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Transferts : listing fin de contrat juin 2016

Les mecs que tu cites, c'est évident qu'ils ne touchent pas 4 000 €.
Maintenant pour prendre leur "défense", dans notre situation, cette moyenne n'a pas grande signification. La Pro D2 est un championnat qui n'a rien d'homogène aussi bien sportivement que financièrement. Tu as des équipes "bas de tableau Top 14", des équipes "D2" et des équipes "haut de tableau Fédérale". Concernant les budgets, les écarts sont proportionnellement beaucoup plus importants en D2 qu'en Top 14 !
Dès lors, c'est limite normal qu'à Lyon, Bayonne, Biarritz ou Perpignan, certains gagnent très bien, voire aussi bien que ce qu'ils pourraient gagner dans des clubs de bas de tableau du Top 14.

Après je te rejoins totalement sur le fait que certains de ces joueurs qui doivent avoir un gros salaire risquent de ne pas être prolongés et donc nous laisser une plus grande marge de manœuvre pour recruter. D'autant plus, que certains qui gagnent très bien, n'ont pas forcément un rendement sportif à hauteur de leur salaire.
Ta derniere phrase ne concerne malheureusement pas que l'USAP;c'est la postulat suivant qui est faux "gros salaire produit fort rendement sportif".Mais surtout la forte disparité dans les rémunarations ne peut qu'engendrer des inimitiés entre joueur et nuire a l'efficacité du groupe.N'est ce pas a cela que nous assistons?La reunion convoquée l'an dernier juste avant le match d'Agen n'était t elle pas entre autre ,une démonstration de ce que je décris?
 
Ne vaudrait il pas mieux avoir un système de rémunération comme au RCT? Par exemple 60% du salaire en part fixe et 20% en fonction des feuilles de match et 20% en fonction des résultats sportif du club.

Car au fond les joueurs sont des vrp de l'USAP car cela n'aura échappé à personne mais aujourd'hui l'USAP est un club pro et donc une entreprise même si cela nous fait chier de la dire.
C'est a mon avis une des solutions.Pourquoi ne pas instaurér un salaire fixe identique convenable a chaque joueur sous contrat pro et le moduler d'une part avec une prime de match et une prime de satisfaction(en fonction de la performance individuelle de chaque joueur sur chaque match) a condition que tout soit sur la table.Il me semble que ça doit etre possible.Si il est un secteur ou doit regner la transparence c'est bien dans les rémunérations.
J'ajoute qu'il serait temps de comprendre a l'USAP que l'horizontalité ,qui a par ailleurs ses vertus ,ça ne marche pas dans le rugby pro et je ne parle pas la du systéme de rémunération.Les joueurs ils jouent point,les entraineurs ils fixent et imposent les strategies de jeu ,le president il fixe des objectifs ,si possible precis et veille a ce qu'ils soient atteints.C'est comme ça que ça doit marcher,le reste ça conduit au bordel
 
Ne vaudrait il pas mieux avoir un système de rémunération comme au RCT? Par exemple 60% du salaire en part fixe et 20% en fonction des feuilles de match et 20% en fonction des résultats sportif du club.

Car au fond les joueurs sont des vrp de l'USAP car cela n'aura échappé à personne mais aujourd'hui l'USAP est un club pro et donc une entreprise même si cela nous fait chier de la dire.

Pourquoi pas mais le système de primes du RCT est aujourd'hui dans le collimateur. Nul doute que Boudjellal trouvera un autre moyen de contourner la masse salariale.

Il y a clairement un soucis de toute façon. Mais c'était davantage les 4 000 € de moyenne qui m'avaient interpelé. Dans un championnat où 11 des 16 équipes ont un budget entre 4 et 6M, on se doute bien qu'à Bayonne, Biarritz et Perpignan (j'enlève Lyon qui est à part) le salaire moyen doit davantage se situer entre 7 et 9 000 €. Et je suppose que dans ces clubs, certains doivent tourner autour des 15 000 €. C'est presque normal j'ai envie de dire. Après, c'est comme comparer les salaires au Stade Toulousain et à Brive...
 
Les salaires des joueurs ça ne nous regarde pas,c'est au président de décider ce qu'il peut et doit donner.Il ne faut pas non plus le prendre pour un idiot congénital ,.Il sait trés bien ce qu'il doit offrir aux joueurs pour que le club demeure attractif.Non c'est la répartition qui pose problème
 
Les mecs que tu cites, c'est évident qu'ils ne touchent pas 4 000 €.
Maintenant pour prendre leur "défense", dans notre situation, cette moyenne n'a pas grande signification. La Pro D2 est un championnat qui n'a rien d'homogène aussi bien sportivement que financièrement. Tu as des équipes "bas de tableau Top 14", des équipes "D2" et des équipes "haut de tableau Fédérale". Concernant les budgets, les écarts sont proportionnellement beaucoup plus importants en D2 qu'en Top 14 !
Dès lors, c'est limite normal qu'à Lyon, Bayonne, Biarritz ou Perpignan, certains gagnent très bien, voire aussi bien que ce qu'ils pourraient gagner dans des clubs de bas de tableau du Top 14.

Après je te rejoins totalement sur le fait que certains de ces joueurs qui doivent avoir un gros salaire risquent de ne pas être prolongés et donc nous laisser une plus grande marge de manœuvre pour recruter. D'autant plus, que certains qui gagnent très bien, n'ont pas forcément un rendement sportif à hauteur de leur salaire.

N'est ce pas d'ailleurs un des problèmes ?
 
Tout dépendra du montant de cette masse salariale .

Peut on attirer de bons joueurs à Perpignan avec des petits salaires ?
Doit on faire confiance à une nouvelle génération d'espoir et de jeune en général pour construire une équipe forte à Perpignan ?
Un peu comme le fait Bourgoin.
Notre image est écornées et l'Usap n'attire plus forcément les foules.[/QUOTE]
Aujourd'hui , au point où nous en sommes je te répondrais que je ne sais pas , je ne sais plus .
 
Les salaires, les écarts, tout cela a toujours existé !
L'an dernier, même joueurs, mêmes salaires et pourtant l'USAP était efficace et conquérante.
En début de saison, même salaire et mêmes joueurs et pourtant on gagnait.

Carter gagnait 10 fois plus que ses équipiers, et pourtant nous avons été champions et croyez vous que les joueurs de Toulon ont tous à peu prés le même salaire ?

Salaire, budget, pichenettes, DNACG... Tout cela n'a que peu d'influence sur le jeu, même si certains voudraient nous faire croire que c'est "LE" problème.
 
Les salaires, les écarts, tout cela a toujours existé !
L'an dernier, même joueurs, mêmes salaires et pourtant l'USAP était efficace et conquérante.
En début de saison, même salaire et mêmes joueurs et pourtant on gagnait.

Carter gagnait 10 fois plus que ses équipiers, et pourtant nous avons été champions et croyez vous que les joueurs de Toulon ont tous à peu prés le même salaire ?

Salaire, budget, pichenettes, DNACG... Tout cela n'a que peu d'influence sur le jeu, même si certains voudraient nous faire croire que c'est "LE" problème.

Ah la ,ça m'etonne de toi ;Que tu semble meconnaitre autant la nature humaine.Tu as en partie raison ,ces problemes n'expliquent pas tout,ils ne sont pas non plus l'element déclencheur,mais ils ont un sacré pouvoir d'acceleration et d'amplification lorsque des problemes surgissent.Tu parles de Toulon,pour le moment OK,mais attends que des problemes de résultats surgissent et tu verras que tout ces problemes de fric de primes etc..vont leur péter a la gueule si les choses n'ont pas été au départ instaurées dans la clarté
 
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