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Le club catalan, en litige avec son ancien coach, a rendez-vous le 16 octobre devant la Cour d’appel de Montpellier.
« On a tout provisionné sauf les dossiers Delpoux et Hook, car on pense qu’on a des arguments sérieux. » Ainsi s’exprimait le 18 décembre 2016 le président François Rivière au sujet des vieilles casseroles de l’USAP. Faut-il en accepter l’augure ? Nous y revoilà. Engagé sur le terrain judiciaire dans l’affaire qui l’oppose à son ancien entraîneur Marc Delpoux (2012-2014), le club catalan joue une grosse carte financière. De renvoi en renvoi, le litige semble remonter à Mathusalem mais avec 417 000 euros en jeu, somme réclamée par Delpoux « à titre de dommages et intérêts en réparation de la rupture anticipée de son contrat à durée indéterminée », le magot est de taille pour le président des sang et or François Rivière.
En première instance, le 9 octobre 2015, Marc Delpoux (54 ans), qui conteste son licenciement, a été débouté par le Conseil des Prud’hommes de Perpignan. Trois ans plus tard, après quatre années de procédure, les deux parties ont rendez-vous le 16 octobre prochain devant la cour d’appel de Montpellier. Une décision attendue avec impatience, dont l’écho risque de briser la monotonie régénératrice du Challenge européen (*). Après la guerre des tranchées sur le terrain, place donc à la bataille rangée devant les tribunaux. Octobre ne ressemblera pas à septembre pour l’USAP, qui troquera le short pour la robe noire avec la même volonté de défendre son bifteck.
Son avocat, Romuald Palao, espère voir confirmer le jugement du 13 septembre 2016, qui a vu « Les Boutiques de l’USAP », société détenue par François Rivière au sein d’une holding, être condamnée par le tribunal de commerce de Perpignan à verser 375 000 euros à James Hook au titre de droits à l’image impayés. Pour l’heure, la chambre sociale a sursis à statuer dans l’attente d’une décision de la chambre commerciale. Aucune date n’a été fixée devant la cour d’appel. Et les deux camps voient leur conflit s’éterniser. Un de plus.
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« On a tout provisionné sauf les dossiers Delpoux et Hook, car on pense qu’on a des arguments sérieux. » Ainsi s’exprimait le 18 décembre 2016 le président François Rivière au sujet des vieilles casseroles de l’USAP. Faut-il en accepter l’augure ? Nous y revoilà. Engagé sur le terrain judiciaire dans l’affaire qui l’oppose à son ancien entraîneur Marc Delpoux (2012-2014), le club catalan joue une grosse carte financière. De renvoi en renvoi, le litige semble remonter à Mathusalem mais avec 417 000 euros en jeu, somme réclamée par Delpoux « à titre de dommages et intérêts en réparation de la rupture anticipée de son contrat à durée indéterminée », le magot est de taille pour le président des sang et or François Rivière.
En première instance, le 9 octobre 2015, Marc Delpoux (54 ans), qui conteste son licenciement, a été débouté par le Conseil des Prud’hommes de Perpignan. Trois ans plus tard, après quatre années de procédure, les deux parties ont rendez-vous le 16 octobre prochain devant la cour d’appel de Montpellier. Une décision attendue avec impatience, dont l’écho risque de briser la monotonie régénératrice du Challenge européen (*). Après la guerre des tranchées sur le terrain, place donc à la bataille rangée devant les tribunaux. Octobre ne ressemblera pas à septembre pour l’USAP, qui troquera le short pour la robe noire avec la même volonté de défendre son bifteck.
- Près de 800 000 euros sont en jeu
Son avocat, Romuald Palao, espère voir confirmer le jugement du 13 septembre 2016, qui a vu « Les Boutiques de l’USAP », société détenue par François Rivière au sein d’une holding, être condamnée par le tribunal de commerce de Perpignan à verser 375 000 euros à James Hook au titre de droits à l’image impayés. Pour l’heure, la chambre sociale a sursis à statuer dans l’attente d’une décision de la chambre commerciale. Aucune date n’a été fixée devant la cour d’appel. Et les deux camps voient leur conflit s’éterniser. Un de plus.
- Deux épines dans le pied au milieu d’un budget serré
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