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Bernard Marie a dit ça il y a 40 ou 50 ans, mais cela reste vrai, c'est juste exacerbé par les enjeux financiers.
Si, dans un ruck, le plaqueur joue la balle au sol et le plaqué la garde, tu peux siffler pénalité pour qui tu veux, il y aura toujours une explication rationnelle.
...Bon, quand c'est Naulu qui charge le botteur en criant, comme il n'y a aucun règlement qui l'interdit, on fait appel à l'article fourre tout "il faut respecter l'étique" et hop ! la victoire change de camp, la qualif aussi, le million d'euros qui y est associé aussi, l'attractivité du club sur le marché des transferts, auprès des sponsors, etc. bref, un petit cri pour l'homme, un grand boum pour le club !
Il n'en reste pas moins que les arbitres sont infiniment meilleurs que du temps de M. Marie, qu'on voit beaucoup moins d'arbitrages scandaleux, que les responsables ont compris qu'un arbitrage équitable est la clé du développement du rugby.
Néanmoins parfois, quand l’intérêt supérieur* est en jeu, l'arbitre donne un coup de pouce. Comme ce fut le cas pour la finale de la coupe du monde 2011 et plus encore pour la "mandela's world cup" 1995.
* Et visiblement, dimanche dernier à Limerick, "l'interêt supérieur" n'était pas la victoire ou le bonus de l'USAP
Si, dans un ruck, le plaqueur joue la balle au sol et le plaqué la garde, tu peux siffler pénalité pour qui tu veux, il y aura toujours une explication rationnelle.
...Bon, quand c'est Naulu qui charge le botteur en criant, comme il n'y a aucun règlement qui l'interdit, on fait appel à l'article fourre tout "il faut respecter l'étique" et hop ! la victoire change de camp, la qualif aussi, le million d'euros qui y est associé aussi, l'attractivité du club sur le marché des transferts, auprès des sponsors, etc. bref, un petit cri pour l'homme, un grand boum pour le club !
Il n'en reste pas moins que les arbitres sont infiniment meilleurs que du temps de M. Marie, qu'on voit beaucoup moins d'arbitrages scandaleux, que les responsables ont compris qu'un arbitrage équitable est la clé du développement du rugby.
Néanmoins parfois, quand l’intérêt supérieur* est en jeu, l'arbitre donne un coup de pouce. Comme ce fut le cas pour la finale de la coupe du monde 2011 et plus encore pour la "mandela's world cup" 1995.
* Et visiblement, dimanche dernier à Limerick, "l'interêt supérieur" n'était pas la victoire ou le bonus de l'USAP