Donc l'Usap a du mal à boucler son budget !! C'est ça ??
Mais où est cet argent promis ??????
Monsieur Riviére ne devait il pas être le mécène de l'Usap ??
( 10 millions, carnet d'adresse parisien, etc,etc ....)
Désolé, mais il y a quelque chose qui cloche quand même !
N'oublions pas que quand Riviére a pris le pouvoir , il a voulu le gâteau " CATALAN" pour lui tout seul !!
D'où, ces belles promesses....
Je comprends plus rien ....:391581:
Tout est là :
http://www.lindependant.fr/2013/07/05/a-francois-riviere-le-million-manquant,1772331.php
USAP : François Rivière, le million manquant
Le 05 juillet à 6h00 | Mis à jour le 05 juillet
7,8 % des Perpignanais avaient voté pour lui aux municipales de 2009
7,8 % des Perpignanais avaient voté pour lui aux municipales de 2009 PHOTO/H.J
Nommé 45e président de l'USAP le 23 novembre 2012 au terme d'une 'nuit des seconds couteaux' où il est apparu comme l'homme du consensus mou, Daniel Besson, 64 ans, pourrait très prochainement quitter son poste comme il est arrivé : bien malgré lui, sans le voir venir. "J'ai entendu parler de la rumeur d'un repreneur, mais ce n'est pas à ordre du jour. Pour l'instant, je n'ai reçu aucun dossier chiffré. Mais si quelqu'un veut mettre quatre à cinq millions sur la table, il est évidemment le bienvenu", confia-t-il hier matin, sept mois après avoir avoué sa surprise au soir de son intronisation. "Je reconnais qu'il s'agissait d'une cote à 95 contre 1. Je n'étais pas du tout préparé. Mais quand on aime l'USAP, il faut avoir le sens du sacrifice".
Et surtout de l'argent. Car le quelqu'un en question existe et se nomme François Rivière, 49 ans, né à Chambéry. Homme d'affaires ayant réussi dans le secteur des places de stationnement (SEREP et Epolia), François Rivière serait prêt à
prendre le contrôle de l'USAP, avec le soutien d'un pool d'investisseurs et d'actionnaires, en apportant sur la table près de dix millions d'euros sur cinq ans. Une manne qu'il refuse de confirmer, tout en insistant sur sa volonté "d'aider le club sur la durée". "Les dirigeants de l'USAP m'ont demandé la confidentialité sur le dossier.
Ce que je sais, c'est que la masse salariale du club est actuellement une des plus faibles de l'élite et qu'il faut consacrer de l'argent supplémentaire au recrutement. Pour ça, il faut mettre un à deux millions par an pour pouvoir se développer. Les actionnaires savent que quand j'annonce quelque chose, j'ai les moyens de le faire. Je ne veux rien brusquer mais la balle est désormais dans leur camp", a-t-il déclaré.
Une prise de pouvoir qui est tout sauf un putsch ou un vicieux coup d'épaule mais le fruit de discussions d'un mois et demi avec les principaux actionnaires du club et le directeur général Sylvain Deroeux. La 'Rivière aux euros' assure : "J'ai rencontré Daniel Besson. Ils savent que je suis intéressé, j'ai fait une offre de service.
J'ai la chance de pouvoir mettre un peu de sous personnellement (sic) mais aussi de trouver des actionnaires à Paris. Si je m'engage, c'est pour une longue durée. Je ne veux pas que l'USAP ait à se dire en permanence : 'Zut ! Il faut aller chercher de l'argent pour passer les contrôles de la DNACG.'
De même, si en fin de saison il faut une pichenette et mettre 300 000 euros pour un joueur, je le ferai. Je n'ai pas à appeler mes banquiers pour le faire. Si l'opération se fait, elle doit se faire maintenant ou dans un an." Voilà qui semble clair pour l'ancien sponsor de l'USAP du temps de Marcel Dagrenat (2000-07).
Du côté de l'USAP, certains acteurs du dossier ne cachent pas que le dossier est "très sérieux et séduisant". Et que, sauf coup de théâtre, la majorité des actionnaires pourrait rapidement valider l'arrivée du nouveau mécène. Trois jours après la reprise de l'entraînement, il s'agit d'une véritable aubaine pour les' sang et or', en proie depuis deux ans à de grosses difficultés financières pour boucler un budget de 15 millions d'euros.
Rivière, l'homme providentiel. L'homo politicus (divers droite) que 7,8 % des Perpignanais connaissent pour avoir voté pour lui aux élections municipales de 2009 ; qui sous la présidence de Sarkozy s'est vu confier une mission sur la politique de la Ville ; qui fut aussi ex-PDG du Viaduc de Millau... Et si l'USAP était le cheval de Troie en vue d'une candidature aux élections de 2014 ou 2020 ? On lui prête des arrière-pensées politiciennes. Il s'en défend avec fermeté : "C'est non, vous pouvez l'écrire. Il faut savoir ce qu'on veut. La présidence de l'USAP n'est pas compatible avec un mandat électif."