas avec 23 garçons. Elle se fait avec 40 garçons dont 35 sont susceptibles d’intégrer l’équipe. Oui, d’accord, ça stagne car on n’a plus d’essence pour franchir un cap. J’ai vécu une histoire avec Carcassonne. On monte de Fédérale 1, à la fin de la phase aller on est cinquième. On termine 12e à la sortie car je tire un maximum sur les mecs pour se sauver au plus vite et, à la fin, ils n’ont plus d’énergie. Je revis la même chose. On doit s’en sortir. Ce groupe est franchement extraordinaire. Humainement, ces garçons sont intelligents, investis. Ce groupe est de qualité. Je discute beaucoup avec eux. Des garçons ont joué tous les matchs de la saison, c’est compliqué, c’est compliqué (il répète). Mont-de-Marsan avait trois secondes lignes sur le banc. Ces équipes-là n’ont pas une qualité individuelle exceptionnelle par rapport à nous mais elles ont plus de quantité, c’est tout.
Cette situation vous touche particulièrement...
Je dis aux supporters, aux gens qui aiment ce club, qu’on est en danger, mais qu’on ne le sera pas plus dimanche que deux mois avant. On a besoin de soutenir ce club car il en a besoin. Il va falloir être enthousiaste sur le terrain et en tribune. Vous croyez quoi ? On ne se régale pas de prendre des branlées, je suis triste et ne dors pas la nuit quand je perds. Que ceux qui ont des rancunes, des aigreurs, les mettent de côté. On doit tous se mettre dans le même sillon. Je peux assurer aux gens qui aiment ce club que la saison prochaine ne sera pas la même. J’en suis convaincu car les besoins et les absences seront comblés.
tots
USAPiste sérieux
L'Usap va gagner à Narbonne ...Ils sont rincés (les narbonnais heu nous non ...) .Et pis on sera presque chez nous , et c'est presque un 1/4 de finale , enfin un faux Car ,on dépend désormais d'autres résultats ....Allez OYO ...allez Béziers ... si jamais OYO et Béziers gagnent et que l'Usap perd ...je bouffe un rat !!(un rat blanc ....faut pas déconner non plus ..)
jeanlouis66
USAPiste sérieux
non !! en gagant à OYONAX il y aurait encore une chance
jeanlouis66
USAPiste sérieux
sauf qu il n a pas joue depuis un moment tiendra t il tout le match ?
moi je ne le ferai rentrer qu en cas de fiasco de carlisle au but sinon
acebes a l arriere cocagi ratini aux ailes et mafi piukala au centre
